« Malgré notre recherche constante du dialogue, le gouvernement refuse de modifier des règles édictées à l’époque où les téléphones fixes n’existaient pas encore. Nous avons mis en place le reçu électronique, demandé des permissions spéciales aux chauffeurs et assuré les véhicules légalement. L’administration punit l’innovation et nos employés par la même occasion. »
Zoltán Fekete est en rage. Logique : le patron
d’Uber au pays du goulash va limoger 1 200 salariés et se passer de
160 000 clients." La suite sur rue89.nouvelobs.com
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