lundi 14 décembre 2015
Le Fils de Saul : la banalité du bien
"À maints égards, le film hongrois Le Fils de Saul se présente
comme un film miraculeux, opérant une audacieuse synthèse entre action
romanesque, devoir de mémoire et réflexion sur la barbarie. Ancien
assistant de Béla Tarr, le jeune cinéaste Laszlo Nemes entend résoudre
ou tout au moins questionner l’épineuse équation théorique liée à la
représentation cinématographique des crimes génocidaires nazis. Se
déroulant entièrement dans un des crématoires de Birkenau au moment de
la liquidation des Juifs de Hongrie à l’été 1944, Le Fils de Saul
met en scène de façon immersive et ultra-réaliste un membre des
commandos spéciaux qui reconnaît son fils parmi les victimes de la
déportation et forme le projet déraisonnable de l’enterrer rituellement." La suite sur theconversation.com
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