"Le succès du premier ministre sortant Viktor Orbàn au premier tour des élections législatives hongroises, ce 6 avril 2014 atteste du soutien populaire dont il bénéficie. Sa politique est pourtant régulièrement dénoncée au-delà des frontières. Pourquoi un tel hiatus ?
"Ne nous faisons pas d'illusion : la défaite est cuisante, et c'est
une grande déception pour ceux qui voulaient changer de gouvernement".
Ainsi s’exprime l'ancien premier ministre technocrate (2009-2010)
Gordon Bajnai, au lendemain des élections législatives hongroises, qui
ont vu la victoire écrasante du Fidesz (près de 45 % des voix), mais
aussi une forte poussée du parti ultranationaliste Jobbik (plus de 20
%).
Membre de l’OTAN depuis 1999 et de l’Union européenne depuis 2004, la
Hongrie n’échappe pas à la vague populiste et conservatrice qui
s’exprime dans la plupart des pays du Vieux Continent. Mais la puissance
de celle-ci puise ici sa source, certes dans la personnalité habile –
certains diraient "cynique" – du premier ministre Viktor Orbàn, mais
aussi dans une histoire et une géographie ayant contribué à rendre
particulièrement sensible la "question nationale"." La suite sur lesechos.fr
samedi 12 avril 2014
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