"Les critiques ne se concentrent pas sur les objectifs -ramener notamment la dette publique de 80 à 65/70% du PIB à la fin 2014 -mais sur les moyens pour les atteindre, considérés comme trop vagues.
Viktor Orban, le Premier ministre hongrois qui assure en ce moment la présidence de l'Union européenne, doit convaincre. Très dépendant des investissements internationaux pour se financer, son pays affiche la dette publique la plus élevée des pays d'Europe centrale (80% du PIB)." La suite sur lesechos.fr
jeudi 3 mars 2011
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