"Les huit premiers chapitres de mon exploration de la littérature hongroise m’ont permis de lire une série d’auteurs certes divers, mais au final peut-être représentatifs de seulement un pan de la population de la Hongrie : celui où l’on naît et on grandit en parlant hongrois sans jamais vraiment être stigmatisé pour des raisons de langage, de religion ou de « race ».
Le personnage et les origines de Menyhért Lakatos ne font que rendre plus visible cette relative conventionnalité de ces huit premiers écrivains. Il est en effet (avec Béla Osztojkán), l’un des rares écrivains d’origine tzigane en Hongrie, et c’est en grande partie le monde tzigane d’avant la première guerre mondiale, monde où il est né, qu’il décrit dans Couleur de fumée." La suite sur passagealest.wordpress.com
dimanche 28 septembre 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.