"Ecrit en 1940 en hommage à l’écrivain hongrois Gyula Krúdy (1878-1933), l’auteur de Sindbad ou la nostalgie, nommé ici « Sindbad le marin », « à la fois personnage réel et être de fiction »,
ce roman de Sándor Márai est une quête splendide, à la fois drôle et
bouleversante, d’un pays disparu. Krúdy, le vrai, écrivain plutôt
confidentiel, était aussi le symbole de « l’autre Hongrie », évanouie dans la modernité. Voici donc, dans Dernier Jour à Budapest, Sindbad
quittant un matin son domicile avec promesse faite à sa femme qu’il
rapportera le soir une robe pour sa fille et sera à l’heure pour manger
du chou farci. Mais comme la journée de printemps s’annonce passionnante
et occasion de maraude, Sindbad décide d’errer en fiacre dans la ville,
à la recherche de la silhouette des vrais écrivains et non pas de ceux
qui sont devenus de vulgaires chroniqueurs à scandale ou de simples «amuseurs publics»." La suite sur telerama.fr
mercredi 15 novembre 2017
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