"Marton Ugrosdy, un politologue hongrois, analyse le fossé grandissant entre le groupe de Visegrad dont les positions conservatrices sont souvent en opposition avec les grandes capitales européennes.
Lors du sommet Union européenne-Turquie le 7 mars à Bruxelles, le
premier ministre hongrois Viktor Orban a de nouveau fait parler de lui.
Il a menacé le projet d’accord de veto, plus particulièrement sur la
question de réinstallation des réfugiés syriens en Europe. Spécialiste
des relations internationales, fervent partisan de la construction
européenne et chercheur à l’Institute of Foreign Affairs and Trade,
Marton Ugrosdy explique que les Etats de Visegrad (Hongrie, République
tchèque, Pologne et Slovaquie) veulent faire entendre leur voix
dissonante à Bruxelles." La suite sur letemps.ch
jeudi 10 mars 2016
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.