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samedi 12 janvier 2019
L’œuvre du mois : Le Garde de Saint Jean d’Aumières d’Alexandre Hollan
Asile et migration - La Hongrie va relâcher un Syrien emprisonné en 2015 après des heurts à la frontière
(Belga) La justice hongroise a annoncé vendredi qu'elle allait relâcher
un Syrien emprisonné pour son rôle dans des violences entre migrants et
police à la frontière avec la Serbie lors de la crise migratoire de
2015, et dont le cas avait suscité de nombreuses critiques.
Ahmed Hamed, qui purge une peine de cinq ans de prison, va bénéficier le 19 janvier d'une libération conditionnelle et sera expulsé du pays, a indiqué un porte-parole du tribunal de la ville de Nyiregyhaza, dans l'est du pays, à l'agence hongroise MTI. Il avait été accusé d'avoir utilisé un mégaphone pour organiser les violences et les jets de pierres contre la police hongroise qui venait de fermer la frontière avec la Serbie en septembre 2015, bloquant des centaines de migrants sur la route vers le nord de l'Europe. Une quinzaine de policiers avait été blessés ainsi que plus de 100 migrants qui avaient tenté de forcer la clôture barrant la frontière à Röszke (sud)." La suite sur rtl.be
Ahmed Hamed, qui purge une peine de cinq ans de prison, va bénéficier le 19 janvier d'une libération conditionnelle et sera expulsé du pays, a indiqué un porte-parole du tribunal de la ville de Nyiregyhaza, dans l'est du pays, à l'agence hongroise MTI. Il avait été accusé d'avoir utilisé un mégaphone pour organiser les violences et les jets de pierres contre la police hongroise qui venait de fermer la frontière avec la Serbie en septembre 2015, bloquant des centaines de migrants sur la route vers le nord de l'Europe. Une quinzaine de policiers avait été blessés ainsi que plus de 100 migrants qui avaient tenté de forcer la clôture barrant la frontière à Röszke (sud)." La suite sur rtl.be
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Serbie-Hongrie : quand la rue défie le pouvoir
"De vastes mouvements de contestation secouent la Hongrie et la Serbie depuis plus d’un mois. À Budapest, des milliers de manifestants battent le pavé chaque semaine contre une série de lois adoptées par le Parlement. À Belgrade, le mouvement a été déclenché par l’agression d’un membre de l’opposition. Les manifestants dénoncent la dérive autoritaire de leurs dirigeants, qui bénéficient du soutien de plusieurs États membres de l’UE.
Un phénomène “gilets jaunes” ?
Quatre cents kilomètres séparent Belgrade de Budapest. Malgré le froid hivernal et la présence des forces de l’ordre, des milliers de manifestants de tous âges et de tous bords politiques défilent pacifiquement dans les rues des deux capitales. Les premiers rassemblements ont eu lieu mi-décembre. Depuis, ils se répètent chaque semaine. “Comme pour les gilets jaunes en France, les manifestants investissent la rue durablement car ils n’obtiennent pas de réponse de la part de leur gouvernement”, analyse Jacques Rupnik, politologue spécialiste de l’Europe de l’Est." La suite sur arte.tv
Un phénomène “gilets jaunes” ?
Quatre cents kilomètres séparent Belgrade de Budapest. Malgré le froid hivernal et la présence des forces de l’ordre, des milliers de manifestants de tous âges et de tous bords politiques défilent pacifiquement dans les rues des deux capitales. Les premiers rassemblements ont eu lieu mi-décembre. Depuis, ils se répètent chaque semaine. “Comme pour les gilets jaunes en France, les manifestants investissent la rue durablement car ils n’obtiennent pas de réponse de la part de leur gouvernement”, analyse Jacques Rupnik, politologue spécialiste de l’Europe de l’Est." La suite sur arte.tv
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L'élection du Parlement européen: le plus gros enjeu de tous les temps, selon le ministre hongrois des Affaires Étrangères
"L'enjeu de l'élection du Parlement
européen, prévue en mai, est très élevé, a déclaré vendredi à Budapest
Peter Szijjarto, ministre hongrois des Affaires étrangères et du
Commerce.
"Aucune élection du
Parlement européen n'a jamais affiché un enjeu aussi élevé que celle
organisée cette année", a assuré M. Szijjarto à la radio publique
hongroise MR1. Il a ajouté qu'il s'attend à un fort taux de
participation.
"L'immigration est
clairement au centre des attentions, car elle reste le défi historique
le plus dangereux auquel l'UE doit faire face", a souligné M. Szijjarto.
"Les
citoyens européens peuvent utiliser les élections du Parlement européen
pour exprimer leur opinion quant à l'opportunité à donner aux forces
pro-immigration ou anti-immigration pour façonner le futur de l'Europe",
a-t-il expliqué." La suite sur china.org.cn
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Pour le Jobbik, mieux vaut la gauche qu’Orbán
"Le parti qui ne veut plus être d'extrême-droite et la gauche
continuent de se rapprocher en vue d'un front commun contre Viktor Orbán
qu'ils accusent d'être un autocrate.
Le premier parti d'opposition en Hongrie en est venu à ce constat : sans une coopération avec la gauche, il sera impossible de déboulonner le Fidesz au pouvoir depuis bientôt neuf années . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Le premier parti d'opposition en Hongrie en est venu à ce constat : sans une coopération avec la gauche, il sera impossible de déboulonner le Fidesz au pouvoir depuis bientôt neuf années . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
vendredi 11 janvier 2019
Hongrie. Gábor Rakonczay, premier Magyar à atteindre le pôle Sud
"L’aventurier et ses trois coéquipiers ont planté le drapeau
rouge-blanc-vert sur le point le plus méridional de la planète lundi
7 janvier, après un mois et demi de marche à travers l’Antarctique. La
presse nationale applaudit cette prouesse.
Quarante-quatre jours et quatre heures, et un record. Parti le 25 novembre 2018 avec trois camarades du point Messner-Fuchs, situé à 950 kilomètres à l’ouest de son objectif, Gábor Rakonczay est le premier Magyar à rallier le pôle Sud. L’aventurier est un habitué des exploits. Du 25 janvier au 26 mars 2012, il avait traversé l’Atlantique en canoë et en solitaire avec l’aide d’une embarcation imaginée par le navigateur Nándor Fa, surprise du Vendée Globe 2017." La suite sur courrierinternational.com
Quarante-quatre jours et quatre heures, et un record. Parti le 25 novembre 2018 avec trois camarades du point Messner-Fuchs, situé à 950 kilomètres à l’ouest de son objectif, Gábor Rakonczay est le premier Magyar à rallier le pôle Sud. L’aventurier est un habitué des exploits. Du 25 janvier au 26 mars 2012, il avait traversé l’Atlantique en canoë et en solitaire avec l’aide d’une embarcation imaginée par le navigateur Nándor Fa, surprise du Vendée Globe 2017." La suite sur courrierinternational.com
Hongrie: Viktor Orban veut reprendre la main sur la scène européenne
"Après des semaines de contestation sociale en
Hongrie, Viktor Orban a ce jeudi matin pris la parole, et c’est rare.
L’homme fort de Budapest balaie la contestation sur la loi travail
baptisée « loi esclavagiste » par les opposants et tente de se redonner
une stature de premier des illibéraux sur la scène européenne.
Cela fait des semaines que la
Hongrie est agitée par une contestation sociale.Des semaines que pour la
première fois l’opposition est unie. Un appel à la grève générale est
même lancé pour dans 10 jours.Le dirigeant sorti de sa réserve, lui, ne bouge pas un cil avec les mêmes arguments déjà martelés par ses proches sur une Hongrie devenue prospère depuis qu’il la dirige. A peine Viktor Orban s’amuse-t-il à souligner que des lois travail sont contestées. On en a vu ailleurs en Europe." La suite sur rfi.fr
Orban combattra Macron, champion "des forces pro-immigration" en Europe
"BUDAPEST, 10 janvier (Reuters) - Le Premier ministre
hongrois Viktor Orban s'est engagé jeudi à combattre le
président français Emmanuel Macron, qu'il a présenté comme le
champion des "forces pro-immigration" en Europe.
"On ne peut nier qu'Emmanuel Macron est une personnalité importante, et qui plus est le chef des forces pro-immigration" en Europe, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Budapest.
"Il n'y a là rien de personnel mais il s'agit de l'avenir de tous nos pays. Si ce qu'il veut à propos de l'immigration se réalise en Europe, alors ce sera néfaste pour la Hongrie, il faut donc que je le combatte." La suite sur boursorama.com
"On ne peut nier qu'Emmanuel Macron est une personnalité importante, et qui plus est le chef des forces pro-immigration" en Europe, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Budapest.
"Il n'y a là rien de personnel mais il s'agit de l'avenir de tous nos pays. Si ce qu'il veut à propos de l'immigration se réalise en Europe, alors ce sera néfaste pour la Hongrie, il faut donc que je le combatte." La suite sur boursorama.com
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[VIDEO] Winterreise, l’errance des exilés au Maillon-Wacken
"Metteur en scène surdoué, Kornél Mundruczó s’est emparé de Winterreise de Schubert, interprété ici par l’Orchestre philharmonique de Strasbourg, et projette des images d’exilés, interrogeant l’errance et l’exclusion. Ces 17 et 18 janvier à 20h30, au Maillon-Wacken, à Strasbourg.
C’est une première ! Le théâtre strasbourgeois Le Maillon convie l’Orchestre philharmonique de Strasbourg dirigé ici par Thierry Fischer pour recréer Winterreise, le célèbre cycle schubertien qu’investit ici le metteur en scène Kornél Mundruczó (Proton Theatre).
L’artiste hongrois est familier de la scène strasbourgeoise ; en avril dernier, il y avait présenté Imitation of life. Pour cette pièce, Kornél Mundruczó s’est inspiré d’un fait divers et a retracé ce qui a conduit un jeune Rom à devenir raciste et l’assassin d’un autre membre de sa communauté." Vidéo et la suite sur dna.fr
C’est une première ! Le théâtre strasbourgeois Le Maillon convie l’Orchestre philharmonique de Strasbourg dirigé ici par Thierry Fischer pour recréer Winterreise, le célèbre cycle schubertien qu’investit ici le metteur en scène Kornél Mundruczó (Proton Theatre).
L’artiste hongrois est familier de la scène strasbourgeoise ; en avril dernier, il y avait présenté Imitation of life. Pour cette pièce, Kornél Mundruczó s’est inspiré d’un fait divers et a retracé ce qui a conduit un jeune Rom à devenir raciste et l’assassin d’un autre membre de sa communauté." Vidéo et la suite sur dna.fr
Hongrie: Viktor Orbán veut faire de l’immigration le talisman de sa campagne européenne
Le Premier ministre hongrois a tenu ce jeudi matin une rare conférence
de presse à Budapest, durant laquelle il a longuement évoqué la campagne
des élections européennes de mai prochain. Affilié au PPE de
Jean-Claude Juncker, Viktor Orbán cherche à droitiser les enjeux du
scrutin et imagine une majorité « anti-immigration » au Parlement
européen.
« J’ai dit que Salvini était mon héros, je le pense vraiment ». Ce jeudi, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán n’a pas tari d’éloges sur le numéro deux du gouvernement italien et chef du parti d’extrême-droite « la Ligue » au cours d’une - très - rare conférence de presse à Budapest. « Nous avons été les premiers à montrer que l’immigration pouvait être stoppée sur la terre ferme ; lui a fait la même chose sur les mers », a-t-il ajouté, précisant considérer l’axe italo-polonais en gestation « comme la meilleure nouvelle de ce début d’année ». La suite sur lesoir.be
« J’ai dit que Salvini était mon héros, je le pense vraiment ». Ce jeudi, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán n’a pas tari d’éloges sur le numéro deux du gouvernement italien et chef du parti d’extrême-droite « la Ligue » au cours d’une - très - rare conférence de presse à Budapest. « Nous avons été les premiers à montrer que l’immigration pouvait être stoppée sur la terre ferme ; lui a fait la même chose sur les mers », a-t-il ajouté, précisant considérer l’axe italo-polonais en gestation « comme la meilleure nouvelle de ce début d’année ». La suite sur lesoir.be
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Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, s’est réjoui jeudi du pacte envisagé par les dirigeants populistes de Pologne et d’Italie pour les élections européennes du mois de mai
"Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, s’est réjoui jeudi du
pacte envisagé par les dirigeants populistes de Pologne et d’Italie pour
les élections européennes du mois de mai, saluant l’émergence «de forces anti-immigration à la droite» des conservateurs du Parti populaire européen (PPE) actuellement majoritaires au Parlement européen." La suite sur liberation.fr
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Banja Luka, Belgrade, Budapest, Tirana, un vent de colère au cœur de l’hiver
"C’est un véritable hiver que nous réserve ce début d’année 2019. Il neige, et les températures sont tombées bien en-dessous de zéro. Pourtant, malgré la bise glaciale, les citoyens se rassemblent, défilent et contestent des pouvoirs honnis, à Banja Luka, Belgrade comme à Budapest ou Tirana. Editorial commun au Courrier des Balkans et au Courrier d’Europe centrale.À
Banja Luka, c’est pour demander « justice et vérité » pour un jeune
homme assassiné la nuit du 17 au 18 mars de l’an passé, David
Dragičević, que des milliers de personnes défient le régime autoritaire,
autocratique et corrompu de Milorad Dodik. Depuis la fin du mois de
décembre, les autorités de la Republika Srpska ont interdit tous les
rassemblements, interpellé des dizaines de personnes et envoyé les
unités spéciales de la police déloger ceux qui continuaient à vouloir
déposer des bougies dans la neige." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
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Droit du travail,
nationalisme
jeudi 10 janvier 2019
Cours de langue hongroise à l'Institut hongrois de Paris au second semestre 2018-2019
Nos #cours de langues se poursuivent dans le deuxième semestre 2018-2019 ! 🎓📖
Et n'oubliez pas que l'accès à la #bibliothèque de l'Institut hongrois est toujours gratuit pour nos étudiants.
Plus d'informations :
http://www.parizs.balassiintezet.hu/…/cours-de-hongrois-li…/
Et n'oubliez pas que l'accès à la #bibliothèque de l'Institut hongrois est toujours gratuit pour nos étudiants.
Plus d'informations :
http://www.parizs.balassiintezet.hu/…/cours-de-hongrois-li…/
Hongrie: l'excédent commercial recule à 496 millions en novembre
"L'excédent commercial hongrois a reculé en novembre à 496 millions
d'euros, contre 682 millions un an plus tôt, selon une première
estimation du Bureau des statistiques (KSH) publiée mercredi.
Les exportations, principalement dans le secteur automobile, ont augmenté de 4,7%, à 9,5 milliards d'euros, tandis que les importations ont augmenté de 7,3%, à 9 milliards. Sur les onze premiers mois de l'année, l'excédent recule à 5,7 milliards d'euros, contre 7,5 milliards un an plus tôt.
En 2017, l'excédent commercial hongrois s'était tassé à 8,2 milliards d'euros, après avoir atteint un record de 9,9 milliards d'euros en 2016." Source : lefigaro.fr
Les exportations, principalement dans le secteur automobile, ont augmenté de 4,7%, à 9,5 milliards d'euros, tandis que les importations ont augmenté de 7,3%, à 9 milliards. Sur les onze premiers mois de l'année, l'excédent recule à 5,7 milliards d'euros, contre 7,5 milliards un an plus tôt.
En 2017, l'excédent commercial hongrois s'était tassé à 8,2 milliards d'euros, après avoir atteint un record de 9,9 milliards d'euros en 2016." Source : lefigaro.fr
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Manœuvres politiques européennes
"Les partis politiques européens sont en pleine effervescence à cinq mois
des élections européennes. En Hongrie, toutes les oppositions
envisagent de faire une liste commune pour battre le Fidesz du Premier
ministre Viktor Orban. L’eurodéputé socialiste hongrois, István Ujhelyi,
explique que les scrutins ne sont pas "une compétition démocratique,
c'est une dictature. Il faut battre un parti d'Etat". Le parti au
pouvoir à Budapest compte mener sa campagne sur la question migratoire,
seul moyen selon le dirigeant hongrois de remporter les scrutins à
venir. En Europe "on a vu partout que les forces anti-immigration,
celles qui veulent protéger leurs populations, ont progressé", précise Tamás Deutsch, député européen membre du Fidesz." La suite sur euronews.com
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mercredi 9 janvier 2019
Les syndicats hongrois se mobilisent contre la réforme du Code du travail
"ON EN PARLE A BUDAPEST. Des leaders syndicaux ont appelé à une grève nationale le 19 janvier. Une première en Hongrie depuis la chute du communisme
Le passage à la nouvelle année n'a pas
balayé en Hongrie - pas plus qu'en France - la colère d'une partie de
l'opinion publique. Durant le week-end, plusieurs milliers de
protestataires mobilisés par l'opposition, les syndicats et les ONG, ont
bravé le froid et se sont rassemblés devant le Parlement. Ils s'en sont
pris au Premier ministre, Viktor Orbán, et ont réclamé, comme lors des
précédentes manifestations, le retrait de deux lois..." La suite sur lesechos.fr
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Manifestation,
Syndicats
Hongrie: la production industrielle recule
"La production industrielle de la Hongrie a reculé de 1,1% sur un mois en
novembre, après une hausse de 2% en octobre, selon une première
estimation du Bureau central des statistiques (KSH) mardi. Sur un an, la
production industrielle progresse de 4%, après une hausse de 5,9% le
mois précédent." La suite sur lefigaro.fr
2019, Le Courrier d’Europe centrale, et vous
"L’équipe du Courrier d’Europe centrale adresse à tous ses lecteurs ses meilleurs voeux pour cette année 2019 ! La nouvelle année est aussi l’occasion pour nous de faire un point d’étape dans notre développement et de vous faire quelques annonces.
L’année précédente s’est révélée fructueuse pour notre média, que vous êtes de plus en plus nombreux à lire, comme le montrent l’augmentation des pages consultées ainsi que la hausse constante du nombre d’abonnés.Vous connaissez notre objectif : bâtir le média francophone de référence sur l’Europe centrale, sans transiger sur notre indépendance et notre autonomie vis-à-vis d’intérêts financiers et partisans.
Nous sommes en bonne voie d’y parvenir, et nous y parviendrons grâce à l’abonnement de plus de lecteurs ! (Pour vous abonner à partir de 2 € par mois, c’est ici)." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
« Loi esclavagiste » en Hongrie : des salariés racontent leurs conditions de travail
Article publié le 21 décembre 2018 dans Abcúg
sous le titre « Egészség, házasság, gyerek is rámehet a rengeteg
túlórára ». Traduit du hongrois par Ludovic Lepeltier-Kutasi. Le
traducteur a pris quelques libertés avec le texte d’origine, afin de
l’adapter à l’évolution de l’actualité.
« En quatorze ans, nous avons construit avec l’argent de l’Union européenne une société dans laquelle des journées de huit heures de travail ne suffisent pas aux salariés pour subvenir à leurs besoins », a récemment écrit sur Facebook Ákos, un facteur trentenaire, en réaction à la loi sur le travail supplémentaire qui a fait descendre plusieurs dizaines de milliers de manifestants dans la rue depuis son adoption le 12 décembre dernier. Nos partenaires d’Abcúg sont allés rencontrer des salariés hongrois pour recueillir leurs témoignages face à une réforme rebaptisée « esclavagiste » par ses opposants. Reportage.
La loi sur le travail supplémentaire (túlóratörvény, rebaptisée « loi esclavagiste » par ses opposants, ndlt) est entrée en vigueur ce premier janvier malgré la vague de manifestations qui a suivi son adoption mercredi 12 décembre par le parlement, puis sa promulgation par le président de la république János Áder. La loi permet désormais aux employeurs de monter à 400 le nombre d’heures supplémentaires possibles chaque année. Par ailleurs, dans certains cas, ces derniers pourront attendre trois ans – au lieu d’une année actuellement – pour comptabiliser et rémunérer le surplus d’heures travaillées." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
« En quatorze ans, nous avons construit avec l’argent de l’Union européenne une société dans laquelle des journées de huit heures de travail ne suffisent pas aux salariés pour subvenir à leurs besoins », a récemment écrit sur Facebook Ákos, un facteur trentenaire, en réaction à la loi sur le travail supplémentaire qui a fait descendre plusieurs dizaines de milliers de manifestants dans la rue depuis son adoption le 12 décembre dernier. Nos partenaires d’Abcúg sont allés rencontrer des salariés hongrois pour recueillir leurs témoignages face à une réforme rebaptisée « esclavagiste » par ses opposants. Reportage.
La loi sur le travail supplémentaire (túlóratörvény, rebaptisée « loi esclavagiste » par ses opposants, ndlt) est entrée en vigueur ce premier janvier malgré la vague de manifestations qui a suivi son adoption mercredi 12 décembre par le parlement, puis sa promulgation par le président de la république János Áder. La loi permet désormais aux employeurs de monter à 400 le nombre d’heures supplémentaires possibles chaque année. Par ailleurs, dans certains cas, ces derniers pourront attendre trois ans – au lieu d’une année actuellement – pour comptabiliser et rémunérer le surplus d’heures travaillées." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
mardi 8 janvier 2019
Concert de musique magyare - Scots Kirk Paris - samedi 12 janvier 2019 à 20 h - pianiste Emmanuelle Moriat
Le concert sera « entrée libre » avec libre participation aux frais. Pour réserver : 06 07 94 50 97 ou
psnelgrove(AT)noos.fr
Le lieu :
The Scots Kirk Paris
17, rue Bayard – Paris 75008
M° : Franklin D. Roosevelt ou Champs-Élysées Clemenceau
Le lieu :
The Scots Kirk Paris
17, rue Bayard – Paris 75008
M° : Franklin D. Roosevelt ou Champs-Élysées Clemenceau
Le programme :
Béla BARTÓK
Sonatine (sur des thèmes paysans de Transylvanie)
Leó WEINER
Trois danses campagnardes hongroises
Zoltán KODÁLY
Danses de Marosszék
Miklós RÓZSA
Bagatelles op. 12
György LIGETI
Musica Ricercata (extraits)
L’interprète :
Emmanuelle
MORIAT s’initie à la musique dès l’âge de 4 ans. Imprégnée de la
culture polonaise, elle est très attirée par les musiques de l’Est.
Titulaire
des Diplômes de Formation Supérieure de piano et d’accompagnement /
direction de chant respectivement au Conservatoire Royal de Musique de
Bruxelles ainsi qu’au Conservatoire National Supérieur de Musique de
Paris dans celle de Serge Zapolsky, elle a également bénéficié des
conseils d’Anne Queffélec, Akiko Ebi, Paul Badura-Skoda ….
Elle
se produit régulièrement en soliste et en formation de musique de
chambre lors de divers festivals (Hongrie, France, Belgique, Ambassade
de Pologne…) Invitée en tant que jurys lors de concours (15ème
Rencontres Internationales
de Maisons-Laffitte, Clés d’Or…), elle donne également des cours
publics.
Elle
apprécie les projets pluridisciplinaires qui lui permettent d’enrichir
son répertoire. Elle a ainsi travaillé pour l’atelier de mise en scène
lyrique de Mireille Larroche à l’Ecole Normale de Musique de Paris, a
participé
à diverses productions au Théâtre du Châtelet, avec le chœur de Radio
France et a réalisé des expositions-concerts (Ministère des Finances).
Elle a également été conseillère musicale lors de la captation du ballet Pinocchio de Melozzi pour la chaîne Mezzo.
Son premier CD en piano solo « Escale en pays magyar », paru en 2017, a été accueilli avec succès.
Concert Mónika Lakatos Romengo Samedi 30 mars 2019 à 18h00 Salle des concerts - Cité de la musique
Monika Lakatos Romengo © DR |
Mónika Lakatos, chant
Lakatos Romengo group
Mónika Lakatos et les musiciens du Romengo Group maîtrisent la musique hongroise et tzigane comme leur langue maternelle.
Le groupe Romengo allie depuis toujours tradition et modernité. En plus des mélodies traditionnelles du répertoire tzigane dont ils sont les virtuoses, ils jouent leurs propres chansons et partent constamment à la recherche de nouveaux sons. Aux côtés des percussions et des solos de violon, Mónika Lakatos est l’âme de ce groupe de musiciens hongrois : son vibrato émeut profondément ses auditeurs. Les artistes été acclamés jusqu’en Corée du Sud, en Inde et au Mexique. En Europe, ils se sont produits à la Philharmonie de Berlin, à l’Opéra de Francfort et au Palais des Arts de Budapest, ainsi que dans une multitude de salles et de festivals. Lorsque Romengo est sur scène et que les tambours et les percussions jouent, on se lève, on frappe des mains en cadence, on danse et on admire, les yeux brillants, l’élégance passionnée de ces cinq musiciens partageant la quintessence de leur art.
Plus d'informations et réservations sur philharmonie.fr
Musique de chambre - Signes, jeux et messages... Solistes de l'Ensemble intercontemporain - Samedi 30 mars 2019 à 17h30 Le Studio - Philharmonie
Programme
György Kurtág
Hommage à Mihaly Andras - Douze Microludes op.13 pour quatuor à cordes
Benoit Sitzia
Livre des césures (Rima II), pour quatuor à cordes
György Kurtág
Tre Pezzi pour violon et piano op.14e
Hommage à R. Sch. op 15d, pour clarinette, alto et piano
Jatékok (Jeux) (extraits)
Signes, jeux et messages (extraits)
Marco Stroppa
Hommage à Gy. K., pour alto, clarinette et piano
György Kurtág
Jeux: "La fille aux cheveux de lin - enragée", pour piano
Claude Debussy
"La fille aux cheveux de lin", Préludes Livre I, 8
"Voiles", Préludes Livre I, 2
"Bruyères", Préludes Livre II, 5
"Les collines d'Anacapri", Préludes Livre I, 5
Distribution : Solistes de l'Ensemble intercontemporain
György Kurtág
Hommage à Mihaly Andras - Douze Microludes op.13 pour quatuor à cordes
Benoit Sitzia
Livre des césures (Rima II), pour quatuor à cordes
György Kurtág
Tre Pezzi pour violon et piano op.14e
Hommage à R. Sch. op 15d, pour clarinette, alto et piano
Jatékok (Jeux) (extraits)
Signes, jeux et messages (extraits)
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György Kurtag © Andrea Felvégi |
Hommage à Gy. K., pour alto, clarinette et piano
György Kurtág
Jeux: "La fille aux cheveux de lin - enragée", pour piano
Claude Debussy
"La fille aux cheveux de lin", Préludes Livre I, 8
"Voiles", Préludes Livre I, 2
"Bruyères", Préludes Livre II, 5
"Les collines d'Anacapri", Préludes Livre I, 5
Distribution : Solistes de l'Ensemble intercontemporain
Maître génial et méticuleux de la
forme courte, György Kurtág entretient une relation forte avec
l’histoire de la musique. Les solistes de l’Ensemble intercontemporain
la mettent en lumière dans un programme fait de perspectives et de
lignes de fuite.
En constante recherche d’une écriture personnelle faite d’épure et de cristallisation de l’instant, Kurtág se tourne ainsi bien souvent, et le plus ouvertement du monde, vers ses aînés. C’est donc de réinvention du matériau qu’il est question ici : à la fois hommage (« à R[obert] Sch[umann] par exemple, dans son Opus 15d ou à son compatriote, le compositeur Mihály András pour ses Douze Microludes, op. 13 pour quatuor), inspiration, reprise ou recontextualisation. Ce sont aussi, bien souvent, pour ce compositeur mélomane, des « signes », des « jeux » référentiels (La Fille aux cheveux de lin des Préludes de Debussy devient « enragée », alors qu’elle est si douce dans sa version originale que l’on entendra aussi) ou des « messages »… S’il rend hommage à ses aînés, il n’est pas rare que ses cadets lui rendent la pareille – à l’instar de l’Italien Marco Stroppa, qui reprend pour son Hommage à Gy. K. l’effectif exact de son Hommage à R. Sch. : clarinette, alto et piano.
En constante recherche d’une écriture personnelle faite d’épure et de cristallisation de l’instant, Kurtág se tourne ainsi bien souvent, et le plus ouvertement du monde, vers ses aînés. C’est donc de réinvention du matériau qu’il est question ici : à la fois hommage (« à R[obert] Sch[umann] par exemple, dans son Opus 15d ou à son compatriote, le compositeur Mihály András pour ses Douze Microludes, op. 13 pour quatuor), inspiration, reprise ou recontextualisation. Ce sont aussi, bien souvent, pour ce compositeur mélomane, des « signes », des « jeux » référentiels (La Fille aux cheveux de lin des Préludes de Debussy devient « enragée », alors qu’elle est si douce dans sa version originale que l’on entendra aussi) ou des « messages »… S’il rend hommage à ses aînés, il n’est pas rare que ses cadets lui rendent la pareille – à l’instar de l’Italien Marco Stroppa, qui reprend pour son Hommage à Gy. K. l’effectif exact de son Hommage à R. Sch. : clarinette, alto et piano.
Coproduction Ensemble Intercontemporain, Philharmonie de Paris
Plus d'information et réservation sur philharmoniedeparis.fr
Plus d'information et réservation sur philharmoniedeparis.fr
Ces Hongrois de Roumanie choyés par Viktor Orban
"La politique de Budapest en faveur des minorités magyares
d’outre-frontières s’exerce avec force à Satu Mare, une ville séparée de
la Hongrie en 1920 par le traité de Trianon et collée à la «mère
patrie»
Jusqu’en 1972, quiconque voulait relier le plus directement possible en train la capitale hongroise Budapest à la ville roumaine de Satu Mare traversait la frontière à Csengersima. Mais cette année-là, la portion roumaine de la ligne a été supprimée par le régime de Ceausescu pour ne plus jamais être rétablie, ce qui contraint les voyageurs à un détour fastidieux qui leur fait perdre une heure et demie. La chute du dictateur, en 1989, n’y a rien changé. Le dossier reste depuis au point mort.
Dans la ville remplie de drapeaux bleu-jaune-rouge célébrant le centenaire de la Roumanie, l’identité hongroise persiste malgré une «roumanisation» forcée et une émigration massive sous l’ancienne dictature. Et pour cause. Depuis le retour aux affaires de Viktor Orban en 2010 à Budapest, le pouvoir nationaliste hongrois mène un vigoureux lobbying politico-culturel pour favoriser les minorités hongroises des provinces détachées de la «mère patrie» par le traité de Trianon en 1920, un traité qui avait consacré le démembrement de l’Autriche-Hongrie. Il entretient savamment ce traumatisme, causé notamment par la perte de la Transylvanie où se trouve Satu Mare." La suite sur letemps.ch
Jusqu’en 1972, quiconque voulait relier le plus directement possible en train la capitale hongroise Budapest à la ville roumaine de Satu Mare traversait la frontière à Csengersima. Mais cette année-là, la portion roumaine de la ligne a été supprimée par le régime de Ceausescu pour ne plus jamais être rétablie, ce qui contraint les voyageurs à un détour fastidieux qui leur fait perdre une heure et demie. La chute du dictateur, en 1989, n’y a rien changé. Le dossier reste depuis au point mort.
Dans la ville remplie de drapeaux bleu-jaune-rouge célébrant le centenaire de la Roumanie, l’identité hongroise persiste malgré une «roumanisation» forcée et une émigration massive sous l’ancienne dictature. Et pour cause. Depuis le retour aux affaires de Viktor Orban en 2010 à Budapest, le pouvoir nationaliste hongrois mène un vigoureux lobbying politico-culturel pour favoriser les minorités hongroises des provinces détachées de la «mère patrie» par le traité de Trianon en 1920, un traité qui avait consacré le démembrement de l’Autriche-Hongrie. Il entretient savamment ce traumatisme, causé notamment par la perte de la Transylvanie où se trouve Satu Mare." La suite sur letemps.ch
lundi 7 janvier 2019
ARTE Regards - Punir les sans-abri en Hongrie
31 min
Disponible du 07/01/2019 au 06/04/2019
Disponible en direct : oui
Prochaine diffusion le mercredi 9 janvier à 04:25
Suite
à l’adoption d’un amendement initié par le Fidesz, le parti de Viktor
Orbán, vivre dans la rue est désormais un crime en Hongrie. Pourtant,
des milliers d’individus sont sans-abri.
Les
refuges ne proposent pas suffisamment de places, et les conditions
d'accueil sont rarement idéales : bagarres et vols y sont monnaie
courante, entraînant un fort sentiment d’insécurité chez une population
déjà très fragile. Si les sans-logis peuvent compter sur les efforts
d’avocats bien décidés à légaliser leur situation, le chemin est long et
difficile.
Concert Kálmán Balogh & le Gipsy Cimbalom Band Vendredi 29 mars 2019 - 20 h 30 - Cité de la musique
![]() |
Kálmán Balogh & le Gipsy Cimbalom Band © DR |
Salle des concerts - Cité de la musique
Durée : environ 1h30
Programme
Chants sacrés tziganes et musiques klezmer
Chants sacrés tziganes et musiques klezmer
Distribution
Kálmán Balogh, cimbalom
Peter Bede, saxophone
Ferenc Kovács, violon, trompette, chant
Frankie Látó, violon
Csaba Novák , contrebasse
Mihály György, guitare
Gusztáv Balogh , chant
Róbert Lakatos , alto, chant, violon
Kálmán Balogh est un des plus grands interprètes de cymbalum, un des
instruments à corde majeurs de la tradition hongroise. Avec son groupe
et deux violonistes, il interprète les trésors du répertoire tzigane.
Le cymbalum, instrument à cordes sur table, est une pièce essentielle de la musique d’Europe centrale. Comparé au santur persan et au hackbrett germanique, il est composé de cent vingt-cinq cordes métalliques frappées par deux petits marteaux tenus par le musicien. Kálmán Balogh provient d’une des grandes familles d’interprètes de cet instrument qui garde encore à nos yeux une grande part de mystère. À travers les années, il a eu l’occasion d’exercer son art avec des groupes de jazz, de rock et des orchestres symphoniques. S’il est profondément fier de ces incartades dans d’autres styles, Kálmán Balogh pratique aujourd’hui exclusivement la musique traditionnelle tzigane, qu’il fait vivre et transmet avec délicatesse et passion. Il se produit ici avec son groupe, le Gipsy Cimbalom Band, et deux violonistes hongrois : Sandor Budai et Laszlo Major.
Le cymbalum, instrument à cordes sur table, est une pièce essentielle de la musique d’Europe centrale. Comparé au santur persan et au hackbrett germanique, il est composé de cent vingt-cinq cordes métalliques frappées par deux petits marteaux tenus par le musicien. Kálmán Balogh provient d’une des grandes familles d’interprètes de cet instrument qui garde encore à nos yeux une grande part de mystère. À travers les années, il a eu l’occasion d’exercer son art avec des groupes de jazz, de rock et des orchestres symphoniques. S’il est profondément fier de ces incartades dans d’autres styles, Kálmán Balogh pratique aujourd’hui exclusivement la musique traditionnelle tzigane, qu’il fait vivre et transmet avec délicatesse et passion. Il se produit ici avec son groupe, le Gipsy Cimbalom Band, et deux violonistes hongrois : Sandor Budai et Laszlo Major.
Conférence - Portraits des XXe et XXIe siècles - Béla Bartok - Jeudi 28 mars 2019 à 18h45 Philharmonie de Paris
Programmé en fin de journée, ce collège, en alternance avec « Regards croisés », offre aux mélomanes un rendez-vous régulier le jeudi en ouverture de soirée. Consacrés à des portraits de compositeurs et de compositrices des XXe et XXIe siècles, il permet d’approcher aussi bien l’homme que le(a) créateur(trice) et son œuvre, grâce à l’analyse critique d’un spécialiste.
Intervenants
Jean-François Boukobza, conférencier
Philharmoniedeparis.fr
Cité de la musique - Philharmonie de Paris
221, avenue Jean-Jaurès
75019 Paris
Intervenants
Jean-François Boukobza, conférencier
Philharmoniedeparis.fr
Cité de la musique - Philharmonie de Paris
221, avenue Jean-Jaurès
75019 Paris
Concert Le Mandarin merveilleux - Bartók Budapest Festival Orchestra - Iván Fischer Samedi 30 mars 2019 à 20h30 à Philharmonie de Paris
![]() |
Ivan Fischer © Akos Stiller |
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Programme
Béla Bartók
Programme
Béla Bartók
- Le Mandarin merveilleux / (suite)
- Choeurs d’enfants a capella
- Vingt-sept Choeurs avec accompagnement d’orchestre Sz. 103
- Concerto pour orchestre
Distribution
- Budapest Festival Orchestra
- Choeur de femmes Pro Musica de Nyiregyhaza
- Choeur d'enfants Cantemus de Nyiregyhaza
- Iván Fischer, direction
Dans ce premier volet de leur
diptyque Béla Bartók, Iván Fischer et le Budapest Festival Orchestra
s’attaquent à deux sommets du compositeur hongrois : Le Mandarin merveilleux et le révolutionnaire Concerto pour orchestre.
L’œuvre scénique de Béla Bartók est, disons-le, assez limitée. Trois œuvres en tout et pour tout : outre son opéra bien connu Le Château de Barbe-Bleue, il compose deux ballets Le Prince de bois (1914-1916) et Le Mandarin merveilleux (1919-1926). S’appuyant sur un livret de Menyhért Lengyel d’après un conte chinois, ce dernier fait scandale dès sa création à Cologne le 27 novembre 1926 — il sera d’ailleurs interdit en Hongrie, ce qui poussera Bartók à en tirer une suite pour orchestre. Pour les censeurs de l’époque, non seulement le sujet est chargé d’érotisme, mais son traitement par le compositeur, qui rappelle à bien des égards Le Sacre du printemps, est plus que suggestif. L’histoire est celle d’une fille perdue, que trois petits malfrats poussent à séduire le chaland pour mieux le dépouiller. L’une de leurs victimes, le fameux Mandarin, s’amourache jusqu’à s’y perdre, corps et âme. Ce parfum tragique se dissipera en partie avec le Concerto pour orchestre. Pourtant, lorsqu’il le compose en 1943, Bartók est exilé aux États-Unis, il vit dans le dénuement et est déjà très affaibli par la leucémie qui l’emportera. Cela ne l’empêche pas d’accoucher d’une œuvre qui évoque, selon lui, « le passage progressif de l’austérité […] et du chant funèbre […] à l’affirmation de la vie ».
L’œuvre scénique de Béla Bartók est, disons-le, assez limitée. Trois œuvres en tout et pour tout : outre son opéra bien connu Le Château de Barbe-Bleue, il compose deux ballets Le Prince de bois (1914-1916) et Le Mandarin merveilleux (1919-1926). S’appuyant sur un livret de Menyhért Lengyel d’après un conte chinois, ce dernier fait scandale dès sa création à Cologne le 27 novembre 1926 — il sera d’ailleurs interdit en Hongrie, ce qui poussera Bartók à en tirer une suite pour orchestre. Pour les censeurs de l’époque, non seulement le sujet est chargé d’érotisme, mais son traitement par le compositeur, qui rappelle à bien des égards Le Sacre du printemps, est plus que suggestif. L’histoire est celle d’une fille perdue, que trois petits malfrats poussent à séduire le chaland pour mieux le dépouiller. L’une de leurs victimes, le fameux Mandarin, s’amourache jusqu’à s’y perdre, corps et âme. Ce parfum tragique se dissipera en partie avec le Concerto pour orchestre. Pourtant, lorsqu’il le compose en 1943, Bartók est exilé aux États-Unis, il vit dans le dénuement et est déjà très affaibli par la leucémie qui l’emportera. Cela ne l’empêche pas d’accoucher d’une œuvre qui évoque, selon lui, « le passage progressif de l’austérité […] et du chant funèbre […] à l’affirmation de la vie ».
Cité de la musique - Philharmonie de Paris
221, avenue Jean-Jaurès
75019 Paris
221, avenue Jean-Jaurès
75019 Paris
Exposition Vasarely Le partage des formes - Centre Pompidou du 6 févr. 2019 - 6 mai 2019 de 11h à 21h
Victor Vasarely, « Re.Na II A », 1968
Avec Vasarely, le partage des formes, le Centre Pompidou présente la première rétrospective française consacrée au père de l’art optique depuis plus de 50 ans.
Après une enfance entre Pécs et Budapest, Victor Vasarely s’installe à Paris en 1930 où il travaille pour des agences de publicité comme artiste graphique. Il pose alors les fondements de l’Opt art, qui s’épanouira au milieu des années 1950. Ce genre emblématique de l’œuvre de Vasarely, plus connu du grand public sous son nom complet d’Art optique, consiste à jouer avec un nombre réduit de formes et de couleurs pour créer des illusions d’optiques méthodiques et scientifiques.
À l’époque de la reproductibilité technique de l’œuvre d’art, Vasarely aspire à donner une base mathématique à son art.
Ses productions variées – peintures, multiples, publicités, projets architecturaux – rendent compte de cette démarche associant rationalité et création.
Ancré dans le contexte économique et social des années 1960-1970, l’artiste illustre aussi les grands changements sociétaux en s’appropriant la publicité et les médias de masse, un parti pris résolument moderne. Grâce à ses abstractions pop, Vasarely devient une figure majeure de la culture populaire et incarne ainsi l’imaginaire des Trente Glorieuses.
Pour la première fois, cette rétrospective donne leur pleine place à tous les aspects de la création de l’artiste. Elle donne à voir et à comprendre l’ensemble des facettes de son œuvre foisonnante. Suivant un parcours chronologique, l’exposition aborde les grandes étapes de la vie de l’artiste, depuis sa formation dans les traces du Bauhaus jusqu’à ses dernières innovations formelles, autour de la quatrième dimension.
Après une enfance entre Pécs et Budapest, Victor Vasarely s’installe à Paris en 1930 où il travaille pour des agences de publicité comme artiste graphique. Il pose alors les fondements de l’Opt art, qui s’épanouira au milieu des années 1950. Ce genre emblématique de l’œuvre de Vasarely, plus connu du grand public sous son nom complet d’Art optique, consiste à jouer avec un nombre réduit de formes et de couleurs pour créer des illusions d’optiques méthodiques et scientifiques.
À l’époque de la reproductibilité technique de l’œuvre d’art, Vasarely aspire à donner une base mathématique à son art.
Ses productions variées – peintures, multiples, publicités, projets architecturaux – rendent compte de cette démarche associant rationalité et création.
Ancré dans le contexte économique et social des années 1960-1970, l’artiste illustre aussi les grands changements sociétaux en s’appropriant la publicité et les médias de masse, un parti pris résolument moderne. Grâce à ses abstractions pop, Vasarely devient une figure majeure de la culture populaire et incarne ainsi l’imaginaire des Trente Glorieuses.
Pour la première fois, cette rétrospective donne leur pleine place à tous les aspects de la création de l’artiste. Elle donne à voir et à comprendre l’ensemble des facettes de son œuvre foisonnante. Suivant un parcours chronologique, l’exposition aborde les grandes étapes de la vie de l’artiste, depuis sa formation dans les traces du Bauhaus jusqu’à ses dernières innovations formelles, autour de la quatrième dimension.
Galerie 2 - Centre Pompidou, Paris
Accès avec le billet Musée et expositions
Ateliers pour enfants
Tous les mercredis à partir du 9
janvier, l’Institut hongrois propose des cours de hongrois pour les
enfants et les jeunes de 3 à 14 ans. Les groupes sont constitués selon
l’âge, et les cours ont lieu de 15h30 à 16h15 et de 16h15 à 17h. Pour
les plus petits, l’enseignement est axé sur des comptines, des chants et
des contes ; pour les plus âgés, l’accent est plutôt mis sur les
connaissances de base de la littérature et de l’histoire hongroises.
3-4 ans de 15h30 à 16h15 et 5-6 ans de 16h15 17h - animatrice Mlle Emese Ladányi
6-7 ans de 15h30 à 16h15 et à partir de 8 ans de 16h15 à 17h - animatrice Mme Orsolya Karinthi-Rébay
Inscription pour tous les cours :
o.rebay@instituthongrois.fr6-7 ans de 15h30 à 16h15 et à partir de 8 ans de 16h15 à 17h - animatrice Mme Orsolya Karinthi-Rébay
« Dúdoló »
Atelier ludique pour initier les enfants à l’héritage musical hongrois au travers de chansons traditionnelles et de jeux musicaux. La participation active des parents est requise pour cette activité informelle qui contribuera à développer le sens du rythme et l’oreille musicale de votre enfant (dès les premiers mois et jusqu'à 3 ans) tout en facilitant l’apprentissage du hongrois.
Atelier ludique pour initier les enfants
à l’héritage musical hongrois au travers de chansons traditionnelles et
de jeux musicaux. La participation active des parents est requise pour
cette activité informelle qui contribuera à développer le sens du rythme
et l’oreille musicale de votre enfant (dès les premiers mois et jusqu'à
3 ans) tout en facilitant l’apprentissage du hongrois.
Prochaines dates :
20 octobre 2018 15h30-17h, animé par Emma Bornai
17 novembre 2018 15h30-17h, animé par Emma Bornai
15 décembre 2018 15h30-17h, animé par Emma Bornai
19 janvier 2019 15h30-17h, animé par Emma Bornai
Information :
accueil@instituthongrois.fr20 octobre 2018 15h30-17h, animé par Emma Bornai
17 novembre 2018 15h30-17h, animé par Emma Bornai
15 décembre 2018 15h30-17h, animé par Emma Bornai
19 janvier 2019 15h30-17h, animé par Emma Bornai
Si on parlait des enfants ?
Ateliers d’échange pour parents
concernant les enfants. Les samedis à 11h tous les 15 jours à partir de
19 janvier. L’atelier d’échanges avec les parents se déroulent avec la
psychanalyste Eva Füzesséry. Toutes les les interrogations par rapport
aux enfants seront les bienvenues.
Prochaine date : 19 janvier 2019
Information :
eva.fuzessery@icloud.com
Libellés :
Cours de hongrois,
Enfants,
Langues,
musique,
Psychanalyse
Emőke Baráth, soprano Il Pomo d’Oro Lucrezia le 1er février 2019 à 20 h 30 Salle Gaveau
On ne le dira jamais assez : le belcanto est né en
Italie durant l’époque baroque. Venise en fut l’un des berceaux :
Barbara Strozzi ou Antonio Cesti firent génialement évoluer l’héritage
de Monteverdi et de Cavalli. Au siècle suivant, ce fut un Allemand,
Händel, qui s’imposa comme le plus grand champion de la musique
italienne. Sa cantate Lucrezia démontre sa compréhension innée
du beau chant et de la théâtralité. Beauté enivrante du timbre et
virtuosité déployée, Emőke Baráth est l’interprète idéale de ces beautés
prodigieuses
Programme
HÄNDEL : La Lucrezia
STROZZI : Lagrime mie, Ferma il piede, Voglio cantar
CESTI : O quanto concorso
Interprètes
EMŐKE BARÁTH, soprano
IL POMO D'ORO
FRANCESCO CORTI, clavecin & direction.
45-47 rue La Boétie
75008 PARIS
01.49.53.05.07
contact@sallegaveau.com
Programme
HÄNDEL : La Lucrezia
STROZZI : Lagrime mie, Ferma il piede, Voglio cantar
CESTI : O quanto concorso
Interprètes
EMŐKE BARÁTH, soprano
IL POMO D'ORO
FRANCESCO CORTI, clavecin & direction.
45-47 rue La Boétie
75008 PARIS
01.49.53.05.07
contact@sallegaveau.com
Enseignement supérieur Hongrie : Bourses d’études au titre de l’année universitaire 2019-2020
"Bonne nouvelle pour les étudiants et chercheurs marocains. Dans le cadre
de la Coopération maroco-hongroise dans le domaine de l'éducation et de
la science, le gouvernement hongrois leur offre 100 bourses pour
poursuivre leurs études dans les établissements d'enseignement supérieur
et de recherche en Hongrie, particulièrement dans les disciplines
suivantes : Industrie automobile, Électronique, Agroalimentaire,
Énergies renouvelables, Ingénierie, Technologies de l'information et de
la communication, Architecture et Médecine." La suite sur lematin.ma
Libellés :
Enseignement,
Politique étrangère,
Université
Des milliers de manifestants dans les rues de Budapest contre la “loi de l’esclavage”
"La loi sur le temps de travail votée en décembre
en Hongrie déclenche un mouvement de protestation inédit depuis
l’arrivée au pouvoir de Viktor Orbán.
“Des milliers de personnes en Hongrie ont bravé la neige et le froid pour manifester contre le gouvernement de droite de Viktor Orbán, dénonçant une nouvelle mesure très dure qualifiée de ‘loi de l’esclavage’”, rapporte le journal britannique The Guardian." La suite sur courrierinternational.com
Libellés :
Droit du travail,
Manifestation
dimanche 6 janvier 2019
Hongrie : « Vive la désobéissance civile, vive la grève, vive la République ! »
"Au terme de nombreux rassemblements qui se sont déroulés ces derniers
jours en province et d'une grande manifestation samedi à Budapest, des
représentants syndicaux ont adressé un ultimatum au gouvernement pour
qu'il retire sa loi controversée sur les heures supplémentaires et
menacent d'une grève nationale le samedi 19 janvier.
Budapest et Pécs, correspondances - Si la stratégie du gouvernement avait consisté à faire adopter la loi qui aménage les heures supplémentaires au détriment des salariés peu avant Noël afin de prévenir toute contestation, c'est raté. La trêve des fêtes de fin d'année passée, le mouvement d'opposition au gouvernement a repris de plus belle . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Budapest et Pécs, correspondances - Si la stratégie du gouvernement avait consisté à faire adopter la loi qui aménage les heures supplémentaires au détriment des salariés peu avant Noël afin de prévenir toute contestation, c'est raté. La trêve des fêtes de fin d'année passée, le mouvement d'opposition au gouvernement a repris de plus belle . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Libellés :
Droit du travail,
Manifestation,
Syndicats
En Hongrie, «nous ne serons pas des esclaves!»
"Une loi d’inspiration néolibérale sur le temps de travail catalyse la
colère accumulée contre le régime d'Orbán et pousse ses opposants à
l’union. Les syndicats menacent de bloquer le pays.
Budapest (Hongrie), de notre correspondant.– En faisant passer en force une mesure très impopulaire à la mi-décembre, le gouvernement hongrois espérait sans doute que les fêtes de fin d’année auraient raison de la motivation de ses opposants. C’est raté. Samedi après-midi, une dizaine de milliers de personnes ont une nouvelle fois défilé dans la capitale hongroise, à l’appel de nombreux syndicats, soutenus par tous les partis de l’opposition, des étudiants et des organisations civiles. « Nous allons bloquer les lieux de travail, les routes et les ponts. Le pays sera paralysé, et Viktor Orbán en sera le seul responsable », a averti László Kordás, le président de la plus importante centrale syndicale du pays (MASZSZ)." La suite sur mediapart.fr (article payant)
Budapest (Hongrie), de notre correspondant.– En faisant passer en force une mesure très impopulaire à la mi-décembre, le gouvernement hongrois espérait sans doute que les fêtes de fin d’année auraient raison de la motivation de ses opposants. C’est raté. Samedi après-midi, une dizaine de milliers de personnes ont une nouvelle fois défilé dans la capitale hongroise, à l’appel de nombreux syndicats, soutenus par tous les partis de l’opposition, des étudiants et des organisations civiles. « Nous allons bloquer les lieux de travail, les routes et les ponts. Le pays sera paralysé, et Viktor Orbán en sera le seul responsable », a averti László Kordás, le président de la plus importante centrale syndicale du pays (MASZSZ)." La suite sur mediapart.fr (article payant)
Libellés :
Droit du travail,
Manifestation,
Syndicats
Hongrie : menaces de grève générale
"Une
nouvelle vague de manifestations en Hongrie... et le ton monte
doucement. Désormais les contestataires de la politique du président
Viktor Orban menacent d'une grève générale si les dernières lois
votées par le parlement ne sont pas abrogées ou modifiées.
Des milliers de personnes se sont retrouvées place des Héros ce samedi à Budapest.
"Je pense qu'à ce niveau-là, déclare un manifestant, la grève est une nécessité, et pour cette raison, je trouve ça super que tant de gens se soient réunis ici." La suite et vidéo sur euronews.com
Libellés :
Droit du travail,
Grèves,
Manifestation
CES 2019 : un cardiofréquencemètre intégré dans le tissu des coureurs
"Au CES 2019 de Las Vegas, Heartbit dévoilera la semaine prochaine un
appareil intégré dans un T-shirt de course à pied, capable en temps réel
de surveiller le coeur d'un sportif et de l'alerter à la moindre
anomalie. C'est un algorithme conçu avec l'ordinateur Watson d'IBM qui
se charge d'analyser les milliers de données envoyées chaque seconde.
Malgré le suivi des staffs médicaux de plus en plus pointus et des tests d’efforts réguliers, il arrive, hélas, que des sportifs soient victimes d’accidents cardiaques ou d'accident vasculaire cérébral à l’entraînement, pendant une course ou un match. Pour les prévenir et surveiller en temps réel le cœur d’un athlète, Heartbit a mis au point le premier appareil portable de surveillance cardiaque...
...Pour créer ce vêtement intelligent, Heartbit a travaillé avec le laboratoire de recherche en imagerie bioélectrique cardiaque de l’université de Pannonia en Hongrie, et c’est au CES 2019, qui aura lieu du 8 au 11 janvier 2019, à Las Vegas, que l’on pourra découvrir et tester ce vêtement." Extraits d'un article paru sur futura-sciences.com
Malgré le suivi des staffs médicaux de plus en plus pointus et des tests d’efforts réguliers, il arrive, hélas, que des sportifs soient victimes d’accidents cardiaques ou d'accident vasculaire cérébral à l’entraînement, pendant une course ou un match. Pour les prévenir et surveiller en temps réel le cœur d’un athlète, Heartbit a mis au point le premier appareil portable de surveillance cardiaque...
...Pour créer ce vêtement intelligent, Heartbit a travaillé avec le laboratoire de recherche en imagerie bioélectrique cardiaque de l’université de Pannonia en Hongrie, et c’est au CES 2019, qui aura lieu du 8 au 11 janvier 2019, à Las Vegas, que l’on pourra découvrir et tester ce vêtement." Extraits d'un article paru sur futura-sciences.com
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« Orban dégage ! » : la fronde sociale s’installe en Hongrie
"Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans tout le pays depuis le début de l’année contre la politique du gouvernement.
Ni le froid, ni le vent, ni la neige ne les font renoncer : depuis le début de l’année, des Hongrois continuent de descendre par milliers dans les rues pour manifester leur « ras-le-bol » de Viktor Orban, le premier ministre souverainiste de ce pays de 9,8 millions d’habitants, membre de l’Union européenne (UE) depuis 2004.
Leur mouvement de contestation, déclenché en décembre par l’adoption d’une loi assouplissant le droit du travail, gagne des fiefs de la majorité. Dans la deuxième ville du pays, Debrecen, située à 225 kilomètres à l’est de Budapest, la capitale, ils étaient plusieurs centaines, samedi 5 janvier, à s’être rassemblés devant l’hôtel de ville, répondant à l’appel des syndicats, de mouvements de la société civile ainsi qu’aux partis d’opposition, qu’ils soient de gauche ou d’extrême droite.
« C’est notre député, Lajos Kosa, qui est à l’origine du texte de loi voté le 12 décembre [2018] obligeant les salariés à faire jusqu’à 400 heures supplémentaires par an, payables sur trente-six mois, explique Istvan Kaposznyák. Le Fidesz [le parti de droite présidé par Viktor Orban] fait cela pour satisfaire les grandes compagnies internationales implantées en Hongrie. Bien sûr, quelques centaines de personnes pour une ville de 210 000 habitants, cela peut paraître modeste, comme mobilisation, mais vous savez, nous sommes en Hongrie, pas en France. Ici les gens n’ont pas l’habitude de défiler, donc nous sommes très contents. »
« Pouvoir vivre correctement »Comme la Slovaquie voisine, la Hongrie est une terre de prédilection des constructeurs automobiles, attirés par les bas salaires. Et en juillet 2018, le géant allemand de l’automobile BMW a annoncé la construction d’une nouvelle usine à Debrecen." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Ni le froid, ni le vent, ni la neige ne les font renoncer : depuis le début de l’année, des Hongrois continuent de descendre par milliers dans les rues pour manifester leur « ras-le-bol » de Viktor Orban, le premier ministre souverainiste de ce pays de 9,8 millions d’habitants, membre de l’Union européenne (UE) depuis 2004.
Leur mouvement de contestation, déclenché en décembre par l’adoption d’une loi assouplissant le droit du travail, gagne des fiefs de la majorité. Dans la deuxième ville du pays, Debrecen, située à 225 kilomètres à l’est de Budapest, la capitale, ils étaient plusieurs centaines, samedi 5 janvier, à s’être rassemblés devant l’hôtel de ville, répondant à l’appel des syndicats, de mouvements de la société civile ainsi qu’aux partis d’opposition, qu’ils soient de gauche ou d’extrême droite.
« C’est notre député, Lajos Kosa, qui est à l’origine du texte de loi voté le 12 décembre [2018] obligeant les salariés à faire jusqu’à 400 heures supplémentaires par an, payables sur trente-six mois, explique Istvan Kaposznyák. Le Fidesz [le parti de droite présidé par Viktor Orban] fait cela pour satisfaire les grandes compagnies internationales implantées en Hongrie. Bien sûr, quelques centaines de personnes pour une ville de 210 000 habitants, cela peut paraître modeste, comme mobilisation, mais vous savez, nous sommes en Hongrie, pas en France. Ici les gens n’ont pas l’habitude de défiler, donc nous sommes très contents. »
« Pouvoir vivre correctement »Comme la Slovaquie voisine, la Hongrie est une terre de prédilection des constructeurs automobiles, attirés par les bas salaires. Et en juillet 2018, le géant allemand de l’automobile BMW a annoncé la construction d’une nouvelle usine à Debrecen." La suite sur lemonde.fr (article payant)
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Droit du travail,
Industrie,
Manifestation
Nouvelle manifestation en Hongrie contre la réforme du droit du travail
"Des milliers de manifestants ont défilé samedi à Budapest contre la
nouvelle loi promulguée en décembre, et plus largement contre la
politique du gouvernement nationaliste de Viktor Orban.
Nouvelle journée de contestation en Hongrie contre la réforme du droit du travail. Plusieurs milliers de personnes ont défilé, samedi 5 janvier, dans le centre de la capitale, Budapest, pour protester contre la nouvelle loi promulguée en décembre et critiquer l’autoritarisme prêté au gouvernement nationaliste de Viktor Orban.
Organisée à l’appel des partis d’opposition, des syndicats et de mouvements issus de la société civile, la manifestation visait à dénoncer en particulier la nouvelle loi qualifiée d’« esclavagiste » – les chefs d’entreprise peuvent exiger de leurs employés jusqu’à 400 heures supplémentaires par an, soit l’équivalent de deux mois de travail, payables trois ans plus tard.
Les protestataires ont marché de la place des Héros au siège du Parlement, sur les rives du Danube." La suite sur lemonde.fr
Nouvelle journée de contestation en Hongrie contre la réforme du droit du travail. Plusieurs milliers de personnes ont défilé, samedi 5 janvier, dans le centre de la capitale, Budapest, pour protester contre la nouvelle loi promulguée en décembre et critiquer l’autoritarisme prêté au gouvernement nationaliste de Viktor Orban.
Organisée à l’appel des partis d’opposition, des syndicats et de mouvements issus de la société civile, la manifestation visait à dénoncer en particulier la nouvelle loi qualifiée d’« esclavagiste » – les chefs d’entreprise peuvent exiger de leurs employés jusqu’à 400 heures supplémentaires par an, soit l’équivalent de deux mois de travail, payables trois ans plus tard.
Les protestataires ont marché de la place des Héros au siège du Parlement, sur les rives du Danube." La suite sur lemonde.fr
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samedi 5 janvier 2019
Hongrie : les syndicats font monter la pression
"Plusieurs syndicats menacent d’appeler à la grève, alors que des
manifestations se déroulent dans plusieurs villes de province contre la
loi sur les heures supplémentaires, et qu’un grand rassemblement est
prévu samedi à Budapest.
Un comité de grève des syndicats compte annoncer, lors de la manifestation anti-gouvernementale prévue ce samedi après-midi dans la capitale, une grève générale dans le pays, si le gouvernement n'accède pas à leurs demandes . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Un comité de grève des syndicats compte annoncer, lors de la manifestation anti-gouvernementale prévue ce samedi après-midi dans la capitale, une grève générale dans le pays, si le gouvernement n'accède pas à leurs demandes . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Gergely Kovács : « Viktor Orbán réfléchira désormais à deux fois avant de modifier une loi »
"Fini de rire pour le satirique Parti du Chien à deux queues ? Le
célèbre MKKP, connu dans toute la Hongrie pour tourner en dérision
depuis 2010 le Fidesz et son dirigeant Viktor Orbán, semble en tout cas
changer progressivement de registre. Son fondateur Gergely Kovács fait
le point sur l'année écoulée et les manifestations de décembre contre la
"loi esclavagiste". Entretien réalisé par l'hebdomadaire Magyar Hang.
On a pu lire sous de nombreux posts de votre page Facebook consacrés aux manifestations des commentaires disant "ça n'est plus drôle". Cela signifie-t-il qu'il y a des sujets dont on ne peut plus rire . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
On a pu lire sous de nombreux posts de votre page Facebook consacrés aux manifestations des commentaires disant "ça n'est plus drôle". Cela signifie-t-il qu'il y a des sujets dont on ne peut plus rire . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Contre Orbán et sa loi «esclavagiste», l’union fait la fronde
"Depuis le vote, le 12 décembre, d’un texte permettant aux entreprises d’imposer davantage d’heures supplémentaires et de les payer trois ans plus tard, l’opposition, unie, manifeste de manière non violente. Elle réclame aussi l’indépendance des médias et de la justice.
C’est une fronde sociale inédite à laquelle fait face le Premier ministre hongrois, le nationaliste Viktor Orbán. Après une vague de manifestations en décembre, des milliers de personnes devraient à nouveau défiler ce samedi à Budapest, à l’appel de l’opposition, d’organisations civiles et de syndicats. Ces derniers pourraient lancer un appel à la grève. Objet de la colère : une nouvelle loi travail votée le 12 décembre, qui porte à 400 par an - au lieu de 250 actuellement - le nombre d’heures supplémentaires qu’un employeur public ou privé peut demander à ses salariés. La loi autorise l’entreprise à payer ces heures… trois ans plus tard, selon un mode de calcul défavorable aux salariés." La suite sur liberation.fr
C’est une fronde sociale inédite à laquelle fait face le Premier ministre hongrois, le nationaliste Viktor Orbán. Après une vague de manifestations en décembre, des milliers de personnes devraient à nouveau défiler ce samedi à Budapest, à l’appel de l’opposition, d’organisations civiles et de syndicats. Ces derniers pourraient lancer un appel à la grève. Objet de la colère : une nouvelle loi travail votée le 12 décembre, qui porte à 400 par an - au lieu de 250 actuellement - le nombre d’heures supplémentaires qu’un employeur public ou privé peut demander à ses salariés. La loi autorise l’entreprise à payer ces heures… trois ans plus tard, selon un mode de calcul défavorable aux salariés." La suite sur liberation.fr
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Hongrie: la mobilisation ne faiblit pas contre la «loi esclavagiste»
"Après la trêve des confiseurs, les syndicats hongrois et les partis
d'opposition appellent à reprendre dès ce samedi les manifestations
contre une réforme controversée du code du travail.
Ce qui s'est passé mercredi était illégal. Des militants politiques agressifs ainsi que des représentants des organisations de George Soros ont pris part à la manifestation en affrontant la police avec violence ». Depuis le lendemain du vote d'une réforme contestée du code du travail le 12 décembre dernier - lire par aileurs -, c'est ainsi, en traîtres à la solde d’intérêts étrangers que le Fidesz de Viktor Orbán dépeint sur les réseaux sociaux les quelques milliers de manifestants qui s'étaient rassemblés dans la soirée sur la place Kossuth à Budapest. « Le plan Soros a commencé », avait même titré le très pro-Fidesz Origo, également en référence au milliardaire hongro-américain, que le pouvoir accuse obsessionnellement de vouloir déstabiliser « les défenseurs de l'Europe chrétienne »." La suite sur lesoir.be
Ce qui s'est passé mercredi était illégal. Des militants politiques agressifs ainsi que des représentants des organisations de George Soros ont pris part à la manifestation en affrontant la police avec violence ». Depuis le lendemain du vote d'une réforme contestée du code du travail le 12 décembre dernier - lire par aileurs -, c'est ainsi, en traîtres à la solde d’intérêts étrangers que le Fidesz de Viktor Orbán dépeint sur les réseaux sociaux les quelques milliers de manifestants qui s'étaient rassemblés dans la soirée sur la place Kossuth à Budapest. « Le plan Soros a commencé », avait même titré le très pro-Fidesz Origo, également en référence au milliardaire hongro-américain, que le pouvoir accuse obsessionnellement de vouloir déstabiliser « les défenseurs de l'Europe chrétienne »." La suite sur lesoir.be
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vendredi 4 janvier 2019
Hongrie: l'opposition promet à Orban une année de «résistance»
"Les députés de l'opposition hongroise ont affiché aujourd'hui leur unité
en se jurant de faire de 2019 "l'année de la résistance" au premier
ministre national-conservateur Viktor Orban, à deux jours d'une nouvelle manifestation antigouvernementale à Budapest.
"Nous jurons de faire de 2019 l'année de la résistance, à l'intérieur comme à l'extérieur du parlement, et ceci avec l'unité et la coopération de tous les partis de l'opposition", ont déclaré ces députés, lors d'une cérémonie inédite organisée dans un froid glacial devant les bâtiments de l'assemblée à Budapest. L'opposition réclame en outre la suppression d'une récente réforme de la justice menaçant de réduire l'indépendance des magistrats, et davantage de liberté pour les médias publics." La suite sur lefigaro.fr
"Nous jurons de faire de 2019 l'année de la résistance, à l'intérieur comme à l'extérieur du parlement, et ceci avec l'unité et la coopération de tous les partis de l'opposition", ont déclaré ces députés, lors d'une cérémonie inédite organisée dans un froid glacial devant les bâtiments de l'assemblée à Budapest. L'opposition réclame en outre la suppression d'une récente réforme de la justice menaçant de réduire l'indépendance des magistrats, et davantage de liberté pour les médias publics." La suite sur lefigaro.fr
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La ligne maîtresse 18 Jan - 27 Mar 2019 Institut hongrois de Paris
"Vernissage le 17 Jan 2019
L’exposition « La ligne maîtresse » à l’Institut hongrois, à Paris, présente des dessins de Lajos Szalay qui fut reconnu par Pablo Picasso comme « le plus grand dessinateur du monde » après lui-même. Des œuvres caractérisées par une grande maîtrise de la ligne.
L’exposition « La ligne maîtresse » à l’Institut hongrois de Paris met à l’honneur le dessinateur et illustrateur Lajos Szalay qui développa son art à partir des années 1930.
Lajos Szalay, un des plus grands dessinateurs du monde selon Pablo Picasso
Le titre de l’exposition, « La ligne maîtresse », souligne d’emblée l’importance de la ligne dans la pratique de Lajos Szalay : c’est sa grande maîtrise de celle-ci qui anime ses dessins et suffit à leur conférer volume, expressivité et détails. Représentant majeur du dessin au crayon européen et figure incarnant le renouveau de l’art hongrois du XXe siècle, Lajos Szalay fut reconnu par Pablo Picasso comme « le plus grand dessinateur du monde » après lui-même." La suite sur paris-art.com
L’exposition « La ligne maîtresse » à l’Institut hongrois, à Paris, présente des dessins de Lajos Szalay qui fut reconnu par Pablo Picasso comme « le plus grand dessinateur du monde » après lui-même. Des œuvres caractérisées par une grande maîtrise de la ligne.
L’exposition « La ligne maîtresse » à l’Institut hongrois de Paris met à l’honneur le dessinateur et illustrateur Lajos Szalay qui développa son art à partir des années 1930.
Lajos Szalay, un des plus grands dessinateurs du monde selon Pablo Picasso
Le titre de l’exposition, « La ligne maîtresse », souligne d’emblée l’importance de la ligne dans la pratique de Lajos Szalay : c’est sa grande maîtrise de celle-ci qui anime ses dessins et suffit à leur conférer volume, expressivité et détails. Représentant majeur du dessin au crayon européen et figure incarnant le renouveau de l’art hongrois du XXe siècle, Lajos Szalay fut reconnu par Pablo Picasso comme « le plus grand dessinateur du monde » après lui-même." La suite sur paris-art.com
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jeudi 3 janvier 2019
« Loi esclavagiste » : le Fidesz choisit la politique de la chaise vide face à une opposition déterminée
"Les députés et le gouvernement Fidesz ont boudé ce matin les travées du
Parlement, réuni en session extraordinaire à la demande de l'opposition.
Les parlementaires de gauche et du Jobbik ont appelé à poursuivre la
mobilisation contre la "loi esclavagiste". Une grande manifestation
unitaire est organisée samedi à Budapest par les syndicats.
La confrontation entre l'opposition et la majorité parlementaire ultra-dominée par le Fidesz n'a pas eu lieu. Ce matin, les députés de tous les partis de gauche ainsi que le Jobbik et le LMP ont demandé et obtenu la tenue d'une session extraordinaire au sujet de l'adoption le 12 décembre dernier de la "loi esclavagiste", ainsi que ses contempteurs ont choisi de baptiser cette réforme d'inspiration néolibérale du code du travail. Comme ils l'avaient annoncé, les parlementaires Fidesz ainsi que le gouvernement ont boycotté cette séance de questions-réponses . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
La confrontation entre l'opposition et la majorité parlementaire ultra-dominée par le Fidesz n'a pas eu lieu. Ce matin, les députés de tous les partis de gauche ainsi que le Jobbik et le LMP ont demandé et obtenu la tenue d'une session extraordinaire au sujet de l'adoption le 12 décembre dernier de la "loi esclavagiste", ainsi que ses contempteurs ont choisi de baptiser cette réforme d'inspiration néolibérale du code du travail. Comme ils l'avaient annoncé, les parlementaires Fidesz ainsi que le gouvernement ont boycotté cette séance de questions-réponses . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Le Festival Made in Pécs, pour découvrir le «Liverpool hongrois»
"Pécs est une ville bien à part en Hongrie. En plus d’être sans aucun
doute l’un des endroits les plus agréables à vivre du pays, elle est
aussi le berceau de nombreux groupes de musique, qui font d’elle une
sorte de Liverpool hongrois. A découvrir ce samedi 5 janvier à
l’occasion du Made in Pécs Fesztivál . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
En Hongrie, les femmes mènent la contestation contre Viktor Orbán
"L’avenir de la démocratie hongroise passe-t-elle par les femmes ? Le
mouvement de contestation qui secoue le pays dirigé par le leader
hongrois Viktor Orbán depuis mi-décembre est essentiellement mené par
des femmes, pourtant très minoritaires en politique.
Budapest (Hongrie), de notre correspondant.– « Je veux faire un commentaire et vous refusez de me donner la parole. Vous dites que nous sommes dans un pays libre, mais c’est une dictature. » Ce sont les derniers mots que l’on entend. La suite du discours de la députée indépendante Bernadett Szél est inaudible ; le vice-président du Parlement, contrôlé aux deux tiers par le Fidesz de Viktor Orbán, vient de couper son micro. Comme il l’a fait juste avant elle pour une députée socialiste et une écologiste." La suite sur mediapart.fr (article payant)
Budapest (Hongrie), de notre correspondant.– « Je veux faire un commentaire et vous refusez de me donner la parole. Vous dites que nous sommes dans un pays libre, mais c’est une dictature. » Ce sont les derniers mots que l’on entend. La suite du discours de la députée indépendante Bernadett Szél est inaudible ; le vice-président du Parlement, contrôlé aux deux tiers par le Fidesz de Viktor Orbán, vient de couper son micro. Comme il l’a fait juste avant elle pour une députée socialiste et une écologiste." La suite sur mediapart.fr (article payant)
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2019, sans avoir froid aux yeux
"Pour
certains, impossible d'entrer dans la nouvelle année sans s'élancer
dans les eaux glacées du Danube, comme à Nagymaros, en Hongrie.
Quelques
dizaines de courageux se sont immergés dans le fleuve, pour se laisser
saisir par une eau qui flirtait avec les trois degrés, soit trois degrés
de plus, tout de même, que le mercure affiché à l'extérieur.
"Pour moi, c'était la première fois", explique une baigneuse, "je n'ai eu de l'eau que jusqu'à la poitrine, mais l'année prochaine, je m'immergerai complètement"." La suite et vidéo sur euronews.commercredi 2 janvier 2019
L’ami d’Orbán est devenu l’homme le plus riche de Hongrie
"Selon le magazine « Forbes », Lőrinc Mészáros, ami de longue date du
Premier ministre hongrois, est devenu l'homme le plus riche de Hongrie, à
la faveur d'une année 2018 qui l'a vu tripler sa fortune.
Sur la seule année 2018, Lőrinc Mészáros, un homme de 52 ans, a triplé sa fortune, qui s'élève aujourd'hui à 381 milliards de forint, soit 1,2 milliard d'euros, selon les calculs du magazine économique « Forbes . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Sur la seule année 2018, Lőrinc Mészáros, un homme de 52 ans, a triplé sa fortune, qui s'élève aujourd'hui à 381 milliards de forint, soit 1,2 milliard d'euros, selon les calculs du magazine économique « Forbes . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Orbán était à Brasília pour l’investiture de Bolsonaro
"Le chef du gouvernement hongrois Viktor Orbán compte parmi les rares
dirigeants de ce monde à avoir participé à la cérémonie d'investiture de
Jair Bolsonaro, qui a pris ses fonctions de président du Brésil au 1er
janvier.
C'est depuis la capitale brésilienne, Brasília, que Viktor Orbán a adressé ses vœux de bonne année à la Hongrie (« Boldog új évet, Magyarország »), peu après minuit le 1er janvier . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
C'est depuis la capitale brésilienne, Brasília, que Viktor Orbán a adressé ses vœux de bonne année à la Hongrie (« Boldog új évet, Magyarország »), peu après minuit le 1er janvier . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Rêve de Hongrie avec Barbara Hannigan vendredi 25 janvier 2019 de 20 h à 23 h à Radio France
De Haydn à Bartók et Ligeti : une histoire de la musique hongroise
en six partitions. Avec en prime deux pages pour soprano et cymbalum de
György Kurtág interprétées par la talentueuse Barbara Hannigan, qui une
fois encore fait se télescoper son aura de chanteuse et ses dons de
chef d’orchestre.
Béla Bartók
Rhapsodie n° 1 pour violon et orchestre
Joseph Haydn
Symphonie n°86
György Ligeti
Concerto romanesc
György Kurtág
Hét Dal pour soprano et cymbalum
Zur Erinnerung an einen Winterabend, pour soprano, cymbalum et violon
Béla Bartók
Le Mandarin merveilleux, suite
Luigi Gaggero cymbalum
Ji Yoon Park violon
Orchestre Philharmonique de Radio France
Barbara Hannigan soprano et direction
Ce concert est diffusé en direct sur France Musique.
Source : Facebook
Radio France
116, avenue du Président Kennedy, 75016 Paris
Béla Bartók
Rhapsodie n° 1 pour violon et orchestre
Joseph Haydn
Symphonie n°86
György Ligeti
Concerto romanesc
György Kurtág
Hét Dal pour soprano et cymbalum
Zur Erinnerung an einen Winterabend, pour soprano, cymbalum et violon
Béla Bartók
Le Mandarin merveilleux, suite
Luigi Gaggero cymbalum
Ji Yoon Park violon
Orchestre Philharmonique de Radio France
Barbara Hannigan soprano et direction
Ce concert est diffusé en direct sur France Musique.
Source : Facebook
Radio France
116, avenue du Président Kennedy, 75016 Paris
Sziget Festival 2019 : Votre pass Early Bird à prix réduit jusqu’au 10 janvier !
"L’édition 2019 du Sziget Festival aura lieu du 7 au 13 août à Budapest et il ne vous reste plus que quelques jours afin de profiter des pass Early Bird et voir vos artistes préférés à prix réduit !
S’il y a un festival à faire au moins une fois dans sa vie, c’est bien le Sziget Festival. L’événement qui a lieu chaque année à Budapest dure pas moins d’une semaine et réunit des amoureux de la musique et de la fête venus des quatre coins d’Europe. L’an dernier ce sont entre autres Kendrick Lamar, Lana Del Rey ou encore les Arctic Monkeys qui ont enflammé la Grande Scène du festival, et les premiers noms annoncés de la prochaine édition sont tout aussi prestigieux ! Accrochez-vous bien, Ed Sheeran qui a battu un record impressionnant sur Spotify, twenty one pilots, Martin Garrix, The Blaze, Foo Fighters, Florence + The Machine, Kodaline, Jungle, Parcels ou encore Idles seront de la partie cette année ! Notez bien les dates, le Sziget Festival 2019 aura lieu du 7 au 13 août, qu’est ce que vous attendez pour prendre vos places ?" La suite sur virginradio.fr
S’il y a un festival à faire au moins une fois dans sa vie, c’est bien le Sziget Festival. L’événement qui a lieu chaque année à Budapest dure pas moins d’une semaine et réunit des amoureux de la musique et de la fête venus des quatre coins d’Europe. L’an dernier ce sont entre autres Kendrick Lamar, Lana Del Rey ou encore les Arctic Monkeys qui ont enflammé la Grande Scène du festival, et les premiers noms annoncés de la prochaine édition sont tout aussi prestigieux ! Accrochez-vous bien, Ed Sheeran qui a battu un record impressionnant sur Spotify, twenty one pilots, Martin Garrix, The Blaze, Foo Fighters, Florence + The Machine, Kodaline, Jungle, Parcels ou encore Idles seront de la partie cette année ! Notez bien les dates, le Sziget Festival 2019 aura lieu du 7 au 13 août, qu’est ce que vous attendez pour prendre vos places ?" La suite sur virginradio.fr
Hongrie: Orban sur les hauteurs de Budapest
"Viktor Orban commence l’année 2019 en fanfare: le premier ministre hongrois prend ses nouveaux quartiers, mardi 1er janvier, sur la colline du château de Buda.
Viktor Orban a fait restaurer et aménager à grands frais (pour un coût d’au moins 80 millions d’euros, selon une estimation faite en 2017) l’ancien couvent des Carmélites, reconverti en casino et en théâtre, sur ordre de l’empereur Joseph II, en 1784. Le premier ministre hongrois délaisse l’ancien siège du gouvernement, situé dans le bâtiment du Parlement, sur l’autre rive du Danube.
L’homme fort de la Hongrie aurait souhaité, en réalité, s’installer dans un autre édifice prestigieux du quartier du château : le palais Sandor, lieu de travail et de résidence de ses prédécesseurs entre 1867 et 1945, situé non loin du Palais royal, ancienne résidence des rois de Hongrie. L’édifice, une fois réhabilité, avait, toutefois été converti par Péter Medgyessy, premier ministre entre 2002 et 2004, en résidence officielle du président de la République. Viktor Orban devra donc attendre la fin du mandat du président Janos Ader en 2022 pour y emménager." La suite sur blogs.la-croix.com
Viktor Orban a fait restaurer et aménager à grands frais (pour un coût d’au moins 80 millions d’euros, selon une estimation faite en 2017) l’ancien couvent des Carmélites, reconverti en casino et en théâtre, sur ordre de l’empereur Joseph II, en 1784. Le premier ministre hongrois délaisse l’ancien siège du gouvernement, situé dans le bâtiment du Parlement, sur l’autre rive du Danube.
L’homme fort de la Hongrie aurait souhaité, en réalité, s’installer dans un autre édifice prestigieux du quartier du château : le palais Sandor, lieu de travail et de résidence de ses prédécesseurs entre 1867 et 1945, situé non loin du Palais royal, ancienne résidence des rois de Hongrie. L’édifice, une fois réhabilité, avait, toutefois été converti par Péter Medgyessy, premier ministre entre 2002 et 2004, en résidence officielle du président de la République. Viktor Orban devra donc attendre la fin du mandat du président Janos Ader en 2022 pour y emménager." La suite sur blogs.la-croix.com
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mardi 1 janvier 2019
Attila József « Mendiant de la beauté »
"Les
fracas du monde font vibrer leurs vers. Pour l’Humanité, l’écrivain
Joseph Andras rend corps à des poètes aux prises avec le cours des
choses. Des vies intenses, ancrées dans la lutte, tenues par un idéal
collectif. Aujourd’hui, Attila József, insurgé sans espoir.
«Si
je tardais, laissez la porte ouverte », demande un homme en sortant
d’une pension familiale au bord du lac Balaton. Un livre de Victor Hugo
est ouvert à sa table. Il se rend, lourd de ses 32 ans, dans la gare
d’un village sans soleil dont le nom, sitôt lu, nous file entre les
doigts faute de parler la langue que l’on parle dessous ses toits. Puis
il s’allonge, dira-t-on, sur les rails. Un train de marchandises se
tient à l’arrêt. Lorsque celui-ci se mettra en marche, cet homme
réussira enfin ce qu’il tentait depuis son enfance : ne plus en être." La suite sur humanite.fr
Hongrie : Orbán accuse (encore) Soros de mener l'agitation
"Après les manifestations contre la loi travail, le Premier ministre s'explique. Selon lui, George Soros crée l'agitation en Hongrie, en Italie et en Autriche...
Se peut-il que Viktor Orbán tremble sur ses bases ? Au moment où Emmanuel Macron subissait le mouvement des Gilets jaunes, l'homme fort de Budapest était en butte à des manifestations hostiles dans sa capitale, mi-décembre. Les quelques milliers de manifestants hongrois, rassemblant étudiants et opposants politiques, ne portaient pas de gilets jaunes mais s'organisaient pareillement sur les réseaux sociaux pour aller au choc avec les forces de police. Certains ont même envahi le siège de la télévision publique MTVA, laquelle ne pipait mot des manifestations... Bref, quelques nuits chaudes ont décidé le Premier ministre hongrois à sortir de son silence pour se justifier sur la radio nationale, Kossuth Radio.
Une fois de plus, Orbán a accusé le milliardaire George Soros d'être le commanditaire caché du mouvement. Et pas seulement en Hongrie." La suite sur lepoint.fr
Se peut-il que Viktor Orbán tremble sur ses bases ? Au moment où Emmanuel Macron subissait le mouvement des Gilets jaunes, l'homme fort de Budapest était en butte à des manifestations hostiles dans sa capitale, mi-décembre. Les quelques milliers de manifestants hongrois, rassemblant étudiants et opposants politiques, ne portaient pas de gilets jaunes mais s'organisaient pareillement sur les réseaux sociaux pour aller au choc avec les forces de police. Certains ont même envahi le siège de la télévision publique MTVA, laquelle ne pipait mot des manifestations... Bref, quelques nuits chaudes ont décidé le Premier ministre hongrois à sortir de son silence pour se justifier sur la radio nationale, Kossuth Radio.
Une fois de plus, Orbán a accusé le milliardaire George Soros d'être le commanditaire caché du mouvement. Et pas seulement en Hongrie." La suite sur lepoint.fr
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