"Un présumé proxénète comparaît depuis lundi devant la justice bâloise. Il est accusé d'avoir participé à l'enlèvement et au viol d'une prostituée, au printemps 2016.
Ce sont des accusations particulièrement lourdes auxquelles doit
faire face un Hongrois de 37 ans. Il comparaît depuis lundi devant le
Tribunal pénal de Bâle-Ville pour séquestration, enlèvement, violation
de la loi sur les armes et viol en groupe.
En pleurs, la
victime présumée, une Hongroise de 24 ans, a livré aux juges sa version
des faits, remontant au printemps 2016 à Bâle. La jeune femme affirme
avoir été enlevée et violée par trois hommes, dont l'accusé principal.
Elle pense qu'il s'agit d'un acte de vengeance. Elle explique avoir dû
les fuir, il y a quelques années, parce qu'ils l'obligeaient à se
prostituer à Bâle et qu'ils gardaient tout son argent." La suite sur 20min.ch
Le concert que l'Orchestre de Paris a consacré la semaine
dernière à Peter Eötvös, pour fêter avec un peu d'avance ses 75 ans,
était l'occasion de retrouvailles émouvantes avec un des musiciens les
plus attachants de notre époque. Suivant l'exemple de Pierre Boulez,
qui lui avait confié voici quarante ans le concert inaugural et de
l'Ircam, avant de faire de lui le directeur musical de l'Ensemble
intercontemporain entre 1978 et 1992, il est un des rares à mener avec
autant de succès un parcours de compositeur et une carrière de chef
d'orchestre. Tout comme il est un des rares compositeurs de notre temps à
s'être imposé continuellement à l'opéra, depuis le triomphe de Trois
Sœurs en 1998, avec ce sens du théâtre qui fait défaut à tant de ses
congénères.
L'autre soir, c'était le versant orchestral de sa
production qui était à l'honneur, avec deux œuvres très différentes. Sa
dernière en date, Alle vittime senza nome (Aux victimes anonymes), est
un poème symphonique ..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)