"La préfecture de
Gironde a annoncé vendredi avoir suspendu d'activité une société
hongroise, intervenant sur un chantier photovoltaïque, qui rémunérait
ses ouvriers 2,22 euros de l'heure, pour huit heures quotidiennes malgré
une durée de travail de plus de 11 heures et six jours sur sept.
Par un arrêté, consécutif à une inspection de contrôle mercredi par
la gendarmerie, l'Urssaf et l'Inspection du travail, le préfet a
interrompu l'activité de la société de chaudronnerie OLP-TECH, un des
sous-traitants sur le chantier de la centrale photovoltaïque d'Arsac, à
20 km au nord de Bordeaux." La suite sur news.yahoo.com
samedi 22 novembre 2014
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