"Le gouvernement hongrois a défendu lundi soir devant le Parlement européen sa loi très controversée sur les médias, en soulignant notamment qu'il s'agissait d'empêcher les médias influents de "dire n'importe quoi".
"Il convient de concilier la liberté d'expression des médias et leur influence sur l'opinion publique et la nécessité de ne pas dire n'importe quoi", a estimé le vice-Premier ministre hongrois, Tibor Navracsics, au cours d'une audition devant une commission parlementaire à Strasbourg." La suite sur lesechos.fr
mardi 18 janvier 2011
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Curieuse conception de la liberté de l'expression...
RépondreSupprimerEn effet, curieuse conception de la liberté d'expression, mais combien partagée par d'autres gouvernants. Prenons un exemple au hasard, celui d'un pays dont les dirigeants des médias influents que sont les chaines de télévision et les radios nationales sont directement nommés par le pouvoir exécutif. De quel(s) pays s'agit-il ?
RépondreSupprimerD'un autre que nous partageons, cher Jean-Pierre...
RépondreSupprimerBravo Flora. D'ailleurs Monsieur O. s'en targue pour contrer les critiques qui lui sont faites par le gouvernement français. Mais du côté de l'Italie, ce n'est guère mieux à ce qu'on dit.
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