"De passage à Paris, en route vers une résidence d’un mois à Querbes, András Imreh nous a parlé de poésie.
Vos poèmes traduits en français ont été publiés dans un recueil
intitulé Trois poètes hongrois (Editions du Murmure, 2009). Vous
appartenez à la même génération que deux autres poètes, Krisztina Tóth
et János Lackfi. Au-delà de l’âge, existe-t-il d’autres traits communs
entre vous ?
Ce n’est peut-être pas par hasard si nous figurons ensemble dans le
recueil. Je crois que notre vision de la poésie est très proche. Je ne
dirais pas que nous appartenons à la même école car je ne crois pas aux
écoles poétiques, mais notre façon de penser est similaire. Nous avons
tous subi, moi probablement moins que les deux autres, l’influence de la
poésie française. Je ne parle pas de la poésie actuelle mais plutôt de
celle du 20ème siècle jusqu’à Apollinaire, ou plutôt jusqu’à
Supervielle." La suite sur litteraturehongroise.fr
mercredi 30 mars 2016
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