"A Pécs, 120.000 habitants au sud de la Hongrie, toute l'électricité et
le chauffage sont produits par une centrale fonctionnant au bois et à la
paille, un exemple d'une ampleur unique en Europe.
La ville,
distinguée par le label de capitale culturelle européenne en 2011,
profite d'une énergie à moindre coût et d'une pollution réduite.
Sa
centrale thermique, la plus grande d'Europe dans son genre, est gérée
par le groupe Dalkia, filiale spécialisée dans les services énergétiques
des français Veolia et EDF. Après 80 millions d'euros de travaux
réalisés entre fin 2010 et l'été 2013, elle a remplacé un équipement
construit à l'époque communiste, et qui était déjà novateur en son
temps." La suite sur romandie.com
vendredi 18 avril 2014
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Ca n`empeche pas le gvt Orbán de tout miser sur le nucléaire...
RépondreSupprimerBonjour Joachim,
SupprimerEn effet, un contrat important a été signé avec la Russie. "Le géant russe de l'énergie nucléaire, Rosatom, doit ajouter deux réacteurs, de 1 200 mégawatts chacun, à la centrale de Paks située sur le Danube, au sud de Budapest, qui fournit plus de 40 % de l'électricité du pays."
Un contrat au contenu secret, qui endette le pays pour une génération entiere (http://www.greenfo.hu/hirek/2014/03/14/30-evre-eladosit-minket-orban-paksi-hitele) et dont on peut seulement présumer que, en contrepartie, il ouvre le marché russe á un tout petit nombre d`oligarques hongrois qu`Orbán le "combattant de la liberté" ("szabadságharcos") a préalablement pourvus d`immenses terres cultivables aux dépens des exploitations agricoles familiales. A propos, sait-on seulement en France que depuis 2011 et par décision du précédent gvt Orbán la Hongrie n`est officiellement plus une république mais seulement un "pays" ("ország")?
SupprimerBonsoir Joachim, ce sont des informations connues en France et qu'on peut trouver ici ou là sur le présent blog. Mais il n'est pas inutile de les rappeler même si elles expriment une opinion ou un point de vue.
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