jeudi 15 novembre 2012
La démocratie attaquée comme les droits sociaux
"Un pays sans identité démocratique, c’est ce que l’écrivain Imre
Kertèsz, prix Nobel de littérature 2002, pense de la Hongrie. Le
gouvernement ultraconservateur de Viktor Orban, arrivé au pouvoir en
2010, en pleine crise économique, sociale et politique, ne fait rien
pour le démentir. Par exemple, la loi sur la presse qu’il a fait
approuver en 2011 au moyen d’une majorité parlementaire caporalisée a
créé une nouvelle institution, appelée Centralnewsroom. Cette dernière
est conçue pour centraliser et contrôler l’information et ramener
l’ordre dans un domaine dans lequel, selon les collaborateurs du premier
ministre, régnait le chaos provoqué par la gauche. C’est ainsi que des
journalistes ont pu être mis à l’écart de leur rédaction, ou une radio
diffusant de la musique pour les jeunes fermée." La suite sur humanite.fr
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