mardi 30 avril 2013

DE L’EUROPE par Adam Biro

Le cimetière militaire de Douaumont, France
Beaucoup de livres paraissent déjà, et il en paraîtra encore plus l’année prochaine, pour marquer le centième anniversaire de l’éclatement de ce que les Français appellent encore la Grande Guerre, la préférée de Brassens. Cette confrontation redessina la carte du monde et ouvrit les portes aux infinis malheurs que connut le XXe siècle. Toutes les familles européennes furent touchées par l’horrible et inutile boucherie, individuellement. (Un de mes grands-oncles, français, mourut aux Dardanelles pour la République qui voulait casser du Boche, mon grand-père, hongrois, fut gravement blessé sur l’Isonzo pour l’empereur François-Joseph qui a « tout pesé, tout réfléchi » en août 14.) Rien de positif n’en sortit. Mort, larmes, souffrances. Hitler et Staline. Rien ne pouvait motiver cette guerre, sinon la lutte de pouvoir absurde des grandes (et petites) puissances. Je connais peu d’exemples comparables de l’acharnement des dieux pour perdre les hommes.
L’évolution de l’idée européenne nous entraînera sinon dans les mêmes horreurs, du moins dans la même absurdité. À l’ère du numérique et des réseaux sans frontières, les nationalismes stupides sont là, toujours explicables et expliqués : Tchèques et Slovaques se sont séparés, les Flamands veulent quitter les Wallons, les Corses réclament leur autonomie, l’Italie du Nord cherche à répudier le Sud, Serbes, Bosniaques et Kosovars se font la guerre, les Écossais et les Catalans luttent pour leur indépendance, les Suisses et les Norvégiens n’entrent pas dans l’Union européenne, quant à la Hongrie, elle en veut à tout le monde… Si l’Europe ne se fait pas, la France, soixante millions d’habitants, la Slovaquie, cinq millions… et Chypre, un million cent mille, se retrouveront, chacun pour soi, chacun avec sa banque nationale (inefficace), bientôt sa monnaie (dévaluée quotidiennement), son armée (inexistante), ses frontières (supposées hermétiques), son système éducatif (lamentable, fabriquant des têtes ni bien pleines ni bien faites), ses protections sociales (dérisoires), sa politique étrangère (égoïste, agressive, cacophonique), ses réglementations agricoles, face à la Chine, à l’Inde, au Brésil, aux deux Corées réunies, aux États-Unis. Je vous laisse terminer ma pensée, car tellement je ris que les larmes m’empêchent de réfléchir.
Peu de choses me semblent aussi évidentes que si l’Europe ne se construit pas, si les pays européens ne s’unissent pas, nous disparaîtrons, notre continent deviendra un Disneyland inscrit — éventuellement — sur le programme des tours operators qui feront visiter, en cinq jours, England-the-Queen (elle sera toujours en vie), France-La Joconde (à cause du Da Vinci Code)-Versailles-châteaux-de-la-Loire, à Bruxelles le Manneken pis, et quelques broutilles si le temps le permet comme Hungary-the-puszta, l’Oktoberfest de Munich, Italy-Leonardo (à cause, toujours, du Da Vinci Code). Pas la peine d’aller à Venise, puisque les touristes auront déjà vu le Rialto à Las Vegas. (Le voyage de Montaigne de Bordeaux à Rome dura dix-sept mois, dont une visite de Rome de cinq mois.)
Comment voulez-vous que le Portugal, la Roumanie, mais même la Grande-Bretagne ou la France survivent seuls face à la jeunesse, à l’inventivité, au dynamisme des pays émergents ? Je me souviens de la plaisanterie sur le grand-duc de Luxembourg qui, lors d’un voyage officiel en Chine, fut reçu par Mao. « Combien êtes-vous au Luxembourg ? » demanda Mao. « 500 000 », répondit le grand-duc. « Ah, dit le grand-timonier, et vous êtes descendus dans quel hôtel ? »
Je suis de ceux qui rêvent de petites unités autogérées, qui croient à l’autonomie des groupes fondés sur des affinités, sur le libre choix de l’appartenance. Et je n’aime pas cette époque de méga-rassemblements, de masses et d’unions forcées. Dans une confédération européenne que j’appelle de mes vœux, qui ne sera pas dominée par le capital, chaque pays ou région pourra garder sa langue, ses coutumes, ses particularités — son âme. Mais l’accroissement de la population du monde ne permet pas, ne permettra plus de jouer solo, perso, et si nous prenons notre destin européen en main maintenant, tout de suite, nous pouvons encore échapper à une globalisation imposée.
Nous sommes vraiment un vieux continent et peut-être avons-nous fait notre temps. Les civilisations sont mortelles. Il n’y a pas un chef d’État qui proposerait une Confédération européenne. Nous n’avons mérité que Hollande-Merkel-Cameron (et Orbán et Beppe Grillo). Quand nous citons l’exemple de la Suisse, quatre langues, deux religions principales, des citadins riches et des paysans longtemps misérables, une histoire sanglante (oui), nos (com)patriotes nous répondent que…, et quand on parle des États-Unis (des états unis) d’Amérique, nés dans la douleur d’une cruelle guerre civile, confrontés à leur naissance à de vraies difficultés, on vous dit que… En voilà pour les arguments.
La compétitivité économique et commerciale n’est, évidemment, pas une raison pour construire l’Europe. Il y en a d’autres qui me passionnent bien plus, culturelles, historiques, sociales…
Mais nous avons, en France, de vrais problèmes : la semaine des quatre jeudis et le mariage de la carpe et du lapin.
P.S. Suite à mon billet de février consacré aux comédies musicales : courez voir la version restaurée de Funny face (Stanley Donen 1957, avec Audrey Hepburn et Fred Astaire, musique de Gershwin)— un scénario tiré par les cheveux, un Paris de cartes postales — et pourtant, comme moi, pleurez de plaisir.
adam biro
mai 2013
biroadam4(AT)gmail.com

Décès aux Etats-Unis du violoncelliste hongrois Janos Starker

Le violoncelliste et professeur hongrois Janos Starker, naturalisé américain, considéré comme l'un des plus grands artistes de sa spécialité au XXe siècle, est décédé dimanche à l'âge de 88 ans dans l'Indiana (Etats-Unis) où il résidait, a annoncé lundi le Théâtre de la Ville à Paris qui l'a accueilli à plusieurs reprises.

Hongrie : agression antisémite après un match de football

"Le président d'une association de lutte contre les discriminations a expliqué lundi à l'agence de presse hongroise MTI avoir été agressé dimanche par des supporteurs de football, après leur avoir demandé de cesser leurs chants antisémites.
Ferenc Orosz, président de l'Association Raoul-Wallenberg -- du nom du diplomate suédois qui a sauvé des dizaines de milliers de Juifs hongrois de l'Holocauste -- basée à Budapest, a été pris à partie après le match de 1ère division entre le Ferencvaros et Videoton, au stade Ferenc Puskas de la capitale hongroise." La suite sur lematin.ch

Que reste-t-il de nos amours ? au Théâtre du Nord-Ouest du 17 avril au 10 juin 2013

Deux pièces en un acte d’Adam Biro
(Vera O’Connor et Le Chinois et la Putain)

(du 17 avril au 10 juin, salle Economidès)
Mise en scène : Geneviève Brunet et Odile Mallet
Avec : Geneviève Brunet, Vincent Gauthier,
Odile Mallet, Pierre Sourdive

Des ex-amants — ou non ; un autre couple qui n’a jamais été un couple. L’amour souverain donne un sens à la vie.
Le seul sens.
Un jeu.

Métro Bourse (3) Le Peletier (7) Grands Boulevards (8, 9)
Bus Grands Boulevards (20, 39, 48, 67)
Parkings Parc de la Bourse Parc Chauchat-Drouot
Accessibilité La salle Economidès est accessible aux personnes en fauteuil roulant

Voir aussi le site www.TheatreDuNordOuest.com

30/04/13 20h45
04/05/13 17h00
08/05/13 19h00
11/05/13 19h00
12/05/13 14h30
13/05/13 19h00
20/05/13 17h00
25/05/13 17h00
26/05/13 14h30
28/05/13 19h00
10/06/13 20h45

Théâtre du Nord-Ouest
13, rue du Fbg Montmartre,
 75009 Paris
Tél. +33 (0)1 47 70 32 75
www.TheatreDuNordOuest.com

lundi 29 avril 2013

La Hongrie face aux vieux démons de l’antisémitisme

"En octobre dernier, lors d’une manifestation d’extrême-droite, des participants scandent des slogans antisémites et agressent un journaliste qui finira avec cinq fractures au nez. Ce genre d’incidents s’est multiplié ces derniers mois en Hongrie, pays qui compte la communauté juive la plus importante d’Europe Centrale." La suite sur euronews.com

Mardis hongrois du 16 avril 2013 par Alain Dodeler








Le site d'Alain Dodeler : alain-dodeler.fr

Alice Zeniter, la tentation de Budapest

"Alice Zeniter louée par une critique flatteuse a grandi à Champfleur dans la Sarthe. Et si une étrange maison hongroise est au cœur de « Sombre dimanche », la jeune romancière reste attachée à la demeure familiale, entre étangs et forêt de Perseigne. Mais c'est à Paris où elle prépare une thèse sur le dramaturge contemporain Martin Crimp que nous nous sommes rencontrées.
Son premier roman publié à 16 ans est épuisé. « Et surtout, qu’il le reste »,lance-t-elle en riant. « On ne devrait jamais publier si jeune. J’ai écrit ce livre à 14 ans derrière la fontaine à eau du lycée et à cet âge, on n’imagine pas à quel point on va changer ». Jusqu’à la parution en janvier de « Sombre dimanche » (Albin Michel) salué  par le prix de la Closerie des Lilas, Alice n’a pas perdu son temps." La suite sur lemans.maville.com

Alice Zeniter: le roman d'une jeunesse perdue

"Son premier roman, Deux moins un égal zéro, Alice Zeniter l'a publié à seize ans et il lui a valu le Prix littéraire de la ville de Caen.
Jusque dans nos bras paru en 2010 a été récompensé par plusieurs prix littéraires et accueilli de façon unanime par une presse très élogieuse qui a salué un style percutant, l'énergie de l'écriture et la qualité d'un texte perçu comme le manifeste d'une génération compliquée, la génération "no future". On a même évoqué à son propos un "Perec version 2010".
Il y a fort à parier que Sombre dimanche va rencontrer le même succès. Il vient de remporter le prix de La Closerie des Lilas 2013 et a été sélectionné pour le prix du livre Inter. Et pourtant Alice Zeniter n'a que 26 ans." La suite sur huffingtonpost.fr
Sombre dimanche, Alice Zeniter (Albin Michel, 285pp)

Drámaíróként debütált a könyvkiadó Bíró Ádám Párizsban

"A Párizs közepén található Théatre Nord-Ouest kortárs színházi sorozatában debütált első darabjával Bíró Ádám, aki sokáig elsősorban művészeti könyvkiadója, a Biro Editeur alapítójaként volt ismert.

A Grand Boulevard stúdiószínházának sajátossága más párizsi játszóhelyekhez képest, hogy repertoárszínházként működik, azaz felváltva több darab is látható a két teremben. Az idei szezon Paroles d'aujourd'hui (Kortárs gondolatok) elnevezésű sorozatában január 4. és június 23. között 44 kortárs szerzőtől mutatnak be "a világnak tükröt állító" műveket. A sorozatban Bíró Ádám Que reste-t-il de nos amours? (Mi marad a szerelmeinkből?) című darabját összesen 15 alkalommal láthatja a párizsi közönség." La suite en hongrois sur szinhaz.hu

dimanche 28 avril 2013

Puis-je me faire soigner les dents en Hongrie ou en Pologne ?

"En France, il faut compter 700 euros pour une couronne en céramique, 2 000 euros pour un implant. Les tarifs sont beaucoup moins élevés en Hongrie ou en Pologne – 200 euros pour la couronne, 600 pour l'implant, et les soins tout aussi bons. Oui, mais a-t-on le droit d'aller se faire soigner à l'étranger ?
Le Centre européen de la consommation répond à toutes vos questions dans une nouvelle brochure intitulée "L'Accès aux soins dans l'Union européenne"." La suite sur lemonde.fr

Hongrie: des forces d'opposition s'allient en vue des élections de 2014

"Deux des principales formations politiques d'opposition en Hongrie ont annoncé samedi une alliance dans la perspective des élections législatives de début 2014 afin de renforcer leurs chances contre le parti conservateur Fidesz du Premier ministre Viktor Orban.
Ce pacte électoral a été scellé officiellement entre le dirigeant du parti socialiste -principale force d'opposition- Attila Mesterhazy et l'ancien Premier ministre technocrate Gordon Bajnai, leader du parti "Alliance électorale Ensemble 2014"." La suite sur rtl.be

Posture, imposture

"Posture ou imposture ? Telle est la question cette semaine, après la parution de l'article d'Yves-Michel Riols évoquant la "posture gaullienne de Viktor Orban" dans le supplément "Géo & politique" (Le Monde daté 14-15 avril). Une vraie-fausse analyse faite à l'occasion des trois ans du retour au pouvoir, le 25 avril 2010, du dirigeant hongrois et de son parti de droite, le Fidesz.

Notre journaliste campe d'emblée la Hongrie en "laboratoire des bouleversements du continent européen". Il parle de "posture gaullienne" pour décrire "la volonté d'en découdre, une fois pour toutes, avec l'héritage communiste, un scepticisme prononcé envers une forme de capitalisme mondialisé et un farouche attachement à l'indépendance nationale" du ministre-président de Hongrie. Et pousse le bouchon jusqu'au bout en soulignant "la similitude du parcours des deux hommes ; de la Résistance à l'occupant, en passant par une traversée du désert et un retour triomphal au pouvoir, porté par un sursaut national et l'ambition de rompre avec un ordre ancien discrédité"." La suite sur lemonde.fr

Viktor Orban, l’imposture gaullienne ?

A signaler dans le Blog des lecteurs du Monde du 25 avril 2013
L'article « La posture gaullienne de Viktor Orban » (Le Monde du 15 avril) de Yves-Michel Riols a suscité de nombreuses réactions dont nous publions ci- dessous quelques extraits. En introduction à ces lettres, Yves-Michel Riols apporte quelques éléments d'explication de sa démarche et répond ainsi aux lecteurs. 
http://mediateur.blog.lemonde.fr/

Le chômage des jeunes en Hongrie

"Difficile de rester optimistes pour les jeunes demandeurs d'emploi en Hongrie. Alors que le problème du chômage se généralise en Europe, celui-ci avoisine les 29 % pour les 15 – 24 ans dans le pays (Eurostat - janvier 2013) . Comme cause de ce phénomène, certains évoquent un marché du travail restreint ou un système d'éducation inadéquat.
« La génération perdue » c'est ainsi que le journal Népszabadsàg désigne ces jeunes particulièrement touchés par le chômage. Pour les arrivants sur le marché du travail, il semble de plus en plus difficile de s'insérer. D'après les études du Bureau central des statistiques (KSH - Köszponti Sztatistikai Hivatal), ce sont les moins diplômés – avec l'équivalent du brevet ou du baccalauréat - qui ont le plus de mal à se faire une place. Cependant, beaucoup de titulaires d'un ou plusieurs diplômes peinent aussi." La suite sur hu-lala.org

Hongrie: une école de musique donne la chance aux jeunes Roms

"Ferenc Snétberger est un guitariste de jazz mondialement réputé. En 2011, il crée au lac Balaton une école de musique pour former les jeunes talents issus de la communauté Rom venant des milieux les plus défavorisés du pays. 60 élèves reçoivent chaque année un enseignement musical de première qualité, grâce au concours de professeur de renommé internationale. Chaque fin d'année, ils partent en tournée dans différentes villes de Hongrie et en Europe." Vidéo sur youtube.com

Hongrie: l'Union se réveille... ou pas.

"Si j'étais Viktor Orban, je la jouerais cool, j'arrêterais les changements de constitution... pas définitivement, mais juste quelques mois. Je resterais bien discret, pépère. Le temps de me faire oublier, le temps que les européens se calment. Parce que là tout de même, le Premier ministre hongrois va peut être réussir l'exploit incroyable de relancer le débat sur les valeurs européennes et sur les moyens de les faire respecter." La suite sur rtbf.be

mercredi 24 avril 2013

Lili Kisteleki espose du 25 avril au 5 mai 2013 Espace Cinko

Nous avons le plaisir de vous inviter à l’exposition  de LILI KISTELEKI


du 25 Avril au 5 Mai 2013

tous les jours de 10 h à 18 h 
La galerie est fermée le dimanche 
ESPACE CINKO
12-18, passage Choiseul
(entrée au 40, rue des Petits-Champs)
75002 Paris
Téléphone : 07 86 50 74 79  

E-mail  : contact@lili-art.fr 

Site web : www.lili-art.fr

Mercedes et Volkswagen misent sur leurs usines à bas coûts en Europe de l'est

"Mercedes investit dans une usine de composants en Roumanie et mise sur son site hongrois pour la nouvelle CLA. Audi investit fortement à Györ, également en Hongrie. BMW songe à s'implanter en Europe de l'est.
L'Allemagne maintient intacte sa production automobile en Allemagne, c'est un fait. Et ce, grâce à sa montée en gamme et à l'ouverture de nouveaux marchés. Pourtant, l'industrie auto d'outre-Rhin mise aussi sur les pays à... bas coûts d'Europe de l'est. Et comment! Mercedes annonce ainsi ce mercredi  280 millions d'euros d'investissements en Roumanie, pour augmenter la production de ses transmissions automatiques. Le constructeur de Stuttgart va ainsi créer une nouvelle usine à Sebes (centre du pays). Mercedes avait déjà lancé en janvier dernier la production de sa berline compacte CLA... dans une usine à bas coûts salariaux en Hongrie. Implanté à 70 kilomètres au sud de Budapest, le site de  Kecskemét avait été ouvert en mars 2012. Il a fabriqué plus de 40.000 monospaces compacts Classe B l'an dernier." La suite sur latribune.fr

Un Mémorial dédié au génocide arménien inauguré dans le sud de la Hongrie

"Un mémorial dédié aux victimes du génocide arménien pendant la Première Guerre mondiale a été inaugurée samedi à Szeged, en Hongrie.
Le khatchkar a été érigée dans le parc de la solidarité chrétienne près de la cathédrale de Szeged. Lors de la cérémonie, l’ambassadeur de bonne volonté Levon Sarkissian (frère du président Serge Sarkissian) s’est félicité que le mémorial ait été inauguré en Hongrie. « Bien que la période récente a connu des moments difficiles, ils ont été balayés comme de la cendre dans le vent » a-t-il dit." La suite sur armenews.com

Importante mise à jour pour Google Street View

"Google vient d'ajouter la Hongrie et le Lesotho à sa galerie Street View d'images panoramiques, portant à 50 le nombre de pays couverts. Une grande mise à jour des images proposées pour de nombreux pays a également été effectuée...." La suite sur abondance.com

mardi 23 avril 2013

Un grand stade pour Budapest

"La Hongrie a dévoilé mardi le projet de construction d'un grand stade d'une capacité de 65.000 places à Budapest dont le coût se situera entre 250 et 300 millions d'euros. La construction de cette enceinte baptisée «Centre olympique national» doit débuter en 2014 et doit être achevée en 2017.Ce stade sera bâti à la place du Stade Ferenc Puskas de Budapest, l'ancien «Stade du peuple», construit en 1953 sous l'époque communiste. Puskas, décédé en 2006, est la légende du football hongrois qui a connu ses heures de gloire dans les années 50." Source : sport24.com

Après son voyage à Budapest Houellebecq a offert des cadeaux

Lors de son passage à Budapest, Michel Houellebecq a acheté une blouse avec des motifs hongrois caractéristiques qu'il a offert à Alexandra Sublet lors de son arrivée à cette émission le lundi 22-04-13 à 18:59:
http://pluzz.francetv.fr/videos/c_a_vous.html
replay 7 jours_visible à compter de 35 minutes environ




  
Merci à michartpoesho pour ces contributions bien sympathiques

Les services de sécurité nationale pourront retracer les diplômés

"Traduction partielle de l’article paru sur le site HVG.hu, le 16 avril 2013, sous le titre « Nyomon követhetik a nemzetbiztonságiak a diplomásokat ».
[NDLR : une nouvelle loi sur l’enseignement supérieur contraint les étudiants hongrois ayant bénéficié d’une bourse d’Etat à travailler 5 ans au minimum en Hongrie après l’obtention de leur diplôme.]
Conformément à la proposition de loi sur l’enseignement supérieur introduite par le ministre Zoltán Balog vendredi dernier, les données personnelles relatives au parcours universitaire des étudiants bénéficiant d’une bourse d’état pourront être remises aux services de sécurité nationale. Selon le quotidien Népszava, cet amendement ne prévoit pas de conditions pour la divulgation de ces données, ce qui rendrait possible le traçage des diplômés." La suite sur hu-lala.org

Hongrie: le taux directeur descend à son plus bas historique

"Budapest - La Banque centrale hongroise (MNB) a abaissé pour la neuvième fois consécutive son principal taux directeur, tombé à 4,75%, soit son plus bas niveau historique, selon un communiqué de l'institution diffusé mardi.

Le Conseil monétaire de la Banque centrale a décidé de baisser le taux de base de 25 points de base à 4,75% à partir du 24 avril, a indiqué la MNB sur son site internet." La suite sur romandie.com

Chaire tournante avec Paul Wiener et Juli Faloux le 23 avril 2013 à 19 h - Institut hongrois

L’Institut Hongrois, 92, rue Bonaparte, 75006 Paris
vous propose
mardi 23 avril 2013 à 19 heures
Sous l’égide de son programme « chaire tournante »
Une rencontre avec
Paul Wiener
Ancien Professeur d’Université- Psychiatre, psychanalyste
Interviewé par Juli Faloux, psychiatre

Afin d’ouvrir leur formation en langue, littérature et civilisation hongroises à des expériences et pratiques variées, l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), l’Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, l’Université Sorbonne - Paris 4 et l’Institut hongrois ont pris l’initiative de créer une Chaire tournante. Elle accueille des personnalités francophones, connues pour la qualité de leurs travaux et l’originalité de leurs activités pour une conférence-débat ouverte au grand public.
« Ne jamais regarder en arrière » a dit Dante autrefois, comme l’a rappelé Milan Füst, le grand poète hongrois vers 1955. À la demande de l’Institut hongrois faut-il transgresser cette vénérable consigne et jeter un regard en arrière ? Allons-y !
« Tiens nous étions aussi ceci ou cela ». Comme si on était sur un radeau emporté par l’eau vive. Le courant charrie des parcelles diverses de notre vie qui passent auprès de notre esquif. Nous allons en ramasser quelques-unes, les considérer un instant, puis nous tourner vers la suivante pour constater que cette vie n’a pas été consacrée à une seule tâche, mais que de multiples activités se sont entrelacées. Psychanalyse, psychologie, psychiatrie ont voisiné avec la poésie, l’art plastique, l’écriture, le théâtre et la musique.
Paul Wiener a passé en Hongrie les dix premières années de sa vie sous l’ombre d’Hitler et les dix suivantes, sous l’emprise de Staline. Son grand-père maternel, président de la communauté orthodoxe de Karcag, a fait construire la synagogue de cette ville en 1899. Ses parents l’ont converti en 1940 pour le protéger ainsi des persécutions nazies. Il a été réadmis à sa demande dans la communauté juive en 1955 à Budapest. A la suite des journées exaltantes de la Révolution Hongroise de 1956, il a dû quitter son pays. Il est resté étudiant pratiquement jusqu’à l’âge de trente ans. Diversement occupé par ses professions de psychanalyste et de psychiatre hospitalier, où il assumait des responsabilités institutionnelles, il a été aussi amené à enseigner la psychopathologie à l’Université Paris 7 et Paris 13. Il est l’auteur de nombreuses publications dans des revues professionnelles et d’un livre chez PUF : Structures et processus dans la psychose.
Sa vie a été scandée de moments passionnants : il a bénéficié en compagnie du futur poète Ottó Orbán des enseignements de l’institution dirigée par le pasteur protestant Gabor Stehlo. Sportif à l’adolescence, il a plus tard inventé la technique des statuettes de thé. Il a activement participé au mouvement des jeunes psychiatres au cours des années 68. Il a appris la psychosomatique auprès d’un maître, Pierre Marty, l’approche du théâtre auprès d’un autre, Robert (Bob) Wilson dont le groupe l’a accueilli pendant une dizaine d’années. Il a aussi animé des associations plus ou moins professionnelles en psychologie et en psychiatrie.
Des amitiés exceptionnelles lui ont permis de vivre la poésie et la musique en compagnie de János Pilinszky et de Zoltán Kocsis qui ont souvent séjourné chez lui à Paris. On peut remarquer sur le dernier trajet de son parcours un livre écrit à l’inspiration du peintre Miklos Bokor, Peut-on en finir avec Hitler ?
Soirée animée par Julie Faloux psychiatre
Entrée libre

Inquiétudes en plénière autour des changements constitutionnels en Hongrie

"De nombreux doutes subsistent quant à la conformité des changements à la constitution hongroise avec la règlementation européenne, ont déclaré la plupart des intervenants lors d'un débat en plénière ce mercredi. Les autres ont qualifié ce débat de "stérile", ajoutant que les lois des autres pays européens devraient également être examinées. La commission des libertés civiles du Parlement européen examinera la conformité des modifications apportées par la Hongrie." La suite sur europarl.europa.eu

lundi 22 avril 2013

Hommage aux victimes de l'Holocauste à Budapest

"Quelque 10 000 personnes ont participé à la marche annuelle en hommage aux victimes de l'Holocauste dans la capitale de la Hongrie. Cette année l'action a rassemblé deux fois plus de participants que d'ordinaire. Ceux-ci ont manifesté pour attirer l'attention sur la montée de l'antisémitisme et du racisme en Hongrie." La suite sur ruvr.ru

Le FMI et la Banque mondiale offrent un appui technique à la Hongrie

Communiqué de l'Ambassade de Hongrie.
"Le FMI et la Banque mondiale ont considéré le solde budgétaire hongrois comme « exceptionnellement favorable », a déclaré le ministre de l’Economie hongrois Mihály VARGA après avoir assisté à la Réunion du printemps des deux organisations à Washington DC, où il a rencontré Reza Moghadam (Directeur du département Europe du FMI) et Thanos Arvanitis (chef de mission du FMI pour la Hongrie). « Les 2 % de déficit budgétaire de l’année dernière constituent pour nous une évolution positive, de même que pour les représentants du FMI et de la Banque mondiale », a précisé le ministre. 
L’expertise de la Banque mondiale pourrait s’avérer utile dans les domaines tels que la réforme du système de pension ou la mise en place de la stratégie de Rome, a-t-il dit, ajoutant qu’aucun véritable financement n’était nécessaire.
« Les représentants du FMI s’accordent sur le fait qu’aujourd’hui, la Hongrie n’a pas besoin d’une assistance financière telle qu’elle avait été octroyée auparavant ». « Il est clair que le financement du pays est assuré cette année et que le besoin d’un tel accord ne naîtra pas en 2013 ».
Le ministre de l’Economie a ajouté qu’un « filet de sécurité » serait peut-être nécessaire l’année prochaine mais que « les domaines où nous étions en désaccord dans le passé, comme une taxe sur les banques, pourraient entraver la conclusion d’un accord »."

samedi 20 avril 2013

Le créateur de la super-auto Peugeot est venu de Miskolc

Fotó: Peugeot Hungaria
Tout s'est décidé lorsque Attila Bocsi enfant a reçu un modèle réduit de Lancia Stratos pour son anniversaire. Il n'y avait pas de souci, tant qu'il semblait que comme tout petit garçon il aimait dessiner des voitures. Mais le designer automobile n'a pas voulu grandir. Et bien qu'aujourd'hui, dans les ateliers de conception, il ne puisse naître des miracles automobiles semblables à la Stratos, le concepteur se contente d'un résultat approchant pour son rêve d'enfant.

Miskolcról indult a Peugeot szuperautó tervezője
Minden akkor dőlt el, amikor Bocsi Attila gyerekként egy Lancia Stratos modellt kapott születésnapjára. Addig nem volt gond, amíg úgy látszott, hogy mint minden fiú, szeret autókat rajzolgatni. De az autódizájner ezt nem is akarta kinőni. És bár ma már tervezőműhelyben a Stratoshoz fogható autócsodák nem születhetnek, ám a gyerekkori álomhoz nagy vargabetűkkel megérkező tervező elégedett." La suite sur hvg.hu

Vélo : « Critical Mass » tire sa révérence, samedi à Budapest

"Superbe journée sous le soleil en perspective à Budapest ce samedi. Le moment est historique, car ses organisateurs l'affirment : il s'agit bel et bien du dernier Critical Mass organisé à Budapest. Imaginé à la base par une poignée d'activistes pour développer des conditions de vie urbaine plus favorables aux vélos, ils ont décidé de passer à d’autres formes d’actions pour faire avancer leur cause. D'ailleurs, les BuBi - le vélib' budapestois - devraient bientôt entrer en service." La suite sur hu-lala.org

Budapest : Houellebecq invité d'honneur du Festival international du Livre

"Le romancier sollicité de toutes parts - ou bien est-ce le poète ?
L'auteur français Michel Houellebecq et l'Italie sont actuellement les deux principaux invités d'honneur du 20e Festival International du Livre de Budapest, se déroulant du 18 au 21 avril dans la capitale hongroise." La suite sur actualitte.com

Climat: front commun de six pays d'Europe centrale et orientale

"Les ministres de l'Environnement de six pays d'Europe centrale et orientale, réunis à Sobienie Krolewskie (sud de Varsovie), ont adopté vendredi une position commune sur les questions de climat/énergie qui font actuellement l'objet de difficiles discussions au sein de l'Union européenne.
Ces six pays sont ceux du groupe de Visegrad (Pologne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie) auxquels se sont joints la Bulgarie et la Roumanie." La suite sur nouvelobs.com

La Hongrie accepte sa responsabilité dans la Shoah

"Les Hongrois ont célébré leur jour du Souvenir de la Shoah le 16 avril 2013, date anniversaire du jour où, en 1944, les Juifs ont commencé à être déplacés dans des ghettos en Hongrie. La campagne de déportation des Juifs hongrois a débuté à la mi-mai 1944, et en deux mois et demi plus de 500.000 juifs ont été déportés vers les camps d'extermination, dont 440.000 juifs à Auschwitz, où chaque troisième victime était un Juif hongrois. Au total, 600.000 juifs hongrois ont été exterminés.
«La Shoah fait partie de l'histoire hongroise", a déclaré le député hongrois Zoltán Pokorni, membre de la droite au pouvoir, lors d'une cérémonie mardi 16 avril 2013 au mémorial commémoratif situé sur la promenade du Danube à Budapest. «Ceux qui ont été tués étaient des Hongrois et ceux qui ont tué étaient aussi des Hongrois," a-t-il dit." Source : crif.org

vendredi 19 avril 2013

Le prix de la liberté ? par Flora

    Parfois, on se surprend à fouiller sa mémoire, avec ou sans photos à l'appui. C'est si réconfortant de se réfugier dans un monde révolu qui ne nous réserve plus de surprises désagréables, d'événements tragiques, puisque nous le connaissons. Nous avons toute liberté de trier parmi ces vestiges, en nous réservant ceux qui nous bercent de douces réminiscences !...
   L'avenir ? Les informations anxiogènes déversées sans interruption nous font miroiter un futur peu séduisant sur lequel nous n'avons, semble-t-il, aucune prise. Entre menaces de surpopulation, de catastrophes climatiques, d'intolérances intégristes de tout poil, de guerres larvées, d'épidémies planétaires, il reste peu de place à l'enthousiasme pour cultiver notre jardinet intime...
   Ce regard anxieux date de mon arrivée dans « le monde libre », à mes vingt-six ans. Comme si j'avais été jetée hors d'un nid douillet, même peu confortable. Cela peut surprendre ceux qui n'ont pas vécu dans un régime communiste, du moins, qui n'y ont pas vécu la même chose que moi.
   En 1956, j'étais une enfant ; un peu effrayée, je n'ai pas bien saisi les événements. Les années qui précédaient, se perdent sous un voile bienveillant que les adultes jetaient sur leurs difficultés, afin de nous en préserver. Durant les années 60-70, l'étau s'est considérablement desserré, une certaine liberté de parole, sous self-control aigu, planait sur mes années d'étudiante.
  Le sort de ma famille qui ne faisait pas partie des nantis, ne pouvait que s'améliorer avec le communisme. On ne pouvait pas nous confisquer nos terres, nos usines, nos immeubles : nous n'en possédions pas... Les choses aussi élémentaires que d'aller à l'école au lieu d'être « loué à l'année» au marché, à 6 ans, aux paysans aisés, de se faire soigner gratuitement par un docteur, à la place du morceau de sucre arrosé de pétrole en cas d'angine, c'était déjà énorme ! J'ai pris connaissance de ces temps-là par les récits, profondément ancrés en moi, de mes parents ou grands-parents. Je porte en moi, pour toujours, leurs humiliations séculaires.
   Je ne fais pas partie des nostalgiques du communisme. Ce régime a commis, entre autres, le crime impardonnable du lavage des cerveaux, maintenant les gens dans l'ignorance de leur destin, comme infantilisés, leur ôtant en même temps le poids de s'en soucier. Torpeur démobilisante, risque minime. En arrivant à l'Occident, j'ai découvert une sensation que Márai exprime ainsi dans les dernières phrases de son livre "Föld, föld !" ("Mémoires de Hongrie")  : "Ebben a pillanatban - életemben először - csakugyan félelmet éreztem. Megértettem, hogy szabad vagyok. Félni kezdtem."  ("Au même moment - pour la première fois de ma vie - j'ai ressenti de la peur. J'ai compris que j'étais libre. J'ai commencé à avoir peur."  trad. R.T.)...

Flora

rozsatatar(AT)wanadoo.fr
le blog de Rozsa Tatar: http://flora.over-blog.org

Cette femme saute comme personne !

"La corde à sauter ? C'est pour les petites filles dans la cour de récréation ! Bon, à la rigueur pour faire un peu d'exercice histoire de chauffer ses jambes avant un combat de boxe ou d'escrime. Vous êtes sûr ?
Adrienn Banhegyi est en train de nous faire mentir ! Cette pro de la corde à sauter réalise une sacrée performance dans cette vidéo réalisée à Budapest, en Hongrie. La championne du monde de la discipline transforme ce petit jouet d'enfant en véritable outil de street performance. On aurait presque envie de piquer la corde à sauter de la première fillette venue !" Vidéo sur lebuzz.eurosport.fr

Constitution: la Hongrie prête à faire quelques concessions

"La Hongrie est prête à faire quelques concessions concernant la récente modification controversée de sa Constitution afin de répondre aux inquiétudes de la Commission européenne, a déclaré vendredi le Premier ministre conservateur Viktor Orban.

Sur les trois éléments soulevés par José Manuel Barroso (président de la Commission, ndlr), nous pouvons faire des concessions sur deux points, a indiqué le chef de gouvernement dans son intervention hebdomadaire à la radio nationale MR1.

Le 12 avril, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, avait fait part des graves inquiétudes soulevées à Bruxelles par le récent amendement de la nouvelle Constitution hongroise, le quatrième en l'espace de quinze mois." La suite sur romandie.com

La Hongrie viole-t-elle les valeurs de l'Union européenne ?

"Le parlement européen est divisé sur la question. "Préoccupée", la Commission analyse les derniers amendements à la Constitution hongroise avant de prendre position.
Prévu pour durer une demi-heure, le débat sur la situation constitutionnelle en Hongrie a été un peu plus long sans pour autant donner l’impression d’être consistant. Si ardente à brandir le volet droits de l’homme des fameux "critères de Copenhague" lorsqu’il est question de s’élargir à un autre Etat, l’Union européenne semble réduite à la gesticulation désordonnée lorsque l’un de ses membres s’écarte de ces critères. Car dans les faits, elle est peu armée à gérer de potentielles dérives." La suite sur lalibre.be

Hongrie : linge sale en famille

"Après la famille politique conservatrice mardi soir, la famille européenne s’est penchée hier matin, sur le cas hongrois.
La réunion de famille convoquée mardi soir autour du turbulent Viktor Orban ne s’est visiblement pas terminée dans les éclats de rires et l’assurance de passer à l’avenir de joyeux repas de fête. À la table du PPE (groupe conservateur, où siègent les élus du Fidesz de Viktor Orban avec, entre autres, de ceux de l’UMP et de la CDU), certains étaient venus avec la liste des questions sur lesquelles cuisiner le Premier ministre hongrois. Traitement des Roms et des SDF, indépendance de la justice, relations avec l’extrême droite, situation de la communauté juive, disponibilité des viandes kasher et hallal… Toute la complexité du cas hongrois déballée sur la table." La suite sur dna.fr

jeudi 18 avril 2013

Hongrie: fusion en vue de la Banque centrale et de l'organe de contrôle financier

"Le nouveau président de la Banque centrale hongroise (MNB), un proche du Premier ministre Viktor Orban, a appelé de ses voeux une intégration rapide de l'organe de supervision des institutions financières (PSZAF) dans la MNB, dans un entretien jeudi à l'agence hongroise MTI.

La MNB estime que l'intégration est une bonne idée, que nous soutenons, a déclaré György Matolcsy dans cette interview, la première accordée depuis sa prise de fonction début mars à la tête de la Banque centrale.

Mais les délais dépendent de la décision du parlement et du gouvernement, a-t-il ajouté, notant que son institution était prête pour une intégration rapide ou très rapide. Le PSZAF serait intégré au sein de la MNB et non pas le contraire, a-t-il aussi précisé." La suite sur romandie.com

L’Arménie prête à normaliser ses relations avec la Hongrie sous conditions

"L’Arménie a de nouveau posé mercredi 17 avril 2013 ses conditions pour que les relations diplomatiques avec la Hongrie soient rétablies. Les relations entre les deux pays ont en effet été gelées l’an dernier suite à la libération de l’assassin azéri, Ramil Safarov, d’une prison hongroise.
« L’Arménie est prête à normaliser les relations avec la Hongrie si celle-ci prend des mesures appropriées » , a déclaré aux journalistes à Erevan le ministre des Affaires Etrangères Edouard Nalbandian." La suite sur armenews.com

Le premier ministre hongrois critiqué par ses "amis" conservateurs à Strasbourg

"La Commission européenne envisage de suspendre le versement de presque 500 millions d'euros au gouvernement de Viktor Orban.
Viktor Orban a quitté le Parlement européen comme il était arrivé : en toute discrétion, sans conférence de presse, ni discours chahuté. Le premier ministre hongrois était auditionné, mardi 16 avril à Strasbourg, par les eurodéputés conservateurs, ses alliés politiques. Une réunion dont le huis clos ne masque plus les divergences et les critiques de la droite européenne au sujet du chef du gouvernement hongrois, trois ans après son écrasante victoire électorale.
Certes, mardi, les élus de la droite italienne, roumaine, ou bulgare n'ont pas hésité à prendre la défense de M. Orban contre la "campagne" dont il serait victime dans la presse. En fin de séance, le Français Joseph Daul, président du Parti populaire européen, a même mis en cause "tous ces journalistes qui n'ont rien d'autre à faire que de ne nous embêter toute la journée"." La suite sur lemonde.fr

La Hongrie embarrasse l'Europe avec sa révision constitutionnelle

"Les européens sont décidément bien embarrassés face à la Hongrie. Le gouvernement de centre droit a lancé une 4ème révision de la constitution hongroise et certaines de ses mesures provoquent la polémique.
Elles seraient contraires aux valeurs de l'union européenne et à l'état de droit.
Ce matin, le parlement européen en a débattu, et une partie des députés ne digère toujours pas les changements constitutionnels hongrois: criminalisation des sans abri, définition très limitée de la famille, mais aussi rôle moins important pour la cour constitutionnelle, pour ne citer que quelques exemples." La suite sur rtbf.be

mercredi 17 avril 2013

Hongrie: Viktor Orbán, un nouveau de Gaulle? Vous voulez rire !

Par Pierre Waline
"Vu sa grande taille, je suppose que le général de Gaulle doit avoir bien du mal à se retourner dans sa tombe. Et pourtant, il y aurait de quoi. Un journaliste français vient de lui comparer Viktor Orbán, chef du gouvernement hongrois. Déjà, rien que par la taille,  la différence me semble énorme, mais je pense ici surtout à la taille „morale”. Un nain face à un géant....
Un parallèle que l’auteur dudit papier établit par exemple entre le parcours des deux hommes dans la résistance...  Comparaison démesurée, voire outrancière, pour ne pas dire ridicule... Pour de Gaulle, inutile de rappeler le contexte de juin 40, ni de retracer une histoire des mouvements de la Résistance. Pour le „résistant” Orbán, sachons juste que, s’il eut certes le courage de tenir en juin 1989 un discours enflammé contre l’occupant soviétique - il avait 26 ans – je doute fort, malgré tous ses mérites, que Gorbatchev en fût autrement intimidé. Mais une comparaison surtout choquante quand on sait que Viktor Orbán participe ouvertement à la réhabilitation de l’amiral Horthy alors que de Gaulle, lui, se vit condamné à mort par le régime de Pétain ... Horthy dont il serait superflu de rappeler ici les vertus. Sans compter la réhabilitation d’écrivains nazi, tel József Nyírő, par son fidèle ami László Kövér, pésident de l’Assembleé nationale..." La suite sur francianyelv.hu

La posture gaullienne de Viktor Orban

"Tout au long du XXe siècle, la Hongrie a été un laboratoire des bouleversements du continent européen ; du démantèlement de l'Empire austro-hongrois après la première guerre mondiale à la révolution de 1956 contre l'occupation soviétique, en passant par les premières élections libres dans le bloc de l'Est, en avril 1990, les Magyars ont souvent été les précurseurs des grands changements à venir.
Viktor Orban s'inscrit dans cette tradition de rupture. Encore étudiant, il avait été le premier à oser réclamer publiquement, en 1989, le départ de l'Armée rouge et l'organisation d'élections démocratiques. Depuis son retour au pouvoir, il y a trois ans, Viktor Orban incarne à nouveau la volonté d'un changement radical." La suite sur lemonde.fr

Pauvreté en Europe : "En Hongrie, on emprisonne les SDF"

"La criminalisation des sans-abri augmente partout en Europe, alertent les associations d’aide aux sans-abri qui lance une campagne "la pauvreté n’est pas un crime".
La seule main tendue aux 400 000 sans-domicile recensés en Europe est souvent celle d’un policier. Avec pour seule intention, souvent, de les chasser vers un autre trottoir, une autre parcelle de macadam, un autre porche ou une autre sortie de garage. N’importe où pourvu que l’on ne voit plus la misère de notre monde. Une triste réalité dévoilée par le clip de la campagne européenne « la Pauvreté n’est pas un crime », relayée depuis une semaine en France par le mouvement Emmaüs." La suite sur humanite.fr

Hongrie: le modèle économique européen "n'est pas tenable"

"Le modèle économique et social européen "n'est pas tenable" a estimé le Premier ministre conservateur hongrois, Viktor Orban, dans un entretien diffusé mardi, où il défend la politique non conventionnelle menée par son gouvernement.
"Le modèle économique et social actuel n'est pas tenable. Chez nous en Hongrie, ce modèle n'a jamais réellement fonctionné. La crise nous a touchés alors que nous étions en train de mettre en place le modèle occidental de l'Etat-Providence", a-t-il expliqué dans cette interview au quotidien autrichien Kurier. "C'est pourquoi nous devons trouver nos propres réponses", a-t-il ajouté." La suite sur levif.be 

Un été de folie sur l’Île de la Liberté avec le plus grand DJ !


Nouveauté 2013 : Le Sziget devient plus que jamais l‘île de la Liberté !  « Une semaine non-stop de fun ensemble dans un endroit où tout est possible et rien n’est obligatoire. »
  • Une Plage sera à ta disposition avec une décoration rappelant les full-moon parties ; une grande roue te permettra d’admirer les concerts de la Grande Scène à 60 mètres de hauteur.
  • Le Colosseum sera le théâtre de la nouvelle Color Party où tu pourras te baigner dans une orgie de poudres colorées.
  • Envie de t’éclater dans une discothèque en plein milieu de la forêt? Le Disco Park et le Freak Park éclaireront la nature avec lumières d’ambiance, stroboscopes et machines à fumée.
  • Besoin de sensations fortes ? Le thème du Parc d’Attraction d’Europe de l’Est sera le monde hippie des années 60-70.
  • Amateur de haute voltige et d’acrobaties spectaculaires? Les membres hongrois du Cirque du Sziget se produiront avec la troupe du Cirque du Soleil.
  • Les troupes de Théâtre de Rue viendront jouer pour toi des contrées Maoris, de l’Inde à la Grande Muraille de Chine et de différents pays européens.
Le point d’orgue de l’édition à venir sera le Show Final. Viens assister au dernier concert de cette semaine de folie qui sera animé par un splendide feu d’artifice accompagné de lasers et d’effets spéciaux sur fond de musique électro mixée par le plus grand DJ-producteur, David Guetta.
La boutique en ligne offre ses derniers tickets à prix réduits ! Rends-toi vite sur www.szigetfestival.fr !


mardi 16 avril 2013

Eva HEYMAN J’ai vécu si peu, Journal du ghetto d’Oradea

Traduit du hongrois par Jean Léon Muller
LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE
En librairie le 15 mai 2013

Eva Heyman est née en 1931 à Oradea, en Transylvanie (la Roumanie actuelle, la Hongrie à l’époque). Issue d’une famille juive bourgeoise où la langue hongroise est maintenue, ses parents divorcent lorsqu’elle est très jeune, elle est confiée à ses grands-parents maternels et à sa gouvernante autrichienne. Son père était architecte ; sa mère, Agi, personnage central du journal, s’est remariée avec l’écrivain hongrois Bela Zsolt et a déménagé à Budapest. C’est elle qui publiera en 1948 pour la première fois en Hongrie le Journal de sa fille juste avant de se suicider.
Eva Heyman est l’Anne Frank transylvaine : toutes deux adolescentes juives auxquelles a survécu un journal tenu sous l’occupation nazie, toutes deux mortes en camp d'extermination, Eva à Auschwitz et Anne à Bergen-Belsen.
Eva commence son journal le 13 février 1944, jour de ses treize ans et l’interrompt le 30 mai, déportée, elle arrive à Auschwitz le 6 juin, et y mourra gazée le 17 octobre de la même année. Son journal a été sorti en cachette du ghetto d’Oradea par Mariska, la cuisinière de la famille qui le remettra à la mère d’Eva.
Le « petit journal », comme Eva aimait l’appeler, est le récit d’une adolescente intelligente qui saisit avec justesse la réalité de son époque aussi bien que ses premiers émois. Et il relate surtout en un laps de temps très court les mesures antijuives prises sous l’administration hongroise jusqu’à l’instauration du ghetto d’Oradea, considéré comme le plus grand ghetto du nord-ouest de la Transylvanie dans lequel tous les juifs de la ville avaient été rassemblés dès le mois de mai 1944. C’est un témoignage poignant sur la vie des juifs d’Oradea mais également de Transylvanie du Nord qui étaient avant 1940 la troisième plus grande minorité de Roumanie.
Voilà ce que l’on trouve dans les dernières phrases du Journal :
« Mais je ne veux pas mourir mon petit Journal ! Je veux vivre, même si je dois être la seule à rester ici ! Je me cacherai dans une cave, un grenier ou n’importe quel trou jusqu’à la fin de la guerre. Je me laisserai même embrasser par le gendarme qui louche, celui qui nous a pris la farine, pourvu qu’il ne me tue pas, qu’il me laisse vivre ! »
Le Journal d’Eva Heyman est paru en hongrois en 1948, en hébreu en 1964, en anglais en 1974 et en roumain en 1991.
220 pages / 16€
Code Sodis : 71 11 110 ISBN : 978 2 94 05 23 009

L’homme qui a changé Shanghai de Ladislav Kaboš Cinéma 24 avril à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Information : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

2010, ’68 version anglaise, en présence du réalisateur
Le documentaire tourné pour la télévision publique slovaque retrace la vie et l’œuvre de Ladislav/László Hudec à travers un voyage extraordinaire. Les enfants de l’architecte retournent à Shanghai soixante-trois ans après avoir quitté les lieux. Ils replongent dans les turbulences du siècle et dans leur propre passé.
Entrée libre

Orban et la Hongrie : le re-re-re-retour

« Alkotmánymódosítások » : ce mot-là, les interprètes hongrois du Parlement européen ont tout intérêt à l’avoir bien en bouche cette semaine. « Alkotmánymódosítások », pour « amendements constitutionnels ». Car ceux adoptés par le Parlement hongrois le mois dernier vont être au cœur de la session du Parlement européen cette semaine à Strasbourg. Les précédents amendements du genre avaient déjà fait l’objet de pas moins de trois débats très houleux au Parlement." la suite sur bienpublic.com

Le premier ministre hongrois à Bilbao ce lundi soir

"Viktor Orban, qui défend le souverainisme, donne une conférence ce soir à 19 h 30
Viktor Orban donnera, ce lundi soir à 19 h 30 au Palacio Euskalduna de Bilbao, une conférence sur le thème « une politique basée sur des valeurs chrétiennes, fondement pour la régénération de l’Europe ».
Le premier ministre hongrois intervient dans le cadre des VIII Journées catholiques et de la vie publique. Économiquement à gauche mais culturellement à droite, Viktor Orban échappe aux clivages politiques traditionnels. Son vrai credo est le souverainisme. Sans doute fera-t-il des émules à Bilbao." Source : sudouest.fr

Budapest: un théâtre Erkel re-né de ses cendres...

Par Pierre Waline
"Invité par une amie chanteuse qui s’y produisait (*), je viens de „redécouvrir” le théâtre Erkel de Budapest. Théâtre dont, à vrai dire, je ne gardais pas un souvenir folichon, souvenir qui remonte au début des années 70... Pour le coup, je dois dire que j’ai été plutôt séduit.
A commencer par l’acoustique et la visibilité. Assis tout en haut, au fond de la salle, j’entendais parfaitement le moindre son et jouissais d’une excellente vue sur l’ensemble de la scène. Seul reproche: la taille limitée des sur-titres hongrois: écran bien trop petit qui en rend la lecture fatigante. Voyez le Palais des Arts où le problème a été résolu par la multiplication des écrans." La suite sur francianyelv.hu

Coopération sportive Vietnam-Hongrie

"Le Vietnam et la Hongrie ont signé des conventions de coopération importantes dans le sport, notamment en ce qui concerne la formation des jeunes footballeurs et l'entraînement de l'équipe nationale de football." La suite sur vietnamplus.vn

Cette semaine au Parlement [européen]: réforme bancaire, permis CO2, BCE, Chypre et Hongrie

"Les députés voteront cette semaine en session plénière une proposition limitant les bonus des banquiers, ainsi que le mandat de la Banque centrale européenne. Ils examineront également la situation constitutionnelle en Hongrie et interrogeront la Commission européenne et la Présidence irlandaise sur la gestion du sauvetage de Chypre. Ils mettront un point final à la saga du système de quotas d'émissions de CO2 et voteront la décharge des budgets 2011 des organes de l'UE." La suite sur europarl.europa.eu

L’UE menace de poursuivre la Hongrie pour sa constitution

"La Commission européenne envisage d’entreprendre une action en justice contre la Hongrie pour les amendements apportés à la constitution hongroise, a déclaré l’exécutif européen. D’aucuns se demandent si les changements étaient compatibles avec la législation de l’UE." La suite en anglais sur euractiv.com

samedi 13 avril 2013

Alexandre Hollan - Grande exposition de Chambord

"Jusqu'au 1er septembre, le château de Chambord accueille sur 700 m2 une centaine d'oeuvres d'Alexandre Hollan. Cet artiste originaire de Hongrie ayant quitté Budapest en 1956 suite à la répression soviétique,  voit le XXIe siècle lui sourire. L'exposition de Chambord est la plus grande lui ayant été consacrée à ce jour." Voir la vidéo sur lanouvellerepublique.fr

Constitution hongroise : Bruxelles presse Budapest de répondre à ses inquiétudes

"BRUXELLES - Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a écrit vendredi au Premier ministre hongrois Viktor Orban pour souligner à nouveau les graves inquiétudes soulevées à Bruxelles par la dernière modification de la Constitution hongroise, le pressant d'y répondre sans ambiguïté.

Viktor Orban a réagi dans la foulée, en annonçant qu'il prêtera la plus grande attention aux critiques exprimées par Bruxelles, dans une lettre envoyée vendredi." La suite sur romandie.com

Les particularités de la fiction centre-européenne à la fin du XXe siècle ont-elles fait évoluer la forme du roman ? par Sophie Képès à Toulouse le 14 mai

Dans le cadre de la Semaine de l'Europe, l'Association Franco-Hongroise de Midi-Pyrénées avec la Mairie de Toulouse, organisent une conférence sur la littérature centre-européenne le Mardi 14 mai à 18h30, au Centre Culturel Bellegarde, à Toulouse.
Sophie Képès, écrivain, traductrice, chargée de cours à la Sorbonne Nouvelle, et spécialisée dans les littératures d'Europe centrale et balkanique, posera la question:
"Les particularités de la fiction centre-européenne à la fin du XXe siècle ont-elles fait évoluer la forme du roman ?"
 Pour y répondre, elle s'appuiera sur des auteurs polonais, tchèques, yougoslaves, estoniens, hongrois, comme Hanna Krall, Mariusz Szczygiel, Bohumil Hrabal, Milan Kundera, Danilo Kis, Arvo Valton, Péter Esterházy, Péter Nádas, etc.
L'année dernière, à partir de son expérience de traductrice d'écrivains hongrois, Sophie Képès avait captivé son auditoire sur le thème: "Ecrire/traduire, le même métier ?". Cette année, elle montrera l'apport des auteurs d'Europe Centrale à la création littéraire, avec leurs traits inventifs et innovants.

Yvette

Le Petit roi et autres contes

Programme de 5 courts-métrages dès 5/6 ans
(Hongrie)
Genre : Animation - Durée : 0H41 mn
Distributeur : Cinéma Public Films
Sortie en salles le 10 Avril 2013
Film à partir de 4/6 ans
 

Résumé du film Le Petit roi et autres contes

Laissez-vous guider par le plus petit des hommes devenu Roi !
Voici un petit tour d’horizon des contes et légendes de Hongrie, remplis de mystère, d’ensorcèlement, de ruse, de courage et de bien d’autres histoires magiques…

Le Château Maudit de Lajos Nagy
Il était une fois... un merveilleux château, aussi grand que beau ! Un jour, le roi décide de le vendre à une jeune femme. Dès la première nuit passée dans ce palais, celle-ci rencontre un mystérieux chat noir... mais qui est-il donc ?

Le Joueur de flûte de Lajos Nagy
Le royaume est inconsolable : la jeune princesse est malade, et aucun médecin n’arrive à trouver un remède pour la soigner ! Le Roi offrira la main de sa fille à la personne qui y parviendra.
Un jeune berger va tenter sa chance, à l’aide de sa flûte et de son agneau aux pouvoirs magiques.

Le Petit Roi de Lajos Nagy
Une princesse inconsolable, ne cesse de pleurer, car elle est boiteuse... Le Roi offre la moitié de son royaume à celui qui la guérira de son handicap.
Le petit Janko se présente alors pour accomplir cette merveilleuse.

Le Veau D'Or de Lajos Nagy
Un Roi bien décidé à marier ses enfants envoie sa fille et son fils sur les routes du royaume à la recherche de leurs bien-aimés.
Le chemin est long et semé d’embûches... réussiront-ils, l’un comme l’autre, à trouver l’amour ?

Les Trois Frères de Maria Horvath
Trois jeunes hommes se voient confier des tâches par leur père qui souhaite les voir devenir indépendants.
Martin, contrairement à ses deux aînés, va recevoir le soutien surprenant... d’une grenouille !

La Hongrie, terre de vignobles et d’histoire

"Grand pays historique d’Europe, la Hongrie attire de plus en plus pour la qualité de ses vins mais aussi pour le Saint-Georges, hôtel de luxe à Budapest construit dans une bâtisse du Moyen-âge.

La Hongrie, nouveau berceau de l’oenotourisme

Pour en savoir plus sur la Hongrie, rendez-vous sur le site de Peplum.com.
Bordeaux, Bourgogne, Saint-Émilion, Châblis, Médoc... Les Français ont parfois du mal à sortir de leurs terroirs viticoles. Et pourtant, la Hongrie est un territoire viticole à découvrir, notamment pour son fameux Tokaj, un blanc liquoreux de renommée internationale. Qui l'eût cru ? Les vignobles hongrois occupent près de 140 000 hectares du pays. En route pour Budapest ! C'est l'heure de trinquer." La suite sur atlantico.fr

La Chine d’hier par Ergy Landau du 18 avril au 8 juin 2013 à Institut hongrois

Vernissage le jeudi 18 avril à 19h à l'Institut hongrois
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
 
Discours inaugural prononcé par Virág Böröczfy, historienne de l'art.
Ergy Landau, photographe d’origine hongroise quitte la Hongrie en 1923 et s’installe à Paris où elle crée le « Studio Landau ». Elle est connue surtout pour ses nombreux portraits réalisés, entre autres, à Budapest, Berlin, Vienne et Paris ainsi que pour ses magnifiques nus qui témoignent d’une sensibilité particulière pour la représentation du corps féminin. Elle a photographié Bourdelle, Thomas Mann, Paul Valéry et c’est Marcel Aymé qui a préfacé son livre « Enfants ».
En 1954, à l’âge de 58 ans, Ergy Landau part en Chine, accompagnée entre autres de Pierre Gascar pour réaliser une série de photos illustrant la vie quotidienne de la Chine à cette époque. L’ouvrage intitulé Aujourd’hui la Chine contient les photos qu’elle a réalisées pendant ce voyage. Cette exposition s’attache à exprimer, à partir d’une sélection de clichés depuis lors jamais exposés, ce qu’elle a vu et ce qu’elle a pu voir de cette Chine lointaine, non seulement dans l’espace mais aussi dans le temps.
Commissaire de l’exposition : Éva Fisli (muséologue-historienne, commissaire du Musée National Hongrois de Budapest)
Entrée libre

La Hongrie sous l'ère Orbán

"La politique menée par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán ne fait pas l'unanimité en Europe. Depuis sa victoire aux élections législatives d'avril 2010, le parti conservateur au pouvoir semble prendre le contrepied des valeurs européennes affirmées à l'article 2 du traité de Lisbonne. D'un discours populiste aux récentes réformes constitutionnelles controversées, gros plan sur un gouvernement qui suscite l'inquiétude de ses partenaires européens." La suite sur touteleurope.eu

vendredi 12 avril 2013

Un Roumain battu à mort par des policiers hongrois, Bucarest veut des explications

"Un ressortissant roumain a été tabassé à mort par des policiers hongrois. Cela s’est passé lundi dernier, dans ce commissariat situé à Izsak dans le sud-est de la Hongrie. Et depuis, l’affaire envenime les relations entre Budapest et Bucarest. Les autorités roumaines demandent en effet des explications sur ce qui s’est réellement passé et exigent que les coupables soient punis." La suite sur euronews.com

Viviane Reding : “Le bulldog de l’Europe”

"Heti Válasz
L'hebdomadaire proche du gouvernement de Viktor Orbán consacre sa une à Viviane Reding, la commissaire européenne à la Justice, aux Droits fondamentaux et à la Citoyenneté.
Le magazine assure que la vice-présidente de la Commission incarne "un nouveau type d’identité européenne", car elle vient du Luxembourg, "pays postmoderne", établi par la France et l’Allemagne et "peuplé à 38% d’étrangers, principalement d’Europe du Sud"." La suite sur presseurop.eu

jeudi 11 avril 2013

Football hongrois: Viktor Orban à la pêche aux supporteurs-électeurs

"Dans une Hongrie frappée par la crise économique et des coupes budgétaires importantes, le Premier ministre conservateur Viktor Orban redouble d'efforts à coups de millions d'euros pour que son pays renoue avec la gloire d'antan de son football, comptant s'attirer ainsi les faveurs de supporteurs-électeurs dans la perspective des élections législatives en 2014.
Ainsi, le vétuste stade Albert-Florian de Budapest, vieux de 39 ans, accueillait 16.000 spectateurs à la mi-mars pour le dernier derby de la capitale dans cette enceinte, le gouvernement ayant décidé de le raser et de construire un stade flambant neuf de 22.000 places. Livraison prévue pour fin 2014." La suite sur eurosport.fr

ATEM : une danse macabre de Josef Nadj

"En Allemand, le mot « souffle » se dit « Atem ». Deux petites syllabes aux sonorités antinomiques, à la fois ouvertes et fermées, puissantes et vulnérables, comme le personnage bipolaire magistralement interprété par la danseuse Anne-Sophie Lancelin dans la nouvelle création de Josef Nadj. La chorégraphie de Nadj se déroule à huis clos dans une pièce noire et sourde comme une tombe. Un pas de deux désarticulé vient y prendre place progressivement : une femme git au sol aux côtés d’un homme sans tête. Silence. Lenteur. Suffocation. Puis chacun se lance subtilement dans une variation glauque et singulière alternant des contorsions et des tremblements d’où émane une évidente douleur." La suite sur bscnews.fr

Voir aussi culturopoing.com

Bruxelles ne cède pas aux sirènes des anti-austérité

"Avis de tempête : drapeau rouge pour l'Espagne et la Slovénie. Drapeau orange pour la France, l'Italie et la Hongrie.
Devinette : sachant que quatre pays (Grèce, Irlande, Portugal, Chypre) sont sous assistance respiratoire, que deux autres sont en salle d'urgence (Espagne et Slovénie) et que onze autres présentent des déséquilibres macroéconomiques inquiétants, l'Europe a-t-elle des chances de renouer avec la croissance ? " La suite sur lesechos.fr

Volés à Condom dans le Gers, les 6 tracteurs ont été retrouvés... en Hongrie !

"C'est un vol particulièrement audacieux qui avait défrayé la chronique : 6 tracteurs neufs de marque John Deere avaient été dérobés en mars à la concession de Condom dans le Gers. Ils viennent d'être retrouvés en Hongrie. Il faut maintenant les rapatrier dans le Gers.
La police hongroise a mis la main sur une filière très organisée de trafic de... tracteurs. Et parmi les pièces recelées retrouvées par les enquêteurs, les 6 tracteurs John Deere volés en mars à Condom dans le Gers et d'une valeur de 60.000 euros pièce !" La suite sur france3.fr

mercredi 10 avril 2013

Hongrie: l'assassin présumé d'un créateur de mode en détention

"La police hongroise a annoncé mercredi avoir incarcéré le meurtrier présumé du créateur de mode Tamas Kiraly, retrouvé mort dimanche dans son appartement à Budapest.
"Le suspect (...) a été arrêté mercredi matin, à Ozd (180 km à l'est de Budapest)", a précisé la police de Budapest sur son site officiel." La suite sur tv5.org

Zsuzsanna Varkonyi - le vendredi 26 avril 2013 à 20 h 45 - Musique au comptoir

Zsuzsanna Varkonyi- chant, accordéon
Csaba Palotai-guitare
Fred Norel-violon
Arnault Cuisiner-contrebasse 


Musique au Comptoir
Halle Roublot
95, rue Roublot
94120 Fontenay-sous-Bois

01 48 75 64 31 // 06 71 26 00 95

CARNET DE VOYAGE

musique du monde

Zsuzsanna Vàrkonyi est une femme de scène, personnage emblématique, elle est de celles qui nous ravissent et nous captivent ! Sur le fil de son voyage, les chants traditionnels de ses origines se fondent à ses propres textes et compositions. Répertoire singulier qui mêle ses racines hongroises à la tradition yiddish et tzigane… Ecrites et interprétées en hongrois, rom, français ou anglais, ses chansons nous entraînent dans un univers de blues d'Europe de l'Est. À la mélancolie tzigane se mêlent des sonorités plus pop ou plus rock, d'où surgissent la fête et l'humour.

Entourée de ses compagnons de route, le contrebassiste Arnault Cuisinier, habitué et apprécié du Comptoir, le virtuose violoniste Fred Norel et le guitariste jazzman hongrois Csaba Palotaï, Zsuzsanna nous entraîne dans son univers totalement envoûtant.

page web: www.gabbiano.fr

L'homme qui a bâti Shanghai L. E. Hudec et son époque Exposition 18 avril - 8 juin 2013 Institut hongrois

Vernissage : 18 avril à 19h Institut hongrois
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Les premières tentatives de Shanghai pour devenir une métropole remontent aux années trente du siècle dernier. Les deux éléments clés de la ville datant de cette époque, l’hôtel Park (1931-1934), premier gratte-ciel d’Asie, et le Grand Théâtre, qui héberge un cinéma et une salle de concert climatisés d’une capacité d’accueil de 2500 personnes, ont été dessinés par un architecte originaire du Royaume de Hongrie, László (ou en slovaque, Ladislav) Hudec (1893, Besztercebánya/Banská Bystrica, aujourd’hui en Slovaquie – 1958, Berkeley, États-Unis). Hudec était l’un des architectes les plus renommés de Shanghai ; il est à l’origine d’une soixantaine d’édifices dont la plupart sont toujours en place. Le secret de son succès était sa capacité à satisfaire les exigences les plus diverses : il utilisait les styles historiques avec une grande ingéniosité tout en maîtrisant les tendances architecturales les plus modernes. Notre exposition montrera la clé de son succès, le sort de ses bâtiments à travers les photos d’un photographe hongrois, Ábel Szalontai. Grâce à des logiciels spécialement conçus pour cette exposition, le spectateur pourra plonger dans la vie de Hudec et visiter virtuellement les immeubles.
Commissaire de l’exposition : Virág Csejdy (historienne de l’art) Fondation culturelle Hudec
Entrée libre