"Il y a cent ans, le 4 juin 1920, la Hongrie signait le traité du Trianon
avec les vainqueurs de la Première Guerre mondiale. Elle se retrouva
dépossédée des deux tiers de sa superficie. Un siècle après, le journal
conservateur Magyar Nemzet hésite entre tristesse et espoir en visitant un monument commémoratif tout juste achevé à Budapest.
La plus grande tragédie du centenaire de Trianon (lire encadré
ci-dessous), c’est de devoir expliquer, pour ceux qui continuent d’en
souffrir actuellement, l’ampleur du déshonneur infligé à la nation
hongroise. Tandis que les patriotes partagent la détresse des Magyars
d’outre-frontières, les progressistes veulent chasser notre État
millénaire de l’histoire et s’étonnent que nous existions encore. Ils
nous traitent de nazis si nous arborons un pin’s de la Grande Hongrie,
mais se fâchent tout rouge si quelqu’un assimile leur internationalisme
mondialisé au communisme. La police de la pensée gaucho-libérale jette
l’opprobre sur tout scientifique, artiste ou intellectuel ayant le
toupet de défendre l’idée de nation." La suite sur courrierinternational.com
samedi 6 juin 2020
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