"Pour rappel, les amateurs de grandes arabesques formelles et chorégraphiques peuvent se ruer à la Cinémathèque Française assister à la rétrospective du réalisateur hongrois Miklós Jancsó, qui inclue outre les films de fiction, des documentaires inédits du cinéaste.
Les films de Jancsó narrent certains pans
de l’histoire hongroise, notamment les révolutions de 1848 ou 1956, mais
leur audace formelle et leur stylisation dépassent souvent leur cadre
historique et politique. Ce sont de larges danses, sortes de cérémonies
faites de mouvements, et de gestes répétés, qui tendent à une certaine
forme d’abstraction : un ballet choral, muet ou musical. Des sortes de
fables « graphiques », de grands tableaux « spatialisés », qui malgré
leurs éclats plastiques, décrivent une oppression implacable, et des
répressions sanglantes." La suite sur culturopoing.com
jeudi 12 novembre 2015
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