"Bruxelles a-t-elle décidé d’accentuer la pression sur la Hongrie du
premier ministre populiste Viktor Orban ? Les contentieux se sont certes
récemment multipliés avec la Commission européenne, à la suite du refus
de Budapest d’accepter les quotas de réfugiés voulus par Bruxelles.
Pourtant, l’institution communautaire ne semble pas prête à rompre
avec l’ambiguïté qui caractérise ses rapports avec ce pays depuis des
années : elle lance des procédures, des avertissements, mais n’a pas
l’intention de passer à la manière forte en mettant Budapest au ban des
Européens. Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, a beau
lancer des « Salut dictateur ! » sonores à M. Orban (lors d’un
rendez-vous officiel, au printemps), pour l’instant, pas question de
l’exclure de la famille européenne – ni de celle du Parti populaire
européen (conservateurs)." La suite sur lemonde.fr (version payante)
mercredi 9 décembre 2015
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