"Dans sa chronique, Sylvie Kauffman,
éditorialiste au « Monde », note que Pékin se livre à une cour effrénée
à Varsovie ou à Budapest pour promouvoir sa Route de la soie.
Chronique. Comme l’Amérique de George W. Bush il y a quinze ans, la Chine de Xi Jinping a compris qu’en ce début de XXIe
siècle, il y a deux Europe : la vieille et la nouvelle. Dans cette
vision, la première apparaît rétive, bourrée de préjugés, campée sur une
grandeur passée qu’elle prétend protéger ; la seconde est en devenir,
plus avide de progrès, moins regardante et en demande, aussi, de
nouveaux partenaires. Et la nouvelle Chine aime la nouvelle Europe.
Une partie de cette nouvelle Europe s’est intégrée à la vieille, un peu comme on accède à l’establishment sans forcément en épouser toutes les valeurs. La nouvelle Chine a bien compris ces subtilités et a choisi la nouvelle Europe comme partenaire privilégié ; comme tête de pont, en quelque sorte, vers une vieille Europe encore si snob et distante." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Une partie de cette nouvelle Europe s’est intégrée à la vieille, un peu comme on accède à l’establishment sans forcément en épouser toutes les valeurs. La nouvelle Chine a bien compris ces subtilités et a choisi la nouvelle Europe comme partenaire privilégié ; comme tête de pont, en quelque sorte, vers une vieille Europe encore si snob et distante." La suite sur lemonde.fr (article payant)
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