« J’ai découvert le style, la langue d’un auteur grâce à Victor Hugo. »
Le grand prix de traduction de la ville d’Arles vous a été attribué pour votre traduction du roman de Szilárd Borbély, La Miséricorde des cœurs (Christian Bourgois, 2015). Quel était votre premier sentiment en apprenant la nouvelle ?
Une très grande joie. C’est une consécration. Surtout parce que ce prix a
été attribué par mes pairs, les traducteurs de l’ATLAS [Association
pour la promotion de la traduction littéraire]. À l’occasion de la
remise du prix, j’ai appris qu’il y avait vingt livres en lice au
premier tour, qu’il y en avait trois au second et que le jury m’a
accordé le prix à l’unanimité. Cela m’a beaucoup touchée. J’espère que
ce prix m’aidera à convaincre des éditeurs à publier les livres que je
leur propose. Certains éditeurs, comme Dominique Bourgois, comptent
beaucoup sur les traducteurs dans le choix des ouvrages. C’était le cas
pour le livre d’Esterházy, Voyage au bout des seize mètres [Christian Bourgois, 2008]." La suite sur litteraturehongroise.fr
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