dimanche 31 juillet 2016
Sziget Festival de Budapest (Hongrie) : les jeunes talents à découvrir
"À côté des éternelles grosses têtes d'affiche, les festivals programment
les artistes prometteurs de demain. Sélection des étoiles montantes à
ne pas manquer lors de son été de festivalier... ou à surveiller si vous
n'avez pas la chance de vous y déplacer. Gros plan sur le Sziget
Festival en Hongrie, du 10 au 17 août en Hongrie." La suite sur ladepeche.fr
samedi 30 juillet 2016
Réfugiés : Juncker craint que l'accord UE-Turquie capote
"Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a estimé que l'accord entre l'UE et la Turquie pour freiner l'afflux de réfugiés
en Europe de l'Ouest risquait de capoter, dans un entretien à paraître
ce samedi. Si cela se produit « nous pouvons alors nous attendre à ce
que les migrants recommencent à venir en Europe », a-t-il expliqué au quotidien autrichien Kurier.
L'accord controversé conclu en mars entre la Turquie et l'Union européenne a réussi à endiguer le flux des migrants mais le coup d'Etat manqué du 15 juillet contre Erdogan fait craindre qu'il ne soit remis en cause. Avec la purge qui a suivi, le groupe de responsables turcs chargés de surveiller la mise en oeuvre de l'accord sur les migrants côté grec ont été renvoyés chez eux et ils n'ont pas été remplacés.
La Hongrie et la Pologne inquiète aussi." La suite sur leparisien.fr
L'accord controversé conclu en mars entre la Turquie et l'Union européenne a réussi à endiguer le flux des migrants mais le coup d'Etat manqué du 15 juillet contre Erdogan fait craindre qu'il ne soit remis en cause. Avec la purge qui a suivi, le groupe de responsables turcs chargés de surveiller la mise en oeuvre de l'accord sur les migrants côté grec ont été renvoyés chez eux et ils n'ont pas été remplacés.
La Hongrie et la Pologne inquiète aussi." La suite sur leparisien.fr
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Une nouvelle usine Mercedes à Kecskemét (Hongrie)
"Ouverte en 2012, l’usine Mercedes de Kecskemét va être complétée
d’une autre unité dans les années à venir. Cette seconde usine produira
des modèles traction et propulsion.
La production de l’usine Mercedes de Kecskemét en Hongrie a débuté en 2012 avec la Classe-B. Elle est à présent un élément essentiel de l’offensive de Mercedes sur le segment des compactes et tourne à plein régime. 180000 Classe-B et CLA (Coupé et Shooting Brake) y ont ainsi été assemblés l’année dernière." La suite sur leblogauto.com
La production de l’usine Mercedes de Kecskemét en Hongrie a débuté en 2012 avec la Classe-B. Elle est à présent un élément essentiel de l’offensive de Mercedes sur le segment des compactes et tourne à plein régime. 180000 Classe-B et CLA (Coupé et Shooting Brake) y ont ainsi été assemblés l’année dernière." La suite sur leblogauto.com
Der goldene Drache | Le Dragon d’Or théâtre musical de Péter Eötvös
"Ce soir, nous faisons connaissance avec la très jolie maison d’opéra de
Buxton, élégante bourgade du Derbyshire où, à quelques quatre heures de
voiture de Londres et à une cinquantaine de kilomètres de Manchester,
plus au nord, a lieu un festival de franche allure qui ne le cède en
rien à nos incontournables continentaux. Quelques semaines après notre
collègue strasbourgeoise dont les pas foulèrent la capitale britannique
pour le Ring d’Opera North [lire notre chronique
du 3 juillet 2016], l’île nous accueille au cœur d’une campagne
verdoyante où de longues promenades invitent à la rêverie. Entre une
randonnée sur les sentiers d’un parc régional séduisant et une bonne
bière rousse au Kings Head, (véritable institution), découvrir la
nouvelle version de l’avant-dernier ouvrage lyrique de Péter Eötvös
gagne des atours plus exotiques encore que partout ailleurs." La suite sur anaclase.com
vendredi 29 juillet 2016
Gros bras et barbelés, un maire hongrois met en scène sa "chasse aux migrants"
"Voitures de patrouille, miliciens armés, photos humiliantes de migrants à genoux les mains sur la tête présentés comme des butins de chasse : dans la petite commune hongroise d’Asotthalom, le maire organise lui-même une traque haineuse aux voyageurs clandestins. Un exemple supplémentaire du déchaînement sécuritaire et xénophobe qui règne en Hongrie selon notre Observateur.
"Violents envahisseurs 0 – Milice citoyenne 1" est-il écrit en légende d’une photo publiée en juin sur la page Facebook de Toroczkai Laszlo, le maire de d’Asotthalom, un petit village de 5 000 habitants à la frontière serbo-hongroise. L’image est affligeante : trois migrants apparaissent allongés, le visage plaqué au sol et les mains liées dans le dos. Sur une autre photo, partagée plus de 300 fois, un homme en treillis à la carrure imposante pose devant cinq jeunes hommes, capturés lors de leur traversée illégale de la frontière." La suite sur observers.france24.com
"Violents envahisseurs 0 – Milice citoyenne 1" est-il écrit en légende d’une photo publiée en juin sur la page Facebook de Toroczkai Laszlo, le maire de d’Asotthalom, un petit village de 5 000 habitants à la frontière serbo-hongroise. L’image est affligeante : trois migrants apparaissent allongés, le visage plaqué au sol et les mains liées dans le dos. Sur une autre photo, partagée plus de 300 fois, un homme en treillis à la carrure imposante pose devant cinq jeunes hommes, capturés lors de leur traversée illégale de la frontière." La suite sur observers.france24.com
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Viktor Orbán et l’obsession du «Grand Remplacement»
"Pour Viktor Orbán, le système de quotas proposé par la France, l’Allemagne et la Commission européenne pour répartir les demandeurs d’asile en Europe, n’est rien d’autre que la preuve d’une stratégie de substitution des populations européennes par des populations allochtones. Cette analyse rappelle plusieurs théories ayant essaimé en Occident depuis le début des années 2000, dont celle du «Grand Remplacement» est sans doute la plus connue en France. Elles ont pour point commun l’obsession d’une «islamisation» imminente de l’Europe ainsi qu’une lecture complotiste de la géopolitique mondiale.
Mardi dernier, lors d’une conférence de presse commune avec son homologue autrichien Christian Kern, Viktor Orbán s’est fait remarquer par une déclaration fracassante à l’égard de la «politique migratoire» européenne, qualifiée de «poison» pour la Hongrie et les autres États membres." La suite sur hu-lala.org
Mardi dernier, lors d’une conférence de presse commune avec son homologue autrichien Christian Kern, Viktor Orbán s’est fait remarquer par une déclaration fracassante à l’égard de la «politique migratoire» européenne, qualifiée de «poison» pour la Hongrie et les autres États membres." La suite sur hu-lala.org
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Comment un maire d’extrême droite d’une ville hongroise trolle Facebook
"Le maire du village d’Ásotthalom, à la frontière serbe, inonde sa page de clichés humiliant les réfugiés pris par la patrouille et de posts taclant la faiblesse de l’Union européenne. Plus fort que Viktor Orbán.
Un sourire, un chiot, la campagne. Voilà ce qu’on remarque sur sa photo de profil et cela pourrait être mignon.
Un sourire, un chiot, la campagne. Voilà ce qu’on remarque sur sa photo de profil et cela pourrait être mignon.
Mais en fait, László Toroczkai, maire hongrois
d’extrême droite, pose accroupi près des barbelés qui longent sa commune
et séparent la Hongrie de la Serbie depuis l’été dernier.
Et il porte un tee-shirt acheté sur le webshop des « ultras magyars » (hooligans autrichiens) qui ont animé
l’Euro 2016. László Toroczkai dirige la commune hongroise d’Ásotthalom
(4 200 habitants), il n’aime pas les étrangers « illégaux » et le fait
savoir sur les réseaux sociaux." La suite sur rue89.nouvelobs.com
Rideau de fer sur les migrants en Hongrie
"L’immigration est un poison" : c’est par ces mots que Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, légitime le traitement réservé aux migrants qui tentent d'entrer en Hongrie depuis la Serbie. Depuis l’accord européen conclu avec la Turquie, la route des Balkans n’est plus aussi surveillée, mais de nombreux réfugiés continuent de l’emprunter. Arrivés aux frontières avec la Hongrie, leur prise en charge par les autorités sont déplorables." Vidéo sur arte.tv
Ressources hydriques Signature à Budapest d'un mémorandum d’entente entre la Hongrie et le Maroc
"La Hongrie et le Maroc ont signé à Budapest, un mémorandum d’entente visant le renforcement de la coopération dans le domaine des ressources hydriques.
Charafat Afilal, ministre chargée de l'Eau, et Laszlo Felkai, secrétaire d’État hongrois en charge du secteur de l’Eau, ont signé, mercredi à Budapest, un mémorandum d’entente visant le renforcement de la coopération dans le domaine des ressources hydriques. Laszlo Felkai a précisé qu’«il s'agit d’un partenariat remarquable qui ouvre la porte à d’autres formes de coopération plus renforcées». Appelée le pays de l'eau, «la Hongrie bénéficie d'une relative abondance en eau et particulièrement en eau de surface." La suite sur lematin.ma
Charafat Afilal, ministre chargée de l'Eau, et Laszlo Felkai, secrétaire d’État hongrois en charge du secteur de l’Eau, ont signé, mercredi à Budapest, un mémorandum d’entente visant le renforcement de la coopération dans le domaine des ressources hydriques. Laszlo Felkai a précisé qu’«il s'agit d’un partenariat remarquable qui ouvre la porte à d’autres formes de coopération plus renforcées». Appelée le pays de l'eau, «la Hongrie bénéficie d'une relative abondance en eau et particulièrement en eau de surface." La suite sur lematin.ma
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Une adolescente rom et sa mère déportées dans deux semaines
"Gilda Lakatos, 17 ans, et sa mère Katalin, espéraient obtenir de bonnes nouvelles jeudi matin. Les deux femmes roms ont plutôt appris de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) qu’elles seraient déportées en Hongrie le 11 août.
«Je suis fatiguée. J’ai l’impression d’avoir perdu cinq ans de ma vie, ça fait vraiment mal. J’aurais aimé terminer des études, travailler, avoir une maison, avoir une vie normale», a commenté Gilda, peu avant d’éclater en sanglots.
Les espoirs étaient pourtant permis pour cette jeune fille qui vient de terminer ses études secondaires en français à Montréal et pour sa mère. Elles avaient obtenu le 11 mai, à la veille de leur précédente date prévue d’expulsion, un permis de séjour temporaire exceptionnel de deux mois de la part du ministre fédéral de l’Immigration. Elles croyaient que ce délai visait à permettre à l’ASFC d’évaluer leur demande de résidence permanente sur des bases humanitaires." La suite sur journalmetro.com
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Hongrie : le juge qui ne voulait pas se taire
"L’ancien président de la Cour suprême a été limogé
après avoir critiqué le Premier ministre du pays, Viktor Orban.
L’affaire remonte à 2012. La Cour européenne des droits de l’homme
(CEDH) vient de donner raison à Andreas Baka. Une décision passée
inaperçue à cause du Brexit.
Son mandat à la tête de la Cour suprême devait durer six ans. Il aura finalement été raccourci de plus de trois ans. Andras Baka aura commis une faute impardonnable : critiquer le pouvoir en place, et son chef, l’autoritaire Viktor Orban.
En cause, plusieurs dénonciations de réformes judiciaires initiées par le Fidesz, le parti au pouvoir, comme celle abaissant l’âge légal de départ à la retraite des juges de 70 à 62 ans. Une réforme considérée comme initiant une purge au sein de la magistrature." La suite sur francetvinfo.fr
Son mandat à la tête de la Cour suprême devait durer six ans. Il aura finalement été raccourci de plus de trois ans. Andras Baka aura commis une faute impardonnable : critiquer le pouvoir en place, et son chef, l’autoritaire Viktor Orban.
En cause, plusieurs dénonciations de réformes judiciaires initiées par le Fidesz, le parti au pouvoir, comme celle abaissant l’âge légal de départ à la retraite des juges de 70 à 62 ans. Une réforme considérée comme initiant une purge au sein de la magistrature." La suite sur francetvinfo.fr
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Référendum contre les réfugiés : les Hongrois de Voïvodine en renfort de Viktor Orbán
"Viktor
Orbán peut compter sur le soutien des minorités hongroises. István
Pásztor, le chef de l’Alliance des Magyars de Voïvodine (SVM), promet de
mobiliser les Hongrois de Serbie pour le référendum du 2 septembre
contre les quotas de relocalisation des réfugiés... La Voïvodine se
trouve géographiquement placée au coeur de la crise.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a convoqué pour le 2 octobre un référendum contre les quotas de relocalisation des réfugiés prévus par l’Union européenne. István Pásztor, le président de l’Alliance des Magyars de Voïvodine (Vajdasági Magyar Szövetség/ Savez vojvođanskih Mađara, SVM), a déclaré au quotidien Politika qu’il ferait tout pour mobiliser les électeurs. En effet, la plupart des Hongrois de Voïvodine dispose du droit de vote en Hongrie." La suite sur courrierdesbalkans.fr (version payante)
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jeudi 28 juillet 2016
En Hongrie, des vacances en mode 3D et innovation
"Un camp d‘été sur l’innovation… C’est un peu le principe du
rassemblement d‘écoliers qui se tient à Zanka, en Hongrie, un village
proche du lac Balaton.
Il s’agit ici de sensibiliser les enfants à la technologie.
L’initiative émane de trois entreprises hongroises spécialisées dans les imprimante 3D, un outil encore peu accessible au plus grand nombre, mais avec lequel, estiment ils, il est bon de se familiariser." La suite sur euronews.com
Il s’agit ici de sensibiliser les enfants à la technologie.
L’initiative émane de trois entreprises hongroises spécialisées dans les imprimante 3D, un outil encore peu accessible au plus grand nombre, mais avec lequel, estiment ils, il est bon de se familiariser." La suite sur euronews.com
Peter Eötvös : « Nous vivons une nouvelle époque de l’opéra »
"Après la récente création scénique de son dernier opéra, Senza sangue, à Avignon, Peter Eötvös n'oublie pas la musique vocale puisque le festival de Salzbourg donnera le 30 juillet, en création mondiale, une oeuvre pour mezzo-soprano, ténor, récitant choeur et orchestre, intitulée Halleluja - Oratorio balbulum (littéralement, « oratorio bégayant »). C'est l'occasion de faire le point sur le parcours d'un compositeur lyrique le plus joué aujourd'hui.
En tant que compositeur, saviez-vous que vous en viendriez un jour à aborder l’opéra, ce genre longtemps dédaigné par la musique contemporaine ?
Je dirais que oui, parce que j’ai toujours eu un intérêt pour le théâtre. Quand j’avais 18 ans, au début des années 1960, j’ai passé six années à travailler dans différents théâtres de Budapest. On y donnait le grand répertoire, et j’ai rencontré de grands acteurs. J’adorais l’odeur propre aux théâtres, et encore aujourd’hui, quand je suis dans un théâtre, je me sens chez moi. Ensuite, en 1967-68, j’ai passé deux ans comme répétiteur à l’Opéra de Cologne : ce fut ma première expérience associant théâtre et musique." La suite sur forumopera.com
En tant que compositeur, saviez-vous que vous en viendriez un jour à aborder l’opéra, ce genre longtemps dédaigné par la musique contemporaine ?
Je dirais que oui, parce que j’ai toujours eu un intérêt pour le théâtre. Quand j’avais 18 ans, au début des années 1960, j’ai passé six années à travailler dans différents théâtres de Budapest. On y donnait le grand répertoire, et j’ai rencontré de grands acteurs. J’adorais l’odeur propre aux théâtres, et encore aujourd’hui, quand je suis dans un théâtre, je me sens chez moi. Ensuite, en 1967-68, j’ai passé deux ans comme répétiteur à l’Opéra de Cologne : ce fut ma première expérience associant théâtre et musique." La suite sur forumopera.com
Márton Gyöngyösi : la Hongrie attache une importance particulière au développement des relations avec l’Azerbaïdjan
"Bakou, 27 juillet, AZERTAC
La députée azerbaïdjanaise Ganira pachayeva a discuté avec Márton Gyöngyösi, président du groupe d’amitié interparlementaire Hongrie-Azerbaïdjan, du développement des liens entre deux pays et de la diffusion des réalités sur le génocide de Khodjaly en Hongrie.
G. Pachayeva a fait savoir que la coopération entre l’Azerbaïdjan et la Hongrie était à haut niveau. Elle a informé son interlocuteur sur l’état actuel des négociations concernant le règlement du conflit arméno-azerbaïdjanais du Haut-Karabagh, les provocations commises par l’Arménie dans la région. Elle s’est dite convaincue que le groupe d’amitié interparlementaire Hongrie-Azerbaïdjan et son président redoubleraient leurs efforts pour transmettre les réalités sur le génocide de Khodjaly au public hongrois." La suite sur azertag.az
La députée azerbaïdjanaise Ganira pachayeva a discuté avec Márton Gyöngyösi, président du groupe d’amitié interparlementaire Hongrie-Azerbaïdjan, du développement des liens entre deux pays et de la diffusion des réalités sur le génocide de Khodjaly en Hongrie.
G. Pachayeva a fait savoir que la coopération entre l’Azerbaïdjan et la Hongrie était à haut niveau. Elle a informé son interlocuteur sur l’état actuel des négociations concernant le règlement du conflit arméno-azerbaïdjanais du Haut-Karabagh, les provocations commises par l’Arménie dans la région. Elle s’est dite convaincue que le groupe d’amitié interparlementaire Hongrie-Azerbaïdjan et son président redoubleraient leurs efforts pour transmettre les réalités sur le génocide de Khodjaly au public hongrois." La suite sur azertag.az
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Veolia : déploie ses activités liées aux énergies renouvelables en Hongrie avec l’acquisition de la centrale biomasse de Szakoly
"Veolia (Paris:VIE), à travers sa filiale Veolia Energy Hungary Co. Ltd., a acquis la société DBM Zrt., propriétaire de la centrale biomasse de Szakoly. Avec cette acquisition, Veolia détient et exploite désormais la cinquième plus grande installation de production d’électricité de Hongrie à partir de biomasse, qui génère un chiffre d’affaires annuel de 16,7 M€. Après les centrales de Pécs et Dorog, le Groupe poursuit ainsi le développement de ses activités de production d’énergie renouvelable en Hongrie.
La centrale de Szakoly, en activité depuis 2009, assure la production d’électricité à partir de la combustion de copeaux de bois et de sous-produits de scierie. D’une capacité de 19,8 MW, elle produit 130 GWh d’électricité par an alimentant le réseau national d’électricité, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 50 000 foyers en Hongrie." La suite sur zonebourse.com
La centrale de Szakoly, en activité depuis 2009, assure la production d’électricité à partir de la combustion de copeaux de bois et de sous-produits de scierie. D’une capacité de 19,8 MW, elle produit 130 GWh d’électricité par an alimentant le réseau national d’électricité, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 50 000 foyers en Hongrie." La suite sur zonebourse.com
Hongrie : Thealter, l'esprit d'indépendance
"La ville hongroise de Szeged est en plein festival de théâtre, le
festival Thealter. En tout neuf jours de représentations données par des
compagnies venues de l’est et du sud de l’Europe.
Erika Kocsor, Euronews : “En 25 ans l’association Maszk qui a créé ce festival a présenté plus de 200 troupes venues de 30 pays différents à Szeged. Pour beaucoup elles étaient en Hongrie pour la première fois.” La suite sur euronews.com
Erika Kocsor, Euronews : “En 25 ans l’association Maszk qui a créé ce festival a présenté plus de 200 troupes venues de 30 pays différents à Szeged. Pour beaucoup elles étaient en Hongrie pour la première fois.” La suite sur euronews.com
Autriche-Hongrie : désaccord sur les idées de Donald Trump
"La campagne électorale aux Etats-Unis s’est invitée à un sommet entre les dirigeants hongrois et autrichien.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban recevait ce mardi à Budapest son homologue autrichien Christian Kern.
M. Orban a redit son soutien au candidat républicain Donald Trump. Ce qui n’est pas le cas du chancelier autrichien.
“Il y a plusieurs points sur lesquels M. le Premier ministre et moi, nous ne sommes pas d’accord, et un de ces points de désaccord, c’est Donald Trump“, a expliqué Christian Kern lors d’une conférence de presse.
“Pour moi, a-t-il ajouté, il n’y a qu’une chose que m’inspire cet homme, c’est qu’il ne faut jamais teindre ses cheveux.“ " La suite sur euronews.com
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban recevait ce mardi à Budapest son homologue autrichien Christian Kern.
M. Orban a redit son soutien au candidat républicain Donald Trump. Ce qui n’est pas le cas du chancelier autrichien.
“Il y a plusieurs points sur lesquels M. le Premier ministre et moi, nous ne sommes pas d’accord, et un de ces points de désaccord, c’est Donald Trump“, a expliqué Christian Kern lors d’une conférence de presse.
“Pour moi, a-t-il ajouté, il n’y a qu’une chose que m’inspire cet homme, c’est qu’il ne faut jamais teindre ses cheveux.“ " La suite sur euronews.com
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mercredi 27 juillet 2016
Hongrie : le juge qui a dit non à Viktor Orban
"Dans son bureau du palais de justice de Budapest, où il exerce
désormais comme président d’une chambre civile, l’ancien plus haut
magistrat hongrois Andras Baka savoure avec modestie une forme de
revanche. Le 23 juin, pour la première fois, la Cour européenne des
droits de l’homme (CEDH) de Strasbourg n’a pas hésité à condamner
définitivement un Etat ayant limogé pour des motifs politiques le
président d’une cour suprême. « Ce jugement a inscrit dans le droit
européen ce que tout le monde sait bien : à savoir que m’écarter était
inconstitutionnel », énonce Andras Baka, 63 ans, qui a accepté de recevoir Le Monde.
« D’autant plus que j’ai été limogé sans avoir commis de faute », précise le juge, considéré comme un conservateur et élu à la tête de la Cour suprême le 22 juin 2009 avec 86 % des voix du Parlement, dont celles du Fidesz, alors dans l’opposition. « La Cour de Strasbourg, au contraire, a constaté qu’il ne relevait pas de mon droit mais bien de mon devoir de formuler des critiques sur la justice. Critiques que, d’ailleurs, je maintiens. Tout ce que je dénonçais à l’époque a dû être modifié depuis. »" La suite sur lemonde.fr (version payante)
« D’autant plus que j’ai été limogé sans avoir commis de faute », précise le juge, considéré comme un conservateur et élu à la tête de la Cour suprême le 22 juin 2009 avec 86 % des voix du Parlement, dont celles du Fidesz, alors dans l’opposition. « La Cour de Strasbourg, au contraire, a constaté qu’il ne relevait pas de mon droit mais bien de mon devoir de formuler des critiques sur la justice. Critiques que, d’ailleurs, je maintiens. Tout ce que je dénonçais à l’époque a dû être modifié depuis. »" La suite sur lemonde.fr (version payante)
Orbán à Băile Tușnad: «le mouton noir deviendra troupeau»
"C’est ici que, il y a deux ans, Viktor Orbán a lancé les bases de sa «démocratie illibérale». Invité samedi dernier à venir parler d’Europe, le premier ministre hongrois a profité de la 27e édition de l’Université d’été de Băile Tușnad pour se poser en chef de l’opposition à la Commission européenne. À rebours de Bruxelles sur l’immigration, le terrorisme et le rôle des États, il a décidé de pousser la rupture en apportant son soutien à Donald Trump.
Viktor Orbán n’en raterait une édition pour rien au monde. L’Université d’été Tusványos, organisée tous les ans par la minorité hongroise de Transylvanie à Băile Tușnad en Roumanie, est devenu au fil des années un rendez-vous médiatique incontournable, au cours duquel le Premier ministre de Hongrie en exercice est invité à s’exprimer sur le grand thème du moment. Organisée cette année autour du mot d’ordre «Nous étions, nous sommes et serons toujours chez nous en Europe», la cuvée 2016 a permis au chef de gouvernement conservateur de développer sa vision de la construction européenne, dans un contexte marqué par le Brexit, les attentats en France et en Allemagne, ainsi que la crise des réfugiés." La suite sur hu-lala.org
Viktor Orbán n’en raterait une édition pour rien au monde. L’Université d’été Tusványos, organisée tous les ans par la minorité hongroise de Transylvanie à Băile Tușnad en Roumanie, est devenu au fil des années un rendez-vous médiatique incontournable, au cours duquel le Premier ministre de Hongrie en exercice est invité à s’exprimer sur le grand thème du moment. Organisée cette année autour du mot d’ordre «Nous étions, nous sommes et serons toujours chez nous en Europe», la cuvée 2016 a permis au chef de gouvernement conservateur de développer sa vision de la construction européenne, dans un contexte marqué par le Brexit, les attentats en France et en Allemagne, ainsi que la crise des réfugiés." La suite sur hu-lala.org
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Aix-en-Provence - L’année de la Hongrie se poursuit avec un programme aussi éclectique (II)
"Le voyage culturel entamé en début d’année sous le thème de la Hongrie se poursuit avec une multitude d’événements.
Jusqu’au 2 octobre : Exposition Victor Vasarely, l’Art pour Tous
Dans la cadre de l’exposition triptyque Multiplicité : un parcours en 3 lieux au cœur de la Provence pour célébrer les 40 ans de la Fondation Vasarely et les 110 ans de la naissance de l’artiste Victor Vasarely. Fondation Vasarely
Renseignements : contact@fondationvasarely.org, 04 42 20 01 09"
La suite sur aixenprovence.fr
Jusqu’au 2 octobre : Exposition Victor Vasarely, l’Art pour Tous
Dans la cadre de l’exposition triptyque Multiplicité : un parcours en 3 lieux au cœur de la Provence pour célébrer les 40 ans de la Fondation Vasarely et les 110 ans de la naissance de l’artiste Victor Vasarely. Fondation Vasarely
Renseignements : contact@fondationvasarely.org, 04 42 20 01 09"
La suite sur aixenprovence.fr
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Des politiques familiales face aux enjeux démographiques
"En Hongrie, les jeunes souhaitent avoir plus d’enfants, mais les préoccupations liées au logement et à la conciliation travail-vie privée semblent les freiner dans leurs projets. Le gouvernement a donc pris une série de mesures essentielles pour aider les familles à réaliser leurs rêves et pour faire face au vieillissement rapide de la population.
La Hongrie compte actuellement dix millions d’habitants, un chiffre facile à retenir mais qui risque d’évoluer d’ici quelques décennies. Le pays connaît en effet un déclin démographique, qui s’est traduit ces 35 dernières années par une diminution de 850 000 habitants. La population mondiale devrait augmenter au cours des 35 prochaines années, mais la Hongrie ne sera pas concernée." La suite sur observateurocde.org
La Hongrie compte actuellement dix millions d’habitants, un chiffre facile à retenir mais qui risque d’évoluer d’ici quelques décennies. Le pays connaît en effet un déclin démographique, qui s’est traduit ces 35 dernières années par une diminution de 850 000 habitants. La population mondiale devrait augmenter au cours des 35 prochaines années, mais la Hongrie ne sera pas concernée." La suite sur observateurocde.org
L'Autriche et la Hongrie unis pour contrôler l'arrivée de réfugiés
"Viktor Orban, le premier ministre hongrois et Christian Kern, le
chancelier autrichien ont tenu une conférence de presse aujourd’hui à
Budapest. Ils ont exprimé leur compassion à l‘égard de la France.
Quand il était question du problème migratoire, la relation entre les deux pays a toujours été plutôt tendue. On a pu assister à des échanges musclés, mais les deux gouvernements ont décidé d’ouvrir une nouvelle page.
Viktor Orban a expliqué comprendre la nécessité pour l’Autriche de contrôler étroitement sa frontière à l’Est, même si cette surveillance complique la vie de nombreux Hongrois qui viennent en Autriche pour travailler. Il a assuré que le meilleur moyen de juguler les flux migratoires est d’unir leurs forces pour surveiller la frontière entre la Hongire et la Serbie." La suite sur euronews.com
Quand il était question du problème migratoire, la relation entre les deux pays a toujours été plutôt tendue. On a pu assister à des échanges musclés, mais les deux gouvernements ont décidé d’ouvrir une nouvelle page.
Viktor Orban a expliqué comprendre la nécessité pour l’Autriche de contrôler étroitement sa frontière à l’Est, même si cette surveillance complique la vie de nombreux Hongrois qui viennent en Autriche pour travailler. Il a assuré que le meilleur moyen de juguler les flux migratoires est d’unir leurs forces pour surveiller la frontière entre la Hongire et la Serbie." La suite sur euronews.com
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Le premier ministre hongrois compare l'immigration à un «poison»
"BUDAPEST - Le premier ministre hongrois Viktor Orban s'en est de nouveau pris mardi au «poison» de l'immigration, rejetant toute politique européenne qui voudrait «forcer» son pays à accueillir des étrangers.
«Pour nous l'immigration n'est pas une solution mais un problème (...), pour nous c'est un poison et nous ne voulons pas avaler ce poison», a déclaré le chef du gouvernement conservateur à Budapest où il rencontrait le chancelier autrichien social-démocrate Christian Kern." La suite sur canoe.ca
«Pour nous l'immigration n'est pas une solution mais un problème (...), pour nous c'est un poison et nous ne voulons pas avaler ce poison», a déclaré le chef du gouvernement conservateur à Budapest où il rencontrait le chancelier autrichien social-démocrate Christian Kern." La suite sur canoe.ca
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mardi 26 juillet 2016
Discours de M. Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, à Baile Tusnad (Roumanie) le 23 juillet 2016
Communiqué de l'Ambassade de Hongrie à Paris
Nous avons communiqué sur notre page Facebook la traduction française intégrale du discours prononcé par M. Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, à la 27ème Université d’été de Baile Tusnád (en hongrois Tusnádfürdő), en Roumanie, le 23 juillet 2016, ainsi que celle des réponses aux questions qui lui ont été posées à l’issue de son intervention.
A lire sur la page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
Nous avons communiqué sur notre page Facebook la traduction française intégrale du discours prononcé par M. Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, à la 27ème Université d’été de Baile Tusnád (en hongrois Tusnádfürdő), en Roumanie, le 23 juillet 2016, ainsi que celle des réponses aux questions qui lui ont été posées à l’issue de son intervention.
A lire sur la page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
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Rétrospective Modigliani à Budapest
"Rétrospective Modigliani
à la Galerie nationale hongroise. 80 oeuvres en tout venues des musées
et de collections privées du monde entier dont cet étonnant portrait qui
cache quelque chose.
Anna Zsófia Kovács est la commissaire de l’expo : “Au dos du portrait on peut voir un nu. Modigliani a peint d’abord le nu mais il n‘était pas satisfait donc il ne l’a pas achevé. Et comme il n‘était pas riche du tout. Il a utilisé la même toile pour peindre le portrait de Jean Alexandre quand son frère Paul a commandé cette peinture.” La suite sur euronews.com
Anna Zsófia Kovács est la commissaire de l’expo : “Au dos du portrait on peut voir un nu. Modigliani a peint d’abord le nu mais il n‘était pas satisfait donc il ne l’a pas achevé. Et comme il n‘était pas riche du tout. Il a utilisé la même toile pour peindre le portrait de Jean Alexandre quand son frère Paul a commandé cette peinture.” La suite sur euronews.com
Gastronomie : la renaissance du cochon mangalitza en Hongrie
C'est un animal à l'apparence loufoque, qui a frôlé la disparition. Le
mangalitza, une race de cochon laineux d'Europe Centrale, connaît une
véritable renaissance en Hongrie où les élevages se multiplient. Riche
en gras et appréciée pour ses qualités gustatives, cette viande
s'exporte aujourd'hui pour quelques privilégiés dans les restaurants
huppés de Los Angeles à Tokyo.
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Quand Orban écrase Uber (Arte)
"François Saltiel a l’œil, et le bon ! Chaque jour, à partir d'un clip,
d'une campagne de pub, d'une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux,
il va plus loin que le simple buzz du net et décrypte un phénomène de
société d'ici ou d'ailleurs. Aujourd’hui, il nous décrypte le retrait de
la compagnie de taxis Uber de la ville de Budapest."
Hongrie : un réseau de passeurs démantelé
"La police autrichienne a annoncé aujourd'hui le démantèlement d'un réseau
européen de passeurs soupçonné d'avoir convoyé en un an quelque mille
candidats à l'asile vers l'ouest de l'Europe, au départ de la Hongrie.
Dix-sept suspects ont été arrêtés depuis septembre 2015 dont sept lors d'un coup de filet mené simultanément jeudi en Autriche, à Budapest et Berlin par une centaine de policiers, ont annoncé les enquêteurs. Une douzaine de lieux ont été perquisitionnés; de l'argent et des armes ont notamment été saisis. Des Polonais, des Tchétchènes résidant en Autriche, des Allemands, un Syrien comptent parmi les personnes placées en détention provisoire." La suite sur lefigaro.fr
Dix-sept suspects ont été arrêtés depuis septembre 2015 dont sept lors d'un coup de filet mené simultanément jeudi en Autriche, à Budapest et Berlin par une centaine de policiers, ont annoncé les enquêteurs. Une douzaine de lieux ont été perquisitionnés; de l'argent et des armes ont notamment été saisis. Des Polonais, des Tchétchènes résidant en Autriche, des Allemands, un Syrien comptent parmi les personnes placées en détention provisoire." La suite sur lefigaro.fr
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Mésaventures scientologiques
Le pape de la Scientologie, David Miscavige, a-t-il été décoré à Budapest d'un... seau d'excréments humains ?? Enquête à lire en hongrois sur 444.hu
Uber à peine dégagé, son remplaçant arrive
Elle ressemble à Uber, elle offre les mêmes fonctionnalités mais elle
respecte les réglementations et ne gruge pas le fisc. Elle est
originaire d'Estonie et s'appelle Taxify. Elle voudrait s'implanter en
Hongrie dès le mois d'août en lieu et place de Uber qui vient de quitter
le pays le 24 juillet.
Lire l'article en hongrois sur hvg.hu
Lire l'article en hongrois sur hvg.hu
Escrime: Pal Schmitt, fine lame et gaffeur politique
"Il est passé des sommets du sport à ceux de la politique, du
couronnement olympique à la présidence de la République, mais
l'atterrissage de l'ancien escrimeur hongrois Pal Schmitt a été brutal
après une piteuse affaire de plagiat.
Pal Schmitt c'est d'abord un parcours habile à travers les méandres de l'histoire hongroise: double champion olympique d'épée par équipe (1968 et 1972), entrée en politique sous le régime communiste via le comité olympique national avant un ralliement au Fidesz, le parti de Viktor Orban, fondé en opposition au parti communiste." La suite sur lepoint.fr
Pal Schmitt c'est d'abord un parcours habile à travers les méandres de l'histoire hongroise: double champion olympique d'épée par équipe (1968 et 1972), entrée en politique sous le régime communiste via le comité olympique national avant un ralliement au Fidesz, le parti de Viktor Orban, fondé en opposition au parti communiste." La suite sur lepoint.fr
lundi 25 juillet 2016
À Budapest, Viktor Orbán veut prendre la Citadelle
"Chantier monstre dans le quartier du château, projet de Bois des musées à Pest, grattes-ciel au nord de la ville… Les grues ne sont pas prêtes de disparaître du paysage budapestois. Viktor Orbán entend poursuivre sa politique de grands travaux en s’attaquant cette fois à l’emblème de la capitale : la Citadelle.
Le gouvernement a publié le 15 juillet dernier un appel à idées portant sur «l’utilisation future du mont Gellért et de la Citadelle, ainsi que le renouvellement de sa fonction et de sa vocation». En s’enregistrant sur un site Internet dédié, chaque Hongrois, qu’il soit professionnel ou simple citoyen, est ainsi invité à faire des propositions quant à l’avenir de cette ancienne forteresse défensive, de sa statue et de son parc, véritable poumon vert en plein cœur de la capitale. Jusqu’à hier, chaque postulant pouvait envoyer ses questions, lesquelles devraient recevoir une réponse le 1er août prochain." La suite sur hu-lala.org
Le gouvernement a publié le 15 juillet dernier un appel à idées portant sur «l’utilisation future du mont Gellért et de la Citadelle, ainsi que le renouvellement de sa fonction et de sa vocation». En s’enregistrant sur un site Internet dédié, chaque Hongrois, qu’il soit professionnel ou simple citoyen, est ainsi invité à faire des propositions quant à l’avenir de cette ancienne forteresse défensive, de sa statue et de son parc, véritable poumon vert en plein cœur de la capitale. Jusqu’à hier, chaque postulant pouvait envoyer ses questions, lesquelles devraient recevoir une réponse le 1er août prochain." La suite sur hu-lala.org
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Elmyr de Hory, le faussaire du siècle
De New York à Paris en passant par Rio, portrait d'Elmyr de Hory
(1906-1976), un faussaire de génie qui a transformé à jamais le marché
de l'art.
La vie d'Elmyr de Hory se révèle aussi étourdissante et brillante que son oeuvre. Quand la route de ce faussaire de génie, rescapé des camps nazis, croise celle de Fernand Legros, le plus grand vendeur escroc du XX e siècle, tous deux inondent le marché de l'art de plusieurs milliers de faux, trompant galeries, collectionneurs et musées du monde entier. À travers les errances d'Elmyr, de New York à Paris, de Budapest à Rio et de Miami à Ibiza, une histoire fascinante qui a transformé à jamais le marché de l'art.
Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD (54 mn) sur arte.tv
"Elmyr de Hory (de son vrai nom Elemér Albert Hoffmann), né le 14 avril 1906 en Hongrie et mort le 11 décembre 1976 à Ibiza, est un peintre et faussaire d'origine hongroise. (Wikipédia)
La vie d'Elmyr de Hory se révèle aussi étourdissante et brillante que son oeuvre. Quand la route de ce faussaire de génie, rescapé des camps nazis, croise celle de Fernand Legros, le plus grand vendeur escroc du XX e siècle, tous deux inondent le marché de l'art de plusieurs milliers de faux, trompant galeries, collectionneurs et musées du monde entier. À travers les errances d'Elmyr, de New York à Paris, de Budapest à Rio et de Miami à Ibiza, une histoire fascinante qui a transformé à jamais le marché de l'art.
Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD (54 mn) sur arte.tv
"Elmyr de Hory (de son vrai nom Elemér Albert Hoffmann), né le 14 avril 1906 en Hongrie et mort le 11 décembre 1976 à Ibiza, est un peintre et faussaire d'origine hongroise. (Wikipédia)
dimanche 24 juillet 2016
Vendée Globe : le Hongrois Nandor Fa se qualifie en solitaire
"Le skipper hongrois Nandor Fa est de retour aux Sables-d'Olonne après avoir traversé l'Atlantique en solitaire. Il est qualifié pour le prochain Vendée Globe.
Il s’est amarré au ponton des Sables-d’Olonne, vendredi 22 juillet. Le Hongrois, Nandor Fa, est désormais qualifié pour le prochain Vendée Globe. « Il a couvert largement plus que les 1 500 milles qui lui étaient demandés », confirme la direction sur son site internet." La suite sur ouest-france.fr
Il s’est amarré au ponton des Sables-d’Olonne, vendredi 22 juillet. Le Hongrois, Nandor Fa, est désormais qualifié pour le prochain Vendée Globe. « Il a couvert largement plus que les 1 500 milles qui lui étaient demandés », confirme la direction sur son site internet." La suite sur ouest-france.fr
Le Hongrois Viktor Orban affiche son soutien à Donald Trump
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a affiché samedi son soutien à Donald Trump pour la présidentielle américaine, une «meilleure option» selon lui pour l’Europe que sa rivale Hillary Clinton.
«Parmi les options possibles, ce serait la meilleure pour l’Europe et pour la Hongrie», a déclaré Viktor Orban lors d’un discours à Baile Tusnad, en Roumanie, retransmis par la télévision hongroise." La suite sur lavenir.net
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samedi 23 juillet 2016
Uber jette l’éponge à Budapest
"L’application haïe des taxis cesse son activité en Hongrie ce dimanche 24 juillet. Une première en Europe.
« Malgré notre recherche constante du dialogue, le gouvernement refuse de modifier des règles édictées à l’époque où les téléphones fixes n’existaient pas encore. Nous avons mis en place le reçu électronique, demandé des permissions spéciales aux chauffeurs et assuré les véhicules légalement. L’administration punit l’innovation et nos employés par la même occasion. »
« Malgré notre recherche constante du dialogue, le gouvernement refuse de modifier des règles édictées à l’époque où les téléphones fixes n’existaient pas encore. Nous avons mis en place le reçu électronique, demandé des permissions spéciales aux chauffeurs et assuré les véhicules légalement. L’administration punit l’innovation et nos employés par la même occasion. »
Zoltán Fekete est en rage. Logique : le patron
d’Uber au pays du goulash va limoger 1 200 salariés et se passer de
160 000 clients." La suite sur rue89.nouvelobs.com
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Budapest between the lines
"Benoît Braban est un photographe français de trente ans originaire de la région de Tours. Visiteur régulier de Budapest, il y a réalisé une série de photographies intitulée sobrement Between the lines (« entre les lignes »). Entretien.
Tu as intitulé cette série « Between the lines ». Qu’as-tu cherché à montrer à travers ces « lignes » ?
Ce qui m’intéresse c’est le « rythme » de l’image de par les lignes, les cassures, les couleurs. Sur cette série, la démarche était la suivante : me balader dans la ville à la recherche de ce rythme. Entre ces lignes, je pense que j’essaye de donner à voir la situation de Budapest et de la Hongrie de manière générale, en particulier par l’aménagement urbain, lequel n’a pas encore complètement la standardisation que l’on peut voir à l’Ouest. On sent à Budapest que quelque chose est en mutation." La suite sur hu-lala.org
Tu as intitulé cette série « Between the lines ». Qu’as-tu cherché à montrer à travers ces « lignes » ?
Ce qui m’intéresse c’est le « rythme » de l’image de par les lignes, les cassures, les couleurs. Sur cette série, la démarche était la suivante : me balader dans la ville à la recherche de ce rythme. Entre ces lignes, je pense que j’essaye de donner à voir la situation de Budapest et de la Hongrie de manière générale, en particulier par l’aménagement urbain, lequel n’a pas encore complètement la standardisation que l’on peut voir à l’Ouest. On sent à Budapest que quelque chose est en mutation." La suite sur hu-lala.org
vendredi 22 juillet 2016
Serbie. Des migrants entament une marche vers la Hongrie
"Environ 300 migrants originaires principalement d'Afghanistan, du Pakistan et d'Iran ont marché vendredi dans les rues de Belgrade en disant vouloir rejoindre la Hongrie et annoncé le début d'une grève de la faim pour protester contre la fermeture de la frontière hongroise.
Ils ont entamé une marche de « protestation » : environ 300 migrants sont partis de Belgrade, vendredi. « Ils veulent aller en Hongrie, ils veulent l'ouverture des frontières », a expliqué Vladimir Sjekloca, d'un centre d'aide aux migrants. « La plupart ont passé la nuit dans un parc. » La frontière hongroise est à quelque 200 km au nord de Belgrade." La suite sur ouest-france.fr
Ils ont entamé une marche de « protestation » : environ 300 migrants sont partis de Belgrade, vendredi. « Ils veulent aller en Hongrie, ils veulent l'ouverture des frontières », a expliqué Vladimir Sjekloca, d'un centre d'aide aux migrants. « La plupart ont passé la nuit dans un parc. » La frontière hongroise est à quelque 200 km au nord de Belgrade." La suite sur ouest-france.fr
La Hongrie, un pays xénophobe ?
"La Hongrie serait aujourd’hui le pays le plus xénophobe d’Europe, selon une récente étude du Pew Research Center.
La nation d’‘Europe centrale, qui a érigé une barrière anti-migrants à
sa frontière, a toujours été parmi les premières dans cette catégorie.
L‘étude révèle que 72 % des Hongrois ont une opinion négative des musulmans. A titre de comparaison, la France affiche l’un des pourcentages les plus faibles, alors que le nombre de musulmans y est le plus important." La suite et vidéo sur euronews.com
L‘étude révèle que 72 % des Hongrois ont une opinion négative des musulmans. A titre de comparaison, la France affiche l’un des pourcentages les plus faibles, alors que le nombre de musulmans y est le plus important." La suite et vidéo sur euronews.com
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jeudi 21 juillet 2016
Viktor Orban: L'UE n'est plus un «acteur global»
"Le Premier ministre hongrois affirme ce jeudi que le Brexit fait de l'UE un simple «acteur régional».
«Dramatique». C'est l'adjectif employé par le premier ministre hongrois Viktor Orban ce 21 juillet 2016 pour qualifier le désir du Royaume Uni de sortir l'Union européenne, appelé Brexit.
Le premier ministre hongrois intervenait devant la presse avec ses homologues polonais, slovaque et tchèque du groupe de Visegrad, réunis pour préparer leurs propositions communes de réformes de l'UE en vue d'un sommet informel à 27 prévu à Bratislava le 16 septembre. Ces propositions visent essentiellement à un renforcement du rôle des parlements nationaux au détriment de Bruxelles.
«Que ferons-nous pour retrouver un rôle global ?», a demandé Viktor Orban, estimant que l'UE a «perdu» la Grande-Bretagne parce que «la Commission européenne a pris les pires décisions possibles en matière de migrations» et qu'elle «ne dit pas clairement quels sont les objectifs de sa politique migratoire»." La suite sur tdg.ch
«Dramatique». C'est l'adjectif employé par le premier ministre hongrois Viktor Orban ce 21 juillet 2016 pour qualifier le désir du Royaume Uni de sortir l'Union européenne, appelé Brexit.
Le premier ministre hongrois intervenait devant la presse avec ses homologues polonais, slovaque et tchèque du groupe de Visegrad, réunis pour préparer leurs propositions communes de réformes de l'UE en vue d'un sommet informel à 27 prévu à Bratislava le 16 septembre. Ces propositions visent essentiellement à un renforcement du rôle des parlements nationaux au détriment de Bruxelles.
«Que ferons-nous pour retrouver un rôle global ?», a demandé Viktor Orban, estimant que l'UE a «perdu» la Grande-Bretagne parce que «la Commission européenne a pris les pires décisions possibles en matière de migrations» et qu'elle «ne dit pas clairement quels sont les objectifs de sa politique migratoire»." La suite sur tdg.ch
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Hongrie: Orban lie immigration et terrorisme
"Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, a affirmé aujourd'hui qu'il y
avait un "lien évident" entre l'immigration illégale en Europe et les
attentats qui frappent le continent." La suite sur lefigaro.fr
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Migrants,
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Terrorisme
L'Autriche préparée à fermer sa frontière avec une clôture de 100 kilomètres en cas d'arrivée massive de migrants
"L’Autriche a terminé la préparation d’une clôture qui couvrira une centaine de kilomètres sur les 300 que partage le pays avec la Hongrie, a confirmé un porte-parole de la police à l’agence de presse dpa.
La clôture devrait pouvoir être érigée rapidement en cas d’arrivée massive de migrants en provenance de l’est par rapport à l’entrée actuelle de 20 à 30 par jour. «C’est prêt», a affirmé le porte-parole." La suite sur sudinfo.be
La clôture devrait pouvoir être érigée rapidement en cas d’arrivée massive de migrants en provenance de l’est par rapport à l’entrée actuelle de 20 à 30 par jour. «C’est prêt», a affirmé le porte-parole." La suite sur sudinfo.be
Les conditions de la Hongrie pour entrer dans l'euro
"La Hongrie, censée rejoindre la zone euro dans les prochaines années,
conditionne son adoption de la monnaie unique aux progrès de son
économie et à ceux, plus incertains, d'une politique fiscale commune, a
déclaré mardi le ministre de l'Economie Mihaly Varga.
"Si la trajectoire économique se poursuit, si nous nous rapprochons du niveau de développement moyen de l'UE et si notre productivité continue de s'améliorer, je ne juge pas impossible que la Hongrie rejoigne la zone euro d'ici la fin de la décennie", a déclaré le ministre dans une interview au quotidien Magyar Hirlap." La suite sur levif.be
"Si la trajectoire économique se poursuit, si nous nous rapprochons du niveau de développement moyen de l'UE et si notre productivité continue de s'améliorer, je ne juge pas impossible que la Hongrie rejoigne la zone euro d'ici la fin de la décennie", a déclaré le ministre dans une interview au quotidien Magyar Hirlap." La suite sur levif.be
EN VIDEO - Budapest: frissons et vertiges au Championnat du monde Red Bull de course aérienne
"Malgré la pluie et le froid, quelque 20.000 spectateurs ont assisté ce
weekend au Championnat du monde Red Bull de course aérienne à Budapest.
Cette compétition internationale parrainée par la Fédération
aéronautique internationale s’est tenue dans la capitale hongroise,
offrant un spectacle palpitant. Slaloms aériens, vols à très basse
altitude, loopings… rien n’était assez sensationnel pour les aficionados
de ce sport extrême. Le pilote allemand Matthias Doldeler a remporté le
titre de champion de cette édition 2016." Vidéo sur sfr.fr
mercredi 20 juillet 2016
Un « Petit Psaume du Matin » de Josef Nadj bouleversant à l’Institut Culturel Irlandais Du 18 juillet 2016 au 23 juillet 2016
"Figure de proue du festival Paris Quartier d’été pour cette édition 2016, Josef Nadj, artiste protéiforme expose des photos (Inhancutilitatem, du 21 au 29 juillet aux Bernardins)
et reprend avec Dominique Mercy, jusqu’au 23 juillet 2016, dans la cour
du Centre Culturel Irlandais, une de ses performances cultes, créée en
1999 à Avignon : Petit Psaume du Matin. Il s’agit d’une mise en mouvement de la grande solitude du nombre 2, qui n’a pas fini de nous marquer et de nous émouvoir.
Plus de quinze ans après sa création aux Sujets à vif du festival d’Avignon (1999), Josef Nadj et Dominique Mercy reprennent leur chorégraphie ritualisée et leur compagnonnage de Petits Psaumes du matin.
Ça s’est passé au CCN d’Orléans et se déroule à nouveau toute la
semaine au festival Paris Quartier d’été. A l’origine du projet, il y
avait une commande et il devait y avoir un solo : celui de Dominique
Mercy qui a demandé cette pièce au danseur de Pina Bausch et peintre,
photographe, génie de la matière." La suite sur toutelaculture.com
«Le saviez-vous ? L’attentat de Paris a été commis par des migrants»
"En Hongrie, le gouvernement de Viktor Orbán promeut avec brutalité son référendum contre l’accueil de réfugiés. Au point d’utiliser les attentats de Paris et les agressions sexuelles de Cologne pour arriver à ses fins.Nouvelle salve du gouvernement hongrois sur son thème de prédilection
depuis l’année dernière : l’immigration et le terrorisme. Les six
messages sur le mode «Le saviez-vous ?» que vous allez découvrir
ci-dessous ont été présentés hier sur le site du gouvernement (kormany.hu)
et, dès lundi prochain, ils fleuriront dans les espaces publics, dans
les journaux, sur internet et peut-être même dans des spots télévisés." La suite sur hu-lala.org
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Sommet Austro-Hongrois : pourparlers entre ministres à propos des migrations dans un climat de détente entre les deux pays
"Hongrie, Budapest – Les ministres de
l’Intérieur et de la défense hongrois et autrichiens se sont récemment
réunis à Röszke, à la frontière serbo-hongroise, pour discuter d’une
coopération contre l’immigration clandestine.
István Simicskó, ministre de la Défense
du pays, a déclaré que les participants ont discuté des aides que
l’Autriche pourrait apporter, notamment celle d’une assistance militaire
au contrôle des frontières et des moyens réels de coopération entre
l’armée autrichienne et les forces armées de la Hongrie. « La réunion a
porté sur la contribution de l’Autriche au contrôle des frontières dans
le sud de la Hongrie », a dit Sándor Pintér, ministre hongrois de
l’Intérieur, lors d’une conférence de presse après l’entretien.
« L’armée hongroise accueille toute forme d’assistance technique ou
autre du côté autrichien », ajouta-t-il." La suite sur visegradpost.com
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Hongrie: nouvelle campagne anti-migrants
"Le gouvernement hongrois a lancé aujourd'hui une nouvelle salve de
messages hostiles aux migrants, notamment sur le thème du terrorisme et
des violences envers les femmes, dans le cadre de sa campagne autour du
référendum d'octobre sur la répartition des réfugiés dans l'UE. Les
messages ont été présentés sur le site internet du gouvernement et
apparaissaient déjà dans quelques journaux proches de la majorité. Ils
seront relayés prochainement "sur des affiches, dans la presse écrite,
des spots télévisés, à la radio et sur internet", précise le
gouvernement qui a déjà lancé à plusieurs reprises des campagnes
publiques contre les demandeurs d'asile, notamment en juin et décembre
2015, ainsi qu'au printemps." La suite sur lefigaro.fr
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Pénurie de main d‘œuvre et refus de l’immigration: le casse-tête hongrois
"La Hongrie
pourrait faire appel à des travailleurs étrangers pour pallier au
manque de main d‘œuvre. C’est l’idée émise par le gouvernement de
Viktor Orban, qui n’a pourtant jamais caché son hostilité aux migrants.
La Hongrie est passée sous la barre des 10 millions d’habitants. En huit ans, 400 000 Hongrois ont quitté le pays, qui affiche un des taux de natalité les plus faibles d’Europe malgré l’ambitieuse politique familiale mise en place par le gouvernement conservateur (4% du PIB) pour le relancer." La suite sur euronews.com
La Hongrie est passée sous la barre des 10 millions d’habitants. En huit ans, 400 000 Hongrois ont quitté le pays, qui affiche un des taux de natalité les plus faibles d’Europe malgré l’ambitieuse politique familiale mise en place par le gouvernement conservateur (4% du PIB) pour le relancer." La suite sur euronews.com
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Rachid Taha au Festival de la musique international de Sziget (Budapest)
"BUDAPEST - Le chanteur algérien Rachid Taha est l'invité de la 24ème édition du Festival de la musique international de Sziget à Budapest (Hongrie), prévue du 10 au 17 août prochain, avec la participation d'artistes de différents pays du monde, selon le site électronique du festival.
L'artiste prendra part à cette manifestation internationale, avec 400 autres participants (artistes et musiciens), dont la star de pop américaine Rihana, le chanteur rap turc "CEZA", la chanteuse colombienne Maria Cristina Plata et la chanteuse sahraouie Aziza Brahim." La suite sur aps.dz
L'artiste prendra part à cette manifestation internationale, avec 400 autres participants (artistes et musiciens), dont la star de pop américaine Rihana, le chanteur rap turc "CEZA", la chanteuse colombienne Maria Cristina Plata et la chanteuse sahraouie Aziza Brahim." La suite sur aps.dz
Prix de l'immobilier en Europe : quelle ville est la moins chère ?
"Une étude révèle de profondes disparités pour devenir propriétaire entre villes et pays européens. Si 200 000 euros ouvrent les portes d'un spacieux 162 mètres carrés à Budapest, ils ne suffisent qu'à s'offrir 11 mètres carrés à Londres.
En Europe, de quelle surface peut-on devenir propriétaire si l'on dispose de 200 000 euros ? C'est à cette question qu'une étude du cabinet Deloitte répond, en comparant le prix d'achat au mètre carré au sein de 19 pays européens. Si la moyenne européenne s'établit à 90 mètres carrés en ville et 114 mètres carrés à la campagne, il existe d'immenses disparités selon le pays. Sans surprise, c'est au Royaume-Uni que l'immobilier est le plus cher : avec 200 000 euros, on ne peut s'offrir que 39 mètres carrés. La France est deuxième du classement, avec 50 mètres carrés. Pour le même prix, un acheteur pourra acquérir 97 mètres carrés en Allemagne, 97 aux Pays-Bas et 94 en Belgique." La suite sur myeurop.info
En Europe, de quelle surface peut-on devenir propriétaire si l'on dispose de 200 000 euros ? C'est à cette question qu'une étude du cabinet Deloitte répond, en comparant le prix d'achat au mètre carré au sein de 19 pays européens. Si la moyenne européenne s'établit à 90 mètres carrés en ville et 114 mètres carrés à la campagne, il existe d'immenses disparités selon le pays. Sans surprise, c'est au Royaume-Uni que l'immobilier est le plus cher : avec 200 000 euros, on ne peut s'offrir que 39 mètres carrés. La France est deuxième du classement, avec 50 mètres carrés. Pour le même prix, un acheteur pourra acquérir 97 mètres carrés en Allemagne, 97 aux Pays-Bas et 94 en Belgique." La suite sur myeurop.info
mardi 19 juillet 2016
L'écrivain Péter Esterházy est mort : il ne subvertira plus l'Histoire
"Rejeton d'une vieille lignée aristocratique confrontée au régime communiste, l'écrivain hongrois Péter Esterházy est mort le 14 juillet 2016, à l'âge de 66 ans. Nous l'avions rencontré en 2006, dans sa ville de Budapest. Nous republions aujourd'hui ce reportage.
Si l'on en croit Péter Esterházy, Budapest est une ville qui laisse entrer, « avec délectation, le serpent du Danube entre ses seins », Buda et Pest. Nous serions donc au bord du sein droit, à Buda, au café Angélika, où l'écrivain hongrois arrive en souriant. C'est tôt dans la matinée, mais aucune trace tangible de la bringue organisée la veille pour l'anniversaire de sa femme. Goulasch de brochet, oignons farcis, quelques crus hongrois « entre amis » : c'est tout dire. Pour l'heure, il commande de l'eau minérale et du café. Il est venu en train de sa maison familiale, située dans les faubourgs de la ville. Une ville qui resplendit sous le soleil de juin. A quelques pas, le fameux pont des Chaînes, surveillé par quatre lions de pierre qui ouvrent une gueule sans langue (selon la légende, János Marschalkó, leur sculpteur, se serait jeté dans le Danube après s'en être aperçu), est occupé par les chalands et de petits quatuors jouant musique classique ou tsigane." La suite sur telerama.fr
Si l'on en croit Péter Esterházy, Budapest est une ville qui laisse entrer, « avec délectation, le serpent du Danube entre ses seins », Buda et Pest. Nous serions donc au bord du sein droit, à Buda, au café Angélika, où l'écrivain hongrois arrive en souriant. C'est tôt dans la matinée, mais aucune trace tangible de la bringue organisée la veille pour l'anniversaire de sa femme. Goulasch de brochet, oignons farcis, quelques crus hongrois « entre amis » : c'est tout dire. Pour l'heure, il commande de l'eau minérale et du café. Il est venu en train de sa maison familiale, située dans les faubourgs de la ville. Une ville qui resplendit sous le soleil de juin. A quelques pas, le fameux pont des Chaînes, surveillé par quatre lions de pierre qui ouvrent une gueule sans langue (selon la légende, János Marschalkó, leur sculpteur, se serait jeté dans le Danube après s'en être aperçu), est occupé par les chalands et de petits quatuors jouant musique classique ou tsigane." La suite sur telerama.fr
Nice : en Europe centrale, des hommages entre compassion et instrumentalisation
"Suite à la tuerie de masse perpétrée jeudi soir à Nice, les messages de soutien et de condoléances sont nombreux en provenance des pays d’Europe centrale. Mais, comme en France, les tentatives d’instrumentalisation politique aussi, notamment de la part des partis conservateurs, PiS et Fidesz en tête." La suite sur hu-lala.org
La Cicciolina - Scandaleuse petite chérie
Mêler sexe, showbiz et politique, est son credo féministe. Depuis la fin
des années 1970, Ilona Staller, alias "la Cicciolina", née en Hongrie
en 1951, met en scène chacune de ses scandaleuses apparitions pour
lutter contre la pruderie et les structures patriarcales en Italie.
Portrait d'une libertine libérale.
Kitsch et choc, elle mêle sexe, showbiz et politique. Depuis la fin des années 1970, Ilona Staller, alias "la Cicciolina", née en Hongrie en 1951, met en scène chacune de ses scandaleuses apparitions pour lutter contre la pruderie et les structures patriarcales en Italie. Elle débute comme mannequin de charme pour entamer rapidement une ascension sans pareille : présentatrice de radio et de télévision, elle passe aux films érotiques puis pornographiques... avant d'être élue députée au parlement italien en 1987. Son mariage agité avec l'artiste américain Jeff Koons, dans les années 1990, confirme son statut d'icône controversée et sulfureuse de la culture pop contemporaine. Que raconte ce parcours unique en son genre sur les rapports entre sexe et pouvoir - et sur la place des femmes dans la société italienne ? Des Femen à Beyoncé, le féminisme moderne, offensif et sexualisé prôné par cette grande scandaleuse a en tout cas indéniablement essaimé."
A voir sur arte.tv
Kitsch et choc, elle mêle sexe, showbiz et politique. Depuis la fin des années 1970, Ilona Staller, alias "la Cicciolina", née en Hongrie en 1951, met en scène chacune de ses scandaleuses apparitions pour lutter contre la pruderie et les structures patriarcales en Italie. Elle débute comme mannequin de charme pour entamer rapidement une ascension sans pareille : présentatrice de radio et de télévision, elle passe aux films érotiques puis pornographiques... avant d'être élue députée au parlement italien en 1987. Son mariage agité avec l'artiste américain Jeff Koons, dans les années 1990, confirme son statut d'icône controversée et sulfureuse de la culture pop contemporaine. Que raconte ce parcours unique en son genre sur les rapports entre sexe et pouvoir - et sur la place des femmes dans la société italienne ? Des Femen à Beyoncé, le féminisme moderne, offensif et sexualisé prôné par cette grande scandaleuse a en tout cas indéniablement essaimé."
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Point de vue - Exposition du 22 juillet au 4 août 2016 - Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Vernissage le 21 juillet à 19h
Zsuzsanna Enyedy
László Hegedűs 2
Katalin Kádár
Csilla Kelecsényi
Zénó Kelemen
Jenő Lévay
Ilona Lovas
Antal Örkényi
Ágnes Péter
Enikő Szöllőssy
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Vernissage le 21 juillet à 19h
Hegedűs 2 László, 40NEGYVEN
|
Exposition collective d’artistes
hongrois contemporains venus d'horizons différents (sculpture, photo,
dessin, arts textiles, vidéo). L’artiste décrypte le monde qui l’entoure
par le prisme de son regard. Il en est de même lorsque le point de
départ du processus créatif est la photographie. Celle-ci est modifiée,
recomposée, transcendée pour devenir la représentation visuelle d’un
univers infiniment personnel.
Artistes exposants :
Anikó BajkóZsuzsanna Enyedy
László Hegedűs 2
Katalin Kádár
Csilla Kelecsényi
Zénó Kelemen
Jenő Lévay
Ilona Lovas
Antal Örkényi
Ágnes Péter
Enikő Szöllőssy
Commissaire de l’exposition : Ágnes Urbán
Entrée libre
Libellés :
Arts textiles,
Dessin,
Exposition,
Institut hongrois,
Photographie,
Sculpture,
Vidéo
lundi 18 juillet 2016
Hongrie: 9 migrants blessés lors d'une rixe
"Neuf demandeurs d'asile ont été blessés lors d'une rixe impliquant
jusqu'à 200 personnes qui a éclaté hier soir dans un camp d'accueil du
sud de la Hongrie, a indiqué aujourd’hui une source policière.
Huit des neuf blessés ont été hospitalisés à l'issue de ces affrontements dans le camp de Kiskunhalas, à 150 kilomètres au sud de Budapest, non loin de la frontière avec la Serbie. Selon les éléments de la police, citée par l'agence hongroise MTI, un premier groupe de 20 demandeurs d'asile -notamment Algériens, Syriens, Pakistanais et Mongols- ont échangé des coups à mains nues puis avec du mobilier." La suite sur lefigaro.fr
Huit des neuf blessés ont été hospitalisés à l'issue de ces affrontements dans le camp de Kiskunhalas, à 150 kilomètres au sud de Budapest, non loin de la frontière avec la Serbie. Selon les éléments de la police, citée par l'agence hongroise MTI, un premier groupe de 20 demandeurs d'asile -notamment Algériens, Syriens, Pakistanais et Mongols- ont échangé des coups à mains nues puis avec du mobilier." La suite sur lefigaro.fr
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Faits divers,
Migrants,
Réfugiés
Derrière ses frontières fermées, la Hongrie se dépeuple
"Budapest - Bonus au troisième bébé, prime au retour des expatriés, aides à la propriété, le gouvernement hongrois fait feu de tout bois pour redresser une démographie en berne qui handicape l'économie du pays.
Le gouvernement ultra-conservateur de Viktor Orban serait même prêt à briser un ultime tabou: le recours à l'immigration.
Selon le ministre de l'Economie Mihaly Varga, l'exécutif travaille à une "réglementation" qui permettrait de faire venir des travailleurs originaires de pays hors-Union Européenne, a-t-il dit la semaine dernière sans détailler le contenu de ce plan." La suite sur lexpress.fr
Le gouvernement ultra-conservateur de Viktor Orban serait même prêt à briser un ultime tabou: le recours à l'immigration.
Selon le ministre de l'Economie Mihaly Varga, l'exécutif travaille à une "réglementation" qui permettrait de faire venir des travailleurs originaires de pays hors-Union Européenne, a-t-il dit la semaine dernière sans détailler le contenu de ce plan." La suite sur lexpress.fr
Europe et réfugiés : le point de vue de la Hongrie expliqué par un ministre de Viktor Orban
"La Hongrie soumettra à référendum la question des quotas de migrants. Pour le ministre hongrois de la Justice, László Trócsányi, la Hongrie défend par cette consultation populaire une certaine vision de l'Europe.
Professeur de Droit, ancien ambassadeur, notamment en France, et ancien juge constitutionnel, László Trócsányi est ministre de la Justice de Hongrie depuis juin 2014.
Après le Brexit, chaque organisation de référendum pèse dans l'Union européenne. Ceci étant, ceux qui cherchent un parallèle entre le référendum du 23 juin et celui du 2 octobre prochain vont être déçus car le référendum prévu depuis plusieurs mois et dont la date d'organisation vient d'être fixée par décret présidentiel, n'a ni pour but, ni pour effet de consulter le peuple hongrois quant à sa volonté de continuer d'appartenir à l'Union européenne. En d'autres termes, ni le Gouvernement hongrois, ni l'opinion publique ne sont en faveur de tenir un référendum sur la sortie de l'Union européenne." La suite sur lefigaro.fr
Professeur de Droit, ancien ambassadeur, notamment en France, et ancien juge constitutionnel, László Trócsányi est ministre de la Justice de Hongrie depuis juin 2014.
Après le Brexit, chaque organisation de référendum pèse dans l'Union européenne. Ceci étant, ceux qui cherchent un parallèle entre le référendum du 23 juin et celui du 2 octobre prochain vont être déçus car le référendum prévu depuis plusieurs mois et dont la date d'organisation vient d'être fixée par décret présidentiel, n'a ni pour but, ni pour effet de consulter le peuple hongrois quant à sa volonté de continuer d'appartenir à l'Union européenne. En d'autres termes, ni le Gouvernement hongrois, ni l'opinion publique ne sont en faveur de tenir un référendum sur la sortie de l'Union européenne." La suite sur lefigaro.fr
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Welcome to Hungary : Hélicoptères, chiens, lacrymo’ et coups de tonfa
"La situation est alarmante dans l’espace frontalier entre la Hongrie et la Serbie où les violences policières contre les migrants se multiplient.
L’ONG Human Rights Watch a publié mercredi 13 juillet un rapport accablant pour les policiers et militaires qui patrouillent à la frontière hungaro-serbe. Elle dénonce des violences contre les migrants qui se présentent aux portes de la Hongrie et de l’Union européenne. « La Hongrie enfreint toutes les règles pour les demandeurs d’asile qui transitent par la Serbie, rejetant sommairement leurs demandes d’asile et les renvoyant à la frontière. […] Les gens qui entrent en Hongrie sans autorisation, y compris les femmes et les enfants, ont été sauvagement battus et refoulés à la frontière ». Le rapport reproduit de nombreux témoignages qui font état d’utilisation abusive de gaz lacrymogène et de coups de tonfa." La suite sur hu-lala.org
L’ONG Human Rights Watch a publié mercredi 13 juillet un rapport accablant pour les policiers et militaires qui patrouillent à la frontière hungaro-serbe. Elle dénonce des violences contre les migrants qui se présentent aux portes de la Hongrie et de l’Union européenne. « La Hongrie enfreint toutes les règles pour les demandeurs d’asile qui transitent par la Serbie, rejetant sommairement leurs demandes d’asile et les renvoyant à la frontière. […] Les gens qui entrent en Hongrie sans autorisation, y compris les femmes et les enfants, ont été sauvagement battus et refoulés à la frontière ». Le rapport reproduit de nombreux témoignages qui font état d’utilisation abusive de gaz lacrymogène et de coups de tonfa." La suite sur hu-lala.org
Les Lakatos seront expulsées samedi
"Une femme rom et sa fille de 17 ans iront rejoindre les autres membres de la famille, renvoyés en Hongrie en 2015.
Malgré un sursis de deux mois qui aura laissé planer le doute sur son avenir au Canada, la famille Lakatos, des Roms de la Hongrie, s’apprête à quitter le pays samedi. En mai dernier, Gilda, 17 ans, et sa mère Katalin avaient imploré le gouvernement d’accéder à leur demande de résidence permanente pour motifs humanitaires. L’affaire avait alors connu un certain battage médiatique. Le gouvernement avait offert un permis de séjour temporaire aux deux femmes Lakatos, jusqu’au 16 juillet 2016.
Ensuite ? « Il n’est pas arrivé grand-chose. On n’a eu aucune nouvelle », raconte Gilda, en entrevue au Devoir. « On est stressées. J’aimerais beaucoup rester, on le mérite. » De son côté, Immigration Canada ne commente pas les cas particuliers. Mais il appert qu’il n’y a pas eu jusqu’ici de décision prise dans le dossier. En théorie, tout peut encore arriver jusqu’à samedi. Il arrive parfois que les réfugiés expulsés apprennent qu’ils peuvent rester au moment de monter dans l’avion. « On essaie de garder l’espoir », dit Gilda." La suite sur ledevoir.com
Malgré un sursis de deux mois qui aura laissé planer le doute sur son avenir au Canada, la famille Lakatos, des Roms de la Hongrie, s’apprête à quitter le pays samedi. En mai dernier, Gilda, 17 ans, et sa mère Katalin avaient imploré le gouvernement d’accéder à leur demande de résidence permanente pour motifs humanitaires. L’affaire avait alors connu un certain battage médiatique. Le gouvernement avait offert un permis de séjour temporaire aux deux femmes Lakatos, jusqu’au 16 juillet 2016.
Ensuite ? « Il n’est pas arrivé grand-chose. On n’a eu aucune nouvelle », raconte Gilda, en entrevue au Devoir. « On est stressées. J’aimerais beaucoup rester, on le mérite. » De son côté, Immigration Canada ne commente pas les cas particuliers. Mais il appert qu’il n’y a pas eu jusqu’ici de décision prise dans le dossier. En théorie, tout peut encore arriver jusqu’à samedi. Il arrive parfois que les réfugiés expulsés apprennent qu’ils peuvent rester au moment de monter dans l’avion. « On essaie de garder l’espoir », dit Gilda." La suite sur ledevoir.com
Boris Johnson, un choix "bénéfique" pour la diplomatie, selon Budapest
"L'arrivée de Boris Johnson aux commandes de la diplomatie britannique
a été saluée dimanche par le ministre hongrois des Affaires étrangères
Peter Szijjarto, qui a jugé "bénéfique" la nomination d'un homme aux "idées originales".
"L'Union européenne se trouve confrontée à de nouveaux défis extraordinaires, et pour les affronter, il y aura besoin de véritables personnalités avec des idées originales", a observé le ministre dans un entretien à l'agence hongroise MTI." La suite sur rtbf.be
"L'Union européenne se trouve confrontée à de nouveaux défis extraordinaires, et pour les affronter, il y aura besoin de véritables personnalités avec des idées originales", a observé le ministre dans un entretien à l'agence hongroise MTI." La suite sur rtbf.be
Libellés :
Politique étrangère,
Union européenne
A propos du référendum sur les flux migratoires prévu le 2 octobre 2016 en Hongrie
Le Mot de l’Ambassadeur
L’annonce de la tenue le 2 octobre prochain du référendum hongrois sur les flux migratoires a donné lieu dans la presse française à un certain nombre d’interprétations qui ne reposent pas toujours sur une exacte appréciation de son contexte. C’est pourquoi j’estime nécessaire d’apporter quelques précisions pour clarifier les bases du débat, au niveau du libellé de la question, du timing et de l’objet exact de ce référendum.
La question : différentes traductions, plus ou moins heureuses, en circulent. Pour une compréhension aussi proche que possible du texte original et officiel hongrois, je propose la formulation suivante : « Approuvez-vous que l’Union européenne puisse ordonner l’installation en Hongrie, à titre obligatoire, de ressortissants non Hongrois sans l’accord de l’Assemblée nationale ? »
Le timing : il a été écrit que cette annonce était une « nouvelle provocation » (sic) de la part de la Hongrie, particulièrement malencontreuse en plein Brexit. Erreur : il n’y a aucune intention malicieuse dans ce timing. Le gouvernement avait annoncé voici plusieurs mois la tenue de ce référendum, et si sa date n’a pu être fixée que maintenant par le Président de la République, quelques jours après le référendum britannique, c’est parce que la constitution hongroise prévoit la possibilité de nombreux recours contre sa tenue, qui ont tous été exercés par l’opposition et qui viennent seulement d’être entièrement purgés.
L’objet : le référendum ne concerne PAS la décision prise à la majorité qualifiée par le Conseil des ministres européens de l’Intérieur le 22 septembre dernier. La Hongrie a déposé contre cette décision un recours devant la Cour de Justice de l’Union parce que nous estimons qu’elle a été prise en contravention avec le mandat qu’avait reçu la Commission de la part du Conseil Européen du mois de juin précédent. La Commission avait en effet été mandatée pour préparer un projet de quotas de relocalisation des réfugiés sur une base VOLONTAIRE. Si elle avait respecté ce mandat, la Hongrie aurait très vraisemblablement voté le projet. Au lieu de cela, le texte soumis au vote des ministres le 22 septembre comportait, contre toute attente, une relocalisation OBLIGATOIRE. Une majorité de pays l’ont malgré tout voté, la Hongrie et quelques autres s’y sont refusés. Nous estimons en effet que le caractère obligatoire – outre la forme contestable de son introduction – franchit, quant au fond, une ligne rouge qui touche à un domaine régalien, celui du droit souverain de chaque pays de ne pas se voir IMPOSER sa composition sociale ou ethnique.
C’est pour se prémunir contre des déconvenues similaires que le référendum actuel a été décidé. Ce référendum concerne donc le futur, pas le passé. Il vise à donner au gouvernement hongrois une forte légitimation populaire pour le cas où l’Union européenne persévérerait dans son intention d’OBLIGER les pays membres à se plier à une relocalisation IMPOSEE des réfugiés. Ni le gouvernement hongrois, ni la Hongrie ne sont par principe hostiles à l’accueil des réfugiés. Le libellé de la question l’atteste, qui laisse juge l’Assemblée nationale. Notre pays a toujours laissé entrer, et laisse entrer tous les migrants qui le font légalement et examine leur demande d’asile sur la base des conventions internationales applicables. Ce que nous n’admettons pas, c’est qu’on nous force la main. Nous n’acceptons pas les entrées illégales, et nous n’acceptons pas non plus que des tiers – fût-ce l’Union européenne – nous dictent qui nous devons faire entrer dans notre pays. Dans un domaine aussi sensible que celui-là, chaque Etat-membre de l’Union doit conserver le droit de décider souverainement. Certains d’entre eux considèrent le phénomène migratoire comme une opportunité. Nous respectons ce choix. Nous avons fait quant à nous un autre choix, et nous attendons qu’il soit également respecté. Nous voyons dans la compréhension et le respect de la position de l’autre une valeur européenne fondamentale. Il nous paraît tout à fait normal que dans une Europe à 27 ou à 28, tous les pays n’aient pas la même approche sur un phénomène qui affecte aussi gravement l’avenir de leurs sociétés respectives. L’Europe ne s’en trouvera certainement pas affaiblie, bien au contraire.
Source : Page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
L’annonce de la tenue le 2 octobre prochain du référendum hongrois sur les flux migratoires a donné lieu dans la presse française à un certain nombre d’interprétations qui ne reposent pas toujours sur une exacte appréciation de son contexte. C’est pourquoi j’estime nécessaire d’apporter quelques précisions pour clarifier les bases du débat, au niveau du libellé de la question, du timing et de l’objet exact de ce référendum.
La question : différentes traductions, plus ou moins heureuses, en circulent. Pour une compréhension aussi proche que possible du texte original et officiel hongrois, je propose la formulation suivante : « Approuvez-vous que l’Union européenne puisse ordonner l’installation en Hongrie, à titre obligatoire, de ressortissants non Hongrois sans l’accord de l’Assemblée nationale ? »
Le timing : il a été écrit que cette annonce était une « nouvelle provocation » (sic) de la part de la Hongrie, particulièrement malencontreuse en plein Brexit. Erreur : il n’y a aucune intention malicieuse dans ce timing. Le gouvernement avait annoncé voici plusieurs mois la tenue de ce référendum, et si sa date n’a pu être fixée que maintenant par le Président de la République, quelques jours après le référendum britannique, c’est parce que la constitution hongroise prévoit la possibilité de nombreux recours contre sa tenue, qui ont tous été exercés par l’opposition et qui viennent seulement d’être entièrement purgés.
L’objet : le référendum ne concerne PAS la décision prise à la majorité qualifiée par le Conseil des ministres européens de l’Intérieur le 22 septembre dernier. La Hongrie a déposé contre cette décision un recours devant la Cour de Justice de l’Union parce que nous estimons qu’elle a été prise en contravention avec le mandat qu’avait reçu la Commission de la part du Conseil Européen du mois de juin précédent. La Commission avait en effet été mandatée pour préparer un projet de quotas de relocalisation des réfugiés sur une base VOLONTAIRE. Si elle avait respecté ce mandat, la Hongrie aurait très vraisemblablement voté le projet. Au lieu de cela, le texte soumis au vote des ministres le 22 septembre comportait, contre toute attente, une relocalisation OBLIGATOIRE. Une majorité de pays l’ont malgré tout voté, la Hongrie et quelques autres s’y sont refusés. Nous estimons en effet que le caractère obligatoire – outre la forme contestable de son introduction – franchit, quant au fond, une ligne rouge qui touche à un domaine régalien, celui du droit souverain de chaque pays de ne pas se voir IMPOSER sa composition sociale ou ethnique.
C’est pour se prémunir contre des déconvenues similaires que le référendum actuel a été décidé. Ce référendum concerne donc le futur, pas le passé. Il vise à donner au gouvernement hongrois une forte légitimation populaire pour le cas où l’Union européenne persévérerait dans son intention d’OBLIGER les pays membres à se plier à une relocalisation IMPOSEE des réfugiés. Ni le gouvernement hongrois, ni la Hongrie ne sont par principe hostiles à l’accueil des réfugiés. Le libellé de la question l’atteste, qui laisse juge l’Assemblée nationale. Notre pays a toujours laissé entrer, et laisse entrer tous les migrants qui le font légalement et examine leur demande d’asile sur la base des conventions internationales applicables. Ce que nous n’admettons pas, c’est qu’on nous force la main. Nous n’acceptons pas les entrées illégales, et nous n’acceptons pas non plus que des tiers – fût-ce l’Union européenne – nous dictent qui nous devons faire entrer dans notre pays. Dans un domaine aussi sensible que celui-là, chaque Etat-membre de l’Union doit conserver le droit de décider souverainement. Certains d’entre eux considèrent le phénomène migratoire comme une opportunité. Nous respectons ce choix. Nous avons fait quant à nous un autre choix, et nous attendons qu’il soit également respecté. Nous voyons dans la compréhension et le respect de la position de l’autre une valeur européenne fondamentale. Il nous paraît tout à fait normal que dans une Europe à 27 ou à 28, tous les pays n’aient pas la même approche sur un phénomène qui affecte aussi gravement l’avenir de leurs sociétés respectives. L’Europe ne s’en trouvera certainement pas affaiblie, bien au contraire.
Source : Page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
Pour son prochain film László Nemes Jeles organise un casting auprès des Hongrois de l'étranger
Nemes Jeles László készülő nagyjátékfilmjéhez keresünk szereplőket, és
azt szeretnénk, ha ez a lehetőség minél több külföldön élő magyarhoz is
eljutna.
A mellékelten küldött felhívás terjesztésében szeretnénk a segítségüket kérni, bármiféle facebook megosztás, honlapon való közzététel, vagy emailekre történő kiküldés nagy segítség lenne számunkra.
A felhívás minden fontos információt tartalmaz, a jelentkezőkkel a további kommunikáció a megadott email címen keresztül történik.
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A felhívás minden fontos információt tartalmaz, a jelentkezőkkel a további kommunikáció a megadott email címen keresztül történik.
dimanche 17 juillet 2016
Péter Esterházy, le turbulent écrivain hongrois, est mort
"L'auteur de “Harmonia caelestis” a été emporté par un cancer, ce jeudi 14 juillet. Il avait 66 ans.
En bref
Né à Budapest le 14 avril 1950, Péter Esterházy était l'écrivain phare de la littérature hongroise postcommuniste. Il est mort ce jeudi 14 juillet, d'un cancer, à l'âge de 66 ans. Il venait d'évoquer sa lutte contre la maladie dans "Journal intime du pancréas", son dernier livre.
Auteur d'une quinzaine de romans traduits dans le monde entier, dont "Trois anges me surveillent" et surtout "Harmonia cælestis" (2000), qui s'inspirait très largement de l'histoire de sa famille, ce fils d'aristocrate avait également publié, en 2005, un essai, "Aux gens du livre" (Exils), et repris son grand oeuvre avec "Revu et corrigé" (Gallimard), où il révélait que son père était un agent communiste.
Il nous avait alors parlé de ce choc, et de son pays, dans ce grand entretien que nous republions." La suite sur nouvelobs.com
En bref
Né à Budapest le 14 avril 1950, Péter Esterházy était l'écrivain phare de la littérature hongroise postcommuniste. Il est mort ce jeudi 14 juillet, d'un cancer, à l'âge de 66 ans. Il venait d'évoquer sa lutte contre la maladie dans "Journal intime du pancréas", son dernier livre.
Auteur d'une quinzaine de romans traduits dans le monde entier, dont "Trois anges me surveillent" et surtout "Harmonia cælestis" (2000), qui s'inspirait très largement de l'histoire de sa famille, ce fils d'aristocrate avait également publié, en 2005, un essai, "Aux gens du livre" (Exils), et repris son grand oeuvre avec "Revu et corrigé" (Gallimard), où il révélait que son père était un agent communiste.
Il nous avait alors parlé de ce choc, et de son pays, dans ce grand entretien que nous republions." La suite sur nouvelobs.com
Figure de la littérature hongroise, l'écrivain Peter Esterhazy est mort
"À l’âge de 66 ans, l’écrivain hongrois Peter Esterhazy est décédé ce 14 juillet, a annoncé son éditeur, Krisztian Nyary, directeur de la maison Magveto. Descendant d’une famille aristocratique de Hongrie, les Esterhazy avaient vu leurs biens accaparés lorsque le Parti communiste avait pris le pouvoir en 1948.
C’est l’auteur, sans conteste, le plus reconnu de Hongrie qui vient de s’éteindre. Né à Budapest en 1950, Peter Esterhazy est principalement connu pour avoir publié en 2000 Harmonia Caelestis,
une œuvre dans laquelle l’écrivain raconte l’histoire de sa famille, en
partant de ses ancêtres qui ont vécu à l’époque de l’empire
austro-hongrois et en remontant progressivement jusqu’à la dictature
communiste." La suite et vidéo sur actualitte.com
Schizophrénie migratoire à Budapest
"Appuyant des propositions du syndicat des patrons (le MGYOSZ) hongrois,
le ministre de l’Economie, Mihály Varga, a affolé ses collègues,
mercredi dernier, en déclarant que la Hongrie avait un besoin urgent
d’importer plusieurs centaines de milliers de travailleurs. Cette
annonce a fait l’effet d’un gros pavé dans la mare car elle tombe juste
au moment où le gouvernement mène une intense campagne à relents
xénophobes pour promouvoir son référendum contre l’accueil de réfugiés,
prévu le 2 octobre.
Un exode de la jeunesse
Comme ailleurs en Europe, la situation démographique du pays est en effet problématique. Au déclin naturel de la population, amorcé au début des années 80 en raison d’une très faible fécondité, s’est ajouté une émigration massive. Plus d’un demi-million de jeunes Magyars ont quitté le pays ces dernières années pour aller travailler en Europe de l’Ouest." La suite sur lalibre.be (version payante)
Un exode de la jeunesse
Comme ailleurs en Europe, la situation démographique du pays est en effet problématique. Au déclin naturel de la population, amorcé au début des années 80 en raison d’une très faible fécondité, s’est ajouté une émigration massive. Plus d’un demi-million de jeunes Magyars ont quitté le pays ces dernières années pour aller travailler en Europe de l’Ouest." La suite sur lalibre.be (version payante)
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La Chine et la Hongrie veulent accélérer les progrès dans les projets ferroviaires avec la Serbie
"OULAN-BATOR, 15 juillet (Xinhua) -- Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a appelé vendredi à l'accélération du projet ferroviaire Hongrie-Serbie et à l'approfondissement de la coopération dans différents domaines, lors de sa rencontre à Oulan-Bator avec son homologue hongrois, Peter Szijjarto.
La Hongrie est un partenaire important de la Chine en Europe Centrale et Orientale (ECO) et dans l'Union européenne (UE), a indiqué M. Wang, lors de sa rencontre avec M. Szijjarto en marge du 11ème Sommet du Dialogue Asie-Europe (ASEM) dans la capitale mongole.
La Chine souhaite travailler avec la Hongrie pour accélérer le projet ferroviaire Hongrie-Serbie dans le cadre de l'initiative "la Ceinture et la Route", a souligné M. Wang." La suite sur xinhuanet.com
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La Hongrie met Uber sur une voie de garage
"Uber va
suspendre ses activités en Hongrie avec l’entrée en vigueur d’une loi
qui impose aux autorités de faire bloquer l’accès à son application
mobile.
L’agence de conseil en innovation Fabernovel le souligne dans une étude parue cette semaine : Uber dispose d’un vaste arsenal de techniques pour déployer son modèle à l’international.
En fonction des marchés, la firme américaine se plie aux règles, négocie des partenariats, mène des actions de lobbying, se pourvoit en justice… Mais il arrive aussi qu’elle batte en retraite." La suite sur itespresso.fr
En fonction des marchés, la firme américaine se plie aux règles, négocie des partenariats, mène des actions de lobbying, se pourvoit en justice… Mais il arrive aussi qu’elle batte en retraite." La suite sur itespresso.fr
Le ministère de l’Intérieur hongrois réfute les allégations de Human Rights Watch (Budapest, le 13 juillet 2016)
Nous donnons ci-dessous la traduction française du communiqué publié
par le ministère de l’Intérieur hongrois en réaction aux allégations de
l’organisme Human Rights Watch sur la situation migratoire en Hongrie.
"Le ministère de l’Intérieur hongrois réfute les allégations de Human Rights Watch (Budapest, le 13 juillet 2016)
Le ministère de l’Intérieur hongrois réfute les allégations du rapporteur de Human Rights Watch publiées le 13 juillet 2016 sur le traitement des réfugiés en Hongrie et le contrôle de la frontière.
Le ministère de l’Intérieur rappelle que la Hongrie respecte les dispositions de la Convention de Schengen sur le contrôle des frontières ainsi que la Convention de Genève, et constate avec étonnement que Human Rights Watch attend du pouvoir exécutif qu’il s’abstienne d’appliquer les lois votées par l’Assemblée nationale hongroise en conformité avec les normes européennes.
La Hongrie offre la possibilité aux migrants, aux différents postes-frontière ainsi que dans les zones de transit, de pénétrer légalement sur le territoire national et d’y déposer légalement leur demande d’asile. C’est clairement par mauvaise information que Human Rights Watch donne une interprétation erronée des procédures applicables aux demandes d’asile.
La Hongrie prend sa part dans la prise en charge des demandeurs d’asile à un niveau supérieur à ses moyens. L’Union européenne ne l’y a aidée en rien, la Hongrie est restée seule face à cette charge. L’Etat hongrois dépense environ 450 euros par mois au titre de la prise en charge de chaque demandeur d’asile.
Dans le cadre des interventions de la police hongroise au titre du contrôle de la frontière, huit migrants représentant quatre cas ont porté plainte en 2016 pour brutalités policières présumées (alors que la police hongroise a dû intervenir, sur la même période, à l’encontre de 17 787 migrants ayant franchi la frontière illégalement). Les enquêtes administratives diligentées pour élucider les faits ont conclu que ces plaintes étaient infondées, mais les enquêtes ont été également – pour éviter tout soupçon de parti-pris – transmises aux Parquets compétents.
A la suite de l’entrée en vigueur de la loi du 5 juillet 2016 élargissant les moyens d’intervention aux frontières en matière migratoire, la police a appréhendé 655 personnes qui ont été reconduites à la clôture de sécurité provisoire le long de la frontière. Les intéressés n’ont pas manifesté d’opposition et ont obtempéré de leur plein gré aux injonctions des forces de police. Human Rights Watch se trompe également dans la procédure appliquée : les personnes appréhendées pour franchissement illégal de la frontière sont reconduites sur le territoire hongrois.
Les migrants ne font pas l’objet de harcèlement à la frontière hongroise. Les enfants non accompagnés, qui se présentent en grand nombre, reçoivent protection, prestations de santé et sont scolarisés. La Hongrie se comporte humainement avec tous ceux qui le méritent véritablement, et ceux qui attendent à ses frontières et sur son territoire sont traités d’une manière respectueuse de leur situation – mais elle attend aussi des migrants qu’ils respectent la réglementation hongroise et européenne applicable."
Human Rights Watch en français
Magyarország Kormánya
Source : Page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
"Le ministère de l’Intérieur hongrois réfute les allégations de Human Rights Watch (Budapest, le 13 juillet 2016)
Le ministère de l’Intérieur hongrois réfute les allégations du rapporteur de Human Rights Watch publiées le 13 juillet 2016 sur le traitement des réfugiés en Hongrie et le contrôle de la frontière.
Le ministère de l’Intérieur rappelle que la Hongrie respecte les dispositions de la Convention de Schengen sur le contrôle des frontières ainsi que la Convention de Genève, et constate avec étonnement que Human Rights Watch attend du pouvoir exécutif qu’il s’abstienne d’appliquer les lois votées par l’Assemblée nationale hongroise en conformité avec les normes européennes.
La Hongrie offre la possibilité aux migrants, aux différents postes-frontière ainsi que dans les zones de transit, de pénétrer légalement sur le territoire national et d’y déposer légalement leur demande d’asile. C’est clairement par mauvaise information que Human Rights Watch donne une interprétation erronée des procédures applicables aux demandes d’asile.
La Hongrie prend sa part dans la prise en charge des demandeurs d’asile à un niveau supérieur à ses moyens. L’Union européenne ne l’y a aidée en rien, la Hongrie est restée seule face à cette charge. L’Etat hongrois dépense environ 450 euros par mois au titre de la prise en charge de chaque demandeur d’asile.
Dans le cadre des interventions de la police hongroise au titre du contrôle de la frontière, huit migrants représentant quatre cas ont porté plainte en 2016 pour brutalités policières présumées (alors que la police hongroise a dû intervenir, sur la même période, à l’encontre de 17 787 migrants ayant franchi la frontière illégalement). Les enquêtes administratives diligentées pour élucider les faits ont conclu que ces plaintes étaient infondées, mais les enquêtes ont été également – pour éviter tout soupçon de parti-pris – transmises aux Parquets compétents.
A la suite de l’entrée en vigueur de la loi du 5 juillet 2016 élargissant les moyens d’intervention aux frontières en matière migratoire, la police a appréhendé 655 personnes qui ont été reconduites à la clôture de sécurité provisoire le long de la frontière. Les intéressés n’ont pas manifesté d’opposition et ont obtempéré de leur plein gré aux injonctions des forces de police. Human Rights Watch se trompe également dans la procédure appliquée : les personnes appréhendées pour franchissement illégal de la frontière sont reconduites sur le territoire hongrois.
Les migrants ne font pas l’objet de harcèlement à la frontière hongroise. Les enfants non accompagnés, qui se présentent en grand nombre, reçoivent protection, prestations de santé et sont scolarisés. La Hongrie se comporte humainement avec tous ceux qui le méritent véritablement, et ceux qui attendent à ses frontières et sur son territoire sont traités d’une manière respectueuse de leur situation – mais elle attend aussi des migrants qu’ils respectent la réglementation hongroise et européenne applicable."
Human Rights Watch en français
Magyarország Kormánya
Source : Page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
Des migrants violentés à la frontière hongroise
"Crise des migrants
Soldats et forces de sécurité sont critiqués par Human Rights Watch.
Plusieurs migrants rapportent, dans des témoignages concordants, avoir été passés à tabac en Hongrie par des forces de sécurité. Ils ont été ensuite renvoyés de force en Serbie, affirme Human Rights Watch (HRW). L'ONG dénonce des traitements «cruels».
«Les migrants à la frontière hongroise sont, sans autre forme de procès, renvoyés de force vers la Serbie, parfois en subissant des traitements violents et cruels, sans prise en compte de la protection» qu'ils sont en droit de réclamer, écrit HRW dans un rapport mis en ligne mercredi." La suite sur tdg.ch
Soldats et forces de sécurité sont critiqués par Human Rights Watch.
Plusieurs migrants rapportent, dans des témoignages concordants, avoir été passés à tabac en Hongrie par des forces de sécurité. Ils ont été ensuite renvoyés de force en Serbie, affirme Human Rights Watch (HRW). L'ONG dénonce des traitements «cruels».
«Les migrants à la frontière hongroise sont, sans autre forme de procès, renvoyés de force vers la Serbie, parfois en subissant des traitements violents et cruels, sans prise en compte de la protection» qu'ils sont en droit de réclamer, écrit HRW dans un rapport mis en ligne mercredi." La suite sur tdg.ch
samedi 16 juillet 2016
La Hongrie endeuillée par la mort de Péter Esterházy
"Péter Esterházy, l’un des plus grands écrivains hongrois, est mort
hier des suites d’un cancer à l’âge de 66 ans. Sa disparition a été
commentée comme une «perte incommensurable» pour la littérature
hongroise. Il laisse derrière lui une œuvre riche, caractérisée par une
créativité débordante.
Né le 14 avril 1950 à Budapest, Péter Esterházy avait l’allure de ces rejetons rebelles de bonne famille, la chevelure indomptée mais une élégance toute aristocratique. Et pour cause, ses ancêtres ont fait partie de la plus haute noblesse de Hongrie, construit parmi les plus splendides palais du pays. Deux ans avant sa naissance, les Esterházy sont dépossédés de tous leurs biens par le nouveau régime communiste. Fils d’un ancien premier ministre du royaume, le père de Péter se fait journaliste avant de travailler activement pour le compte de la sécurité d’État, comme informateur de la police politique, ce que l’écrivain découvrira sur le tard." La suite sur hu-lala.org
Né le 14 avril 1950 à Budapest, Péter Esterházy avait l’allure de ces rejetons rebelles de bonne famille, la chevelure indomptée mais une élégance toute aristocratique. Et pour cause, ses ancêtres ont fait partie de la plus haute noblesse de Hongrie, construit parmi les plus splendides palais du pays. Deux ans avant sa naissance, les Esterházy sont dépossédés de tous leurs biens par le nouveau régime communiste. Fils d’un ancien premier ministre du royaume, le père de Péter se fait journaliste avant de travailler activement pour le compte de la sécurité d’État, comme informateur de la police politique, ce que l’écrivain découvrira sur le tard." La suite sur hu-lala.org
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