"On le sait, l’auteur des Harmonies Werckmeister et du Cheval de Turin
avait annoncé sa décision irrévocable de cesser de réaliser des films.
Il avait promis de se consacrer désormais à la transmission de la haute
idée du cinéma qu’il incarne. C’est ce qui est en train de se produire,
avec l’ouverture à Sarajevo de la Film Factory conçue par le cinéaste
hongrois.
Le seul pays où, malheureusement, il était certain que Béla Tarr
n’établirait pas son école était à l’évidence le sien, soumis au
véritable massacre du monde culturel, et notamment cinématographique
qu’y perpètre le gouvernement fascisant de Victor Orban, parmi bien
d’autres méfaits." La suite sur slate.fr
dimanche 30 septembre 2012
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