"Fin mai, les autorités hongroises ont mis fin aux “zones de transit” suite à une décision de la Cour de justice de l’Union européenne. Parmi les quelque trois cents demandeurs d’asile qui y étaient incarcérés se trouvaient le réalisateur iranien et son fils de 11 ans, Armin.
Sur Facebook, un père poste un selfie avec son fils, dégustant une glace en extérieur. Le réalisateur iranien Abouzar Soltani, 38 ans, et Armin, 11 ans, profitent de leur liberté après plus d’un an et demi d’incarcération dans la « zone de transit » de Röszke, dans le sud de la Hongrie.
Ces infrastructures – des conteneurs surveillés et entourés de barbelés – ont été construites en septembre 2015 par le gouvernement de Viktor Orbán en réaction à la crise migratoire. Les demandeurs d’asile ou migrants illégaux traversant la frontière serbo-hongroise y résidaient alors pour une durée indéterminée en attente d’une éventuelle régularisation. Ce fut le cas d’Abouzar Soltani, qui détaillait ses difficiles conditions de vie dans un court métrage en 2019" La suite sur telerama.fr
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