"Nationalisme, lois antisociales, exaltation de la classe moyenne, réforme autoritaire de la Constitution, le projet de Viktor Orbán a profondément marqué la Hongrie depuis 2010. Sans opposition crédible, le premier ministre devrait rempiler.
A quelques jours des élections législatives, Viktor Orbán s’est offert une dernière démonstration de force. Dans les rues de Budapest, plus de 100 000 personnes ont défilé pour soutenir l’action du premier ministre. En avait-il seulement besoin? Nationaliste, réactionnaire, populiste, le premier ministre est surtout extrêmement populaire. Le candidat du Parti civique (ou Fidesz, selon son ancien acronyme) ne cesse de creuser l’écart dans les sondages, les derniers lui donnant une avance d’environ vingt points sur la coalition de gauche (lire ci-dessous)." La suite sur lecourrier.ch
vendredi 4 avril 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.