"Le durcissement du régime politique en Hongrie, sous la direction de
Viktor Orbán, s’accompagne aussi d’une reprise en main de la culture.
Entretien avec le metteur en scène Róbert Alföldi, un des derniers
grands artistes hongrois à s’opposer publiquement aux autorités.
Quatrième et dernier volet de notre série hongroise.
Róbert Alföldi a été directeur du théâtre national hongrois
de 2008 à 2013, date à laquelle il en a été écarté par le pouvoir.
Aujourd’hui il continue de mettre en scène des pièces, sans être
rattaché à une institution. Nous le rencontrons au cours d’une longue et
intense journée de répétition. Quelques jours plus tard, sa nouvelle
pièce, Chicago, doit être présentée au public. L’homme est
survolté et le premier contact est difficile : la journaliste que je
suis a osé prendre une photo de la répétition, qu’il exigera aussitôt de
voir disparaître. Rencontre dans l’atmosphère tendue d’un artiste
travaillant en milieu hostile." La suite sur mediapart.fr (article payant)
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