"Etudiant au Conservatoire, Pierre Boulez pastichait déjà Bartók. Cinquante ans après, le chef louait toujours un compositeur qui avait su allier l'inspiration folklorique à une rigueur musicale digne de Beethoven.
A l’occasion du décès de Pierre Boulez, nous republions cet entretien paru dans Télérama en juin 2001.
« Li-bé-rez la gamme ! » Pareil cri de guerre rassemble les
compositeurs majeurs au début du XXe siècle, ceux qui jettent le vieux
corset du mode majeur et du mode mineur par-dessus les pupitres… Les
plus radicaux choisissent la manière viennoise, en trois temps nommés
Berg, Webern, Schönberg, qui élaborent un nouveau langage atonal à base
de séries mathématiques : la musique sérielle.
D'autres, tel le Hongrois Béla Bartók (1881-1945), font leur miel de l'histoire de la musique en mouvement, ne rejettent rien, mais tentent de se ressourcer à la «
musique paysanne, simple, souvent brute mais jamais stupide, qui
constitue un point de départ idéal pour une renaissance musicale »." La suite sur telerama.fr
jeudi 7 janvier 2016
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