Tous les deux mois, auteurs, traducteurs
et éditeurs présentent des livres ayant trait à l'Europe centrale
(Autriche, Hongrie, Pologne, République tchèque, Roumanie, Slovaquie,
etc.) récemment parus en français, sur l'initiative du CIRCE (Centre
Interdisciplinaire de Recherches Centre-Européennes) de l'Université de
Paris-Sorbonne et de l'Association Adice.
Les Invités des Palabres :
Gilles Rozier : D'un pays sans amour, Paris, Grasset, 2011 | « Alors que j'étais cadre dans la grande distribution, je me suis entiché du yiddish. J'ai découvert une littérature d'une richesse incroyable, ainsi que des vies d'écrivains superbes et tragiques aux yeux du cadre plan-plan que j'étais. Je me suis alors dit qu'un jour, j'écrirais un roman qui entremêlerait les destins de trois d'entre eux : Peretz Markish, Uri-Zvi Grinberg, Melekh Ravitsh. Trois jeunes gens posant sur une photo prise dans le jardin de Saxe, à Varsovie, un jour de 1922. Ils n'avaient pas vingt-cinq ans. L'idée n'a cessé de me hanter depuis. J'ai mis vingt ans à m'y atteler, cinq à la réaliser. » (Gilles Rozier)
Luba Jurgenson : Trois contes allemands, Paris, Pierre-Guillaume de Roux, 2012 | « Voici trois temps forts de l'Histoire qui nous entraînent du fond de la Poméranie de 1913 jusqu'au Berlin de 1933, puis du New York des années 50 au Nuremberg de 1946, en passant par le Saint- Pétersbourg de 1880 et le Moscou des années 90. Trois drames de la judéité qui se jouent sur la scène intime des mots, des noms et des accents refoulés. »
Clara Royer : Csillag, Paris, Pierre-Guillaume de Roux, 2011 | « S'il y a bien une chose dont Ethel ne doute pas, c'est qu'elle est juive. Jusqu'au jour où Côme, son ami chercheur, lui montre en passant la photographie d'une adolescente disparue en 1944. Ethel y reconnaît sa grand-mère, Marie, mais non la croix bien chrétienne qui pend à son cou. Pourquoi sa merveilleuse grand-mère lui aurait-elle menti sur ses origines ? Le désarroi de la jeune femme est d'autant plus fort que Marie, frappée d'Alzheimer, ne peut plus s'expliquer. Sous le choc, Ethel décide de mener l'enquête à la place de Côme. Une imposture qu'elle regrettera amèrement en découvrant ce que dissimule celle de Marie. Un récit sous haute tension et magistralement orchestré. »
Les Invités des Palabres :
Gilles Rozier : D'un pays sans amour, Paris, Grasset, 2011 | « Alors que j'étais cadre dans la grande distribution, je me suis entiché du yiddish. J'ai découvert une littérature d'une richesse incroyable, ainsi que des vies d'écrivains superbes et tragiques aux yeux du cadre plan-plan que j'étais. Je me suis alors dit qu'un jour, j'écrirais un roman qui entremêlerait les destins de trois d'entre eux : Peretz Markish, Uri-Zvi Grinberg, Melekh Ravitsh. Trois jeunes gens posant sur une photo prise dans le jardin de Saxe, à Varsovie, un jour de 1922. Ils n'avaient pas vingt-cinq ans. L'idée n'a cessé de me hanter depuis. J'ai mis vingt ans à m'y atteler, cinq à la réaliser. » (Gilles Rozier)
Luba Jurgenson : Trois contes allemands, Paris, Pierre-Guillaume de Roux, 2012 | « Voici trois temps forts de l'Histoire qui nous entraînent du fond de la Poméranie de 1913 jusqu'au Berlin de 1933, puis du New York des années 50 au Nuremberg de 1946, en passant par le Saint- Pétersbourg de 1880 et le Moscou des années 90. Trois drames de la judéité qui se jouent sur la scène intime des mots, des noms et des accents refoulés. »
Clara Royer : Csillag, Paris, Pierre-Guillaume de Roux, 2011 | « S'il y a bien une chose dont Ethel ne doute pas, c'est qu'elle est juive. Jusqu'au jour où Côme, son ami chercheur, lui montre en passant la photographie d'une adolescente disparue en 1944. Ethel y reconnaît sa grand-mère, Marie, mais non la croix bien chrétienne qui pend à son cou. Pourquoi sa merveilleuse grand-mère lui aurait-elle menti sur ses origines ? Le désarroi de la jeune femme est d'autant plus fort que Marie, frappée d'Alzheimer, ne peut plus s'expliquer. Sous le choc, Ethel décide de mener l'enquête à la place de Côme. Une imposture qu'elle regrettera amèrement en découvrant ce que dissimule celle de Marie. Un récit sous haute tension et magistralement orchestré. »
Soirée animée par Jean-Francois Laplénie
(spécialiste de littérature allemande et autrichienne, maître de
conférences à l'Université Paris-Sorbonne)
Entrée libre
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
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