"La Hongrie et la République tchèque redoutent de perdre leur souveraineté budgétaire.
Pour la Hongrie et la République tchèque, c'est non. Ni Prague ni Budapest n'acceptent de rejoindre le pacte pour l'euro, introduit à la demande de l'Allemagne et de la France pour éviter aux pays non membres de la zone euro de nouvelles crises de la dette, et adopté lors du sommet européen des 24 et 25 mars à Bruxelles." La suite de l'article sur lefigaro.fr
On pourrait s'en féliciter mais dans le même temps Orban s'apprête à obérer par lui-même, au travers d'un texte contraignant pour lui et ses successeurs, la souveraineté économique de son pays. Son projet de Constitution stipule en effet, en son article 36 "Az Országgyűlés csak olyan központi költségvetésről szóló törvényt fogadhat el, amely nem eredményezi az államadósság mértékének növekedését." Ce qui en français signifie "Le Parlement ne peut accepter de texte de nature budgétaire que pour autant qu'il n'en résulte pas une augmentation de la dette publique".
mercredi 30 mars 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.