"En Hongrie, un projet de loi menace les organisations non
gouvernementales en les obligeant à communiquer sur leurs
financements. La presse d’opposition fulmine, tandis que les
plumes pro-Orbán réclament de la fermeté.
En 2007, Viktor Orbán sollicitait l’Union hongroise pour les libertés civiles (TASZ) lors d’un procès intenté à l’encontre des brutalités policières constatées durant les violentes émeutes de l’automne précédent. Mais, dix ans plus tard, cette ONG ainsi que le Comité Helsinki de Budapest, la section locale de Transparency International et une soixantaine d’autres ONG appuyées par l’Open Society du philanthrope George Soros se retrouvent sous la menace d’une loi les obligeant à révéler l’origine de leur patrimoine et de leurs subsides." La suite sur courrierinternational.com
vendredi 20 janvier 2017
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