"Conversation avec Catherine Fay, traductrice du roman le plus krúdyen de Sándor Márai paru aux éditions Albin Michel.
Récit de la dernière journée de la vie de Sindbad (protagoniste du
roman, alter ego de l’écrivain hongrois, Gyula Krúdy) le roman contient
relativement peu d’action. Sindbad va aux bains, écrit une nouvelle dans
un café littéraire, déjeune et boit jusqu’à l’aube à l’hôtel London.
Qu’est-ce que tu répondrais au lecteur qui formulerait la même critique
que l’imprimeur du journal réceptionnant la nouvelle de Sindbad ? «
Allons-nous publier cette chronique, monsieur le rédacteur ?...
C’est-à-dire que sur quatre colonnes il ne s’y passe rien d’autre qu’un
homme qui mange un poisson !... »
Je lui répondrais qu’il y a plusieurs niveaux de lecture et que
s’arrêter à un résumé des faits est assez réducteur. Il y a beaucoup
d’œuvres de fiction – et ce, dans la littérature mondiale – qui
pourraient se résumer en deux lignes." La suite sur litteraturehongroise.fr
mardi 7 novembre 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.