"Le premier ministre, Viktor Orban,
multiplie les initiatives contre le milliardaire, jugé trop libéral et
trop favorable aux migrants. Les électeurs hongrois sont même appelés à
se prononcer, avant le 26 novembre, sur l’ennemi public numéro un du
pouvoir.
En principe, lorsqu’un enfant réussit à
l’étranger et réinvestit une partie de sa fortune dans sa patrie
d’origine pour y créer une université, cela devrait le rendre populaire.
Surtout lorsqu’un des premiers bénéficiaires de ses largesses parvient
par la suite à la tête du gouvernement. Ce n’est pourtant pas vraiment
pour tresser des lauriers à George Soros, un milliardaire de 87 ans, que
le premier ministre hongrois, Viktor Orban, fait afficher son effigie
sur des centaines de panneaux publicitaires dans tout le pays. On y voit
un Soros souriant accompagné d’un slogan qui sonne comme une menace : « Rira bien qui rira le dernier. » C’est que Soros, à ses yeux, est l’ennemi public numéro un." La suite sur lemonde.fr (article payant)
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