"La crise touche même "l’enveloppe", c'est-à-dire le dessous-de-table payé aux médecins, une coutume très répandue en Hongrie.
Ces petites pratiques de corruption, devenues des faits de la vie
quotidienne, semblent bien naturelles à la majorité des praticiens, qui
les considèrent comme des “rémunérations complémentaires” à des salaires très faibles." La suite sur presseurop.eu
jeudi 4 avril 2013
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