"La crise des réfugiés irakiens et syriens a réactivé, un peu partout en Europe, la peur du choc des civilisations. L’histoire de la frontière entre la Hongrie et l’Empire ottoman livre pourtant des enseignements fort différents. Au XVIIIe siècle, cette route migratoire, très empruntée par les marchands, s’apparentait bien davantage à une zone de contacts qu’à un mur infranchissable.
Les frontières existent même après leur démantèlement physique ; elles
demeurent dans les paysages, dans les esprits et dans les pratiques.
Celle que Viktor Orbán, le premier ministre hongrois, entend dresser
aujourd’hui est un fantôme de la culture politique de son pays, façonnée
par l’expérience du monde ottoman." La suite sur laviedesidees.fr
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