"Un an après la catastrophe écologique, l’État a financé la dépollution et le relogement des sinistrés.
Certains malades doivent encore démontrer que leurs problèmes respiratoires sont liés aux coulées toxiques.
Les Hongrois célèbrent un funeste anniversaire. Il y a un an, des flots rouges et denses déferlaient sur le village de Kolontar et les villes de Devecser et Somlovasarhely, à 150 km à l’ouest de Budapest. Dix minutes auparavant, deux réservoirs à ciel ouvert d’une usine d’aluminium avaient rompu, laissant filer près d’un million de mètres cubes d’un liquide toxique riche en soude caustique, en fer ou encore en chrome.
Le 4 octobre 2010 figure ainsi en tête du chapitre des catastrophes écologiques sous l’appellation « désastre d’Ajka », en référence à la ville accueillant l’usine d’où le mal est parti. Les coulées de boue ont fait 10 morts et 150 blessés, englouti 350 maisons et contaminé 150 autres. Un millier d’hectares ont été imprégnés.
Enfin, le « torrent rouge » a atteint la Marcal et le Torna, deux cours d’eau, menaçant le Danube tout proche. L’état d’alerte fut proclamé dans trois départements (sur 19)." La suite sur la-croix.com
mardi 4 octobre 2011
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