"Triste paradoxe pour Ruhl Hardy BA. En cette période de crise économique où les taux de chômage atteignent des sommets, l’entreprise allemande qui dispose d’une entité à Crépy-en-Valois ne parvient pas à recruter localement.
Au point de devoir faire venir de la main-d’œuvre de ses autres usines européennes, hongroises principalement." La suite sur leparisien.fr
mercredi 25 novembre 2015
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