"Dürer, Greco, Tiepolo, Manet, Rippl-Ronai
9 mars- 10 juillet 2016
Musée du Luxembourg
19 rue de Vaugirard
75006 Paris
Cette exposition rassemble des œuvres provenant du Musée des Beaux-Arts et de la galerie nationale hongrois, et propose au visiteur non seulement une importante sélection de peintures issues de la période baroque mais également des peintures liées à l’impressionnisme français.
Au cours des siècles, et malgré les vicissitudes de l’Histoire, le Musée
des Beaux-Arts de Budapest et la Galerie nationale hongroise, grâce à
des dons de la noblesse du pays, ont pu augmenter de manière
significative leur patrimoine, constitué de peintures, dessins,
sculptures et objets précieux." La suite sur on-mag.fr
vendredi 25 mars 2016
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Merci pour ce fil!
RépondreSupprimerExcellent article condensant l'essentiel en valorisant l'art hongrois autant que le reste, ce qui est plutôt rare!
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à noter "Chefs-d’œuvre de Budapest : l’e-album de l’exposition"
http://www.grandpalais.fr/fr/article/chefs-doeuvre-de-budapest-le-album-de-lexposition
Je ne peux juger du contenu, n'ayant pas les outils nécessaires, mais je pense pouvoir dire qu'à ma connaissance, c'est la première fois que tant d'attention et de moyens sont mis au service d'une exposition; car outre l'excellence du gros catalogue papier (relié), voilà probablement une mise en scène technologique qui peut amplifier la connaissance de l'histoire de l'art, en particulier relatif à la Hongrie et à toutes ses richesses jusqu'ici souvent inconnues, mise en scène peut-être due à l'impulsion des Hongrois, très en pointe en ce domaine.
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Lire aussi ici l'article de Pierre Waline:
http://mardishongrois.blogspot.fr/2016/03/quand-paris-heberge-les-chefs-doeuvre.html
Merci michartpoesho pour ces précisions. L'e-album de l'exposition est une excellente initiative pour mettre les technologies récentes au service de la culture. Sans chauvinisme pro-français, je pense que l'impulsion vient des muséographes du Grand Palais et/ou du Musée du Luxembourg. Les musées français savent se doter des outils les plus modernes d'autant que le public des musées devient de plus en plus nombreux au fil des années. Il suffit aussi de voir le nombre de produits dérivés vendus autour de toutes les expositions pour mesurer l'intérêt marchand de ces initiatives et les recettes qu'elles génèrent.
RépondreSupprimerBien à vous.