Depuis l'arrivée au pouvoir, fin mai, de Viktor Orban, le très autoritaire leader du parti conservateur, un climat délétère règne en Hongrie. Pour redresser les finances publiques, le Premier ministre a choisi de taxer en priorité les grands groupes étrangers.
Nauséabond. C'est le terme qui revient le plus souvent ces temps-ci pour décrire le climat qui règne en Hongrie. Qu'ils émanent des médias, des organisations de défense des droits de l'homme ou des industriels étrangers, les signaux d'alerte se multiplient depuis l'arrivée au pouvoir, fin mai, du nouveau Premier ministre hongrois, le très autoritaire Viktor Orban." La suite sur lesechos.fr
jeudi 6 janvier 2011
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