"Entrée dans l’Union européenne en 2004, la Hongrie
hésite toujours quant à la façon de traiter son passé soviétique. Entre
table rase coupant définitivement les ponts avec une période sombre de
son histoire et volonté de composer avec celle-ci, les forces politiques
du pays se déchirent sur de nombreux points. Au premier rang desquels
l’aspect démocratique donné au pays, à l’heure où la Fidesz (« le
changement »), le parti au pouvoir, semble mettre en place les
instruments d’une domination durable sur la Hongrie.
Si les élections législatives ne se tiendront que dans deux ans en Hongrie, de nombreux observateurs, parmi lesquels la presse nationale hongroise, dénoncent les manœuvres de Viktor Orbàn, ministre-président (chef du gouvernement, également appelé Premier ministre) national-conservateur, qui chercherait à s’assurer la mainmise sur la vie démocratique du pays au travers de lois aux objectifs parfois douteux." La suite sur affaires-strategiques.info
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