Alexandre Hollan invite Éva Krajcsovics
Exposition
14 juillet - 25 août
Galerie Mirabilia, Lagorce
Informations : www.galeriemirabilia.fr | + 33 4 75 88 12 79
Alexandre Hollan est né à Budapest en 1933. Il vit en France depuis 1956.
« Ses travaux se répartissent selon deux
saisons, deux thèmes, deux lieux. L’été, dans un mazet parmi les vignes
et la garrigue, Hollan dessine des arbres, au fusain, au lavis, à
l’acrylique. Lorsqu’il retourne à Paris, dans un atelier qui n’ouvre que
sur le ciel, il se consacre à ce qu’il appelle, à la manière allemande
des “ vies silencieuses ” : une pure présence extraite par l’aquarelle
d’un alambic d’objets et de fruits assemblés en un motif. » (Jean
Planche)
Éva Krajcsovics est née en 1947 à
Budapest, où elle vit et travaille. Elle est l’une des figures les plus
remarquables de la peinture contemporaine hongroise. Éva Krajcsovics
peint à l’huile, par superposition de couches, cherchant à dissoudre la
couleur dans la lumière. « La couleur initiale lui est quasi égale. Pour
elle, ce n’est pas le point de départ qui compte mais la maturation :
la manière dont, sous les nouvelles couches de peinture ou après
effacement, naît quelque chose de nouveau, (...) la manière dont une
surface vivante se crée. » (Mátyás Varga)
Entrée libre
Alexandre Hollan invite Illés Sarkantyu
Exposition
13 juillet - 25 août
Fabrique du Pont d’Aleyrac | Saint-Pierreville
Informations : mirabelbe@wanadoo.fr | + 33 4 75 66 65 25
Illés Sarkantyu voit le jour à Budapest en 1977 et s’installe à Paris en 2002.
Photographe et réalisateur, il collabore
étroitement avec des artistes et des institutions culturelles.
Parallèlement, il développe ses projets personnels, mêlant
photographies, vidéos et textes.
Dans l’exposition de la Fabrique, Illés
Sarkantyu présente des photographies en noir et blanc des objets
qu’Alexandre Hollan dispose pour ses « vies silencieuses ». Avec son
appareil, il développe petit à petit une distance du regard différente
de celle du peintre. Dans l’infini des gris des tirages argentiques,
entre la rouille d’un vieux seau et la peau d’un légume, nous percevons
un monde d’étrangeté. Ce langage qui allie le montré et le caché n’est
pas sans rappeler la grande richesse de la photographie hongroise. Dans
une autre série intitulée « Mihály », il nous entraîne, à travers la
relecture d’une photographie apparemment banale, dans une autre aventure
visuelle, dérangeante et neuve.
Entrée libre