samedi 27 juillet 2013

Guerre et amours magyars

"Le hongrois pleure lorsqu’il s’amuse, dit l’adage hongrois. Avec « Le Pont invisible », l’auteur américain Julie Orringer signe une œuvre en partie autobiographique, aussi émouvante que désespérante. Une histoire d’amour aux accents de « Belle du Seigneur », version magyare, sur fond de deuxième guerre mondiale.
András Levi, un jeune homme juif de bonne famille, mais modeste, reçoit une bourse pour quitter la Hongrie et étudier l’architecture à Paris. Dès les premières pages du roman de Julie Orringer, « Le Pont invisible », le décor est planté. Nous sommes en 1937, l’Europe frémit, le national-socialisme progresse inexorablement, mais rares sont ceux qui comprennent l’imminence du danger." La suite sur lesechos.fr

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