"La critique de Pariscope (
Marie
Plantin )
Dans la dernière
création du chorégraphe Josef Nadj, présentée l’été dernier au Festival
d’Avignon, l’espace scénique est une boite noire. Un cube opaque éclairé
par les bougies d’un candélabre suspendu depuis son plafond. Première
radicalité de ce spectacle obscur dans tous les sens du terme,
s’adressant à une jauge réduite de spectateurs (une soixantaine de
personnes) pour mieux nous concentrer dans son axe, nous rassembler
autour, happer nos regards et notre attention en une convergence
ramassée et partant, intensifiée par la proximité et l’intimité ainsi
générée. « ATEM le souffle » est l’œuvre énigmatique et incandescente
d’un artiste aguerri qui n’a plus rien à prouver et en jouit pleinement,
éminemment libre dans sa démarche créatrice, maîtrisant sa discipline
avec un savoir-faire doublé d’un talent indéniable, creusant
inlassablement le sillon de ses obsessions. Josef Nadj a toujours été
inspiré et il l’est encore." La suite sur premiere.fr
vendredi 5 avril 2013
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