"L’un était membre du gouvernement Orbán, le deuxième, élu de son parti populiste, le troisième, inspecteur des impôts : ils ont vu le régime détourner des fonds ou terroriser les fonctionnaires. Candidats aux législatives du 6 avril, ils tentent de secouer l’apathie nationale.
Ils sont les hérauts d’une morale perdue, les trois mousquetaires qui ont osé dire «non» à la corruption du régime de Viktor Orbán. L’un était membre de son gouvernement, l’autre fonctionnaire, le troisième conseiller municipal de son parti, le Fidesz (droite populiste et nationaliste). Tous trois ont découvert les abus d’un système dont ils étaient pourtant des rouages, les ont révélés, ont payé le prix de leur intégrité et ont décidé de continuer le combat. Sans craindre la solitude, ils sont bravement partis en campagne pour les législatives que le Fidesz a de fortes chances de ..." La suite sur liberation.fr version payante
vendredi 4 avril 2014
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