lundi 31 mars 2025

«Je suis Marine», «déclaration de guerre» : Orban et Salvini apportent leur soutien à Marine Le Pen après sa condamnation

"Le Kremlin a également dénoncé la condamnation de la présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée national à une peine d’inéligibilité avec exécution provisoire, ce 31 mars.

Marine Le Pen a été condamnée à une peine d’inéligibilité s’appliquant immédiatement ce lundi 31 mars dans l’affaire des assistants parlementaires. «Il s’agit de veiller à ce que les élus comme tous les justiciables ne bénéficient pas d’un régime de faveur», a déclaré la présidente Bénédicte de Perthuis. Cette condamnation pourrait empêcher Marine Le Pen de se présenter à l’élection présidentielle de 2027, alors que le Rassemblement national, premier parti d’opposition à l’Assemblée nationale, caracole en tête des sondages.

Les alliés européens de Marine Le Pen ont déjà commencé à réagir, volant à son secours. Viktor Orban, le premier ministre nationaliste de Hongrie, a publié un message sur X : «Je suis Marine»." La suite sur lefigaro.fr

En Hongrie, des mesures anti-inflation qui ciblent les enseignes étrangères

"L'inflation flambe de nouveau en Hongrie et le gouvernement de Viktor Orban a dégainé de nouvelles mesures de contrôle des prix. Mais pour la retraitée Erzsebet Risztics, les modalités sont "complètement idiotes".

Depuis la mi-mars, les enseignes réalisant un certain chiffre d'affaires ne peuvent empocher plus de 10% de marge sur la vente de trente produits alimentaires de base, comme les œufs, le lait ou le poulet.

A Tiszaroff, situé dans l'une des régions les plus pauvres du pays d'Europe centrale, peu se réjouissent de ce nouveau mécanisme.

"Seules les multinationales sont concernées et nous ne faisons pas nos courses là-bas", explique à l'AFP la sexagénaire, qui s'approvisionne chez l'épicier du coin faute de voiture ou de transports publics de qualité pour se rendre dans les supermarchés des environs." La suite sur tv5monde.com

Netanyahu en visite en Hongrie le 2 avril 2025

"Au cours de sa visite, le Premier ministre devrait s'entretenir avec son homologue hongrois du soutien potentiel de la Hongrie au plan de Donald Trump pour Gaza.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé dimanche son bureau, malgré un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l’humanité à Gaza.

Au cours de sa visite, Netanyahu devrait s’entretenir avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban et d’autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.

Lors de sa rencontre avec Orban, Netanyahu discutera du soutien potentiel de la Hongrie au plan de Donald Trump pour Gaza, a déclaré une source israélienne au Times of Israel." La suite sur timesofisrael.com

Comment Benyamin Netanyahou, visé par un mandat d'arrêt de la CPI, peut-il se rendre en Hongrie ?

"Au cours de sa visite, le Premier ministre israélien doit s'entretenir avec son homologue hongrois Viktor Orban, en dépit des soupçons de crimes de guerre et contre l'humanité.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé dimanche 30 mars 2025 son bureau, malgré un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l’humanité à Gaza.

Au cours de sa visite, M. Netanyahou devrait s’entretenir avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban et d’autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.
M. Orban a adressé une invitation à M. Nétanyahou malgré le mandat d’arrêt de la CPI, émis l’année dernière. Il avait fermement condamné la décision de la Cour, la qualifiant de « honteuse »." La suite sur actu.fr 

Coupe du monde d’escrime (épée) à Marrakech: Les Hongrois Gergely Siklosi et Eszter Muhari remportent la médaille d’or

Medi1news - Map

"L'escrimeur hongrois Gergely Siklosi et sa compatriote Eszter Muhari ont remporté les médailles d’or de la Coupe du monde d'escrime (épée) dans les catégories hommes et dames, disputée samedi à la salle couverte omnisports M’Hamid à Marrakech.

Ainsi, dans l'épreuve individuelle (dames), Eszter Muhari a battu en finale la Russe Aizanat Murtazaeva par 10 touches à 9 lors d'un duel très serré.

Chez les Hommes, l’épéiste hongrois Gergely Siklosi (3è mondial) a décroché l’or après sa victoire face au Tchèque Jakub Jurka (27è mondial) par 15 touches à 14." La suite sur medi1news.com

dimanche 30 mars 2025

Récital de piano d'Herbert du Plessis le vendredi 16 mai 2025 de 20h à 22h30 à l'Institut National des Jeunes Aveugles

INJA 56, boulevard des Invalides 75007 Paris

L’Association Musicale Franco-Hongroise et Isabelle Oehmichen sont heureuses de vous inviter à un récital exceptionnel du pianiste Herbert du Plessis, qui se tiendra le vendredi 16 mai 2025, de 20h à 22h30, à la salle Marchal de l’Institut National des Jeunes Aveugles. Au programme, un voyage musical captivant à travers les œuvres de grands compositeurs : Mozart, avec sa clarté élégante, Chopin, maître du romantisme, Fauré, aux harmonies subtiles, et Liszt, virtuose flamboyant. Ce récital promet une soirée d’émotion et de beauté, portée par le talent remarquable d’Herbert du Plessis. Réservez dès maintenant cette date pour une expérience musicale inoubliable dans un lieu empreint de cœur et d’histoire.

Places 25 euros (20 réservation en avance) et 15 (étudiants)

https://www.helloasso.com/associations/association-musicale-franco-hongroise

Benyamin Nétanyahou se rendra en Hongrie mercredi malgré le mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale

"Inconditionnel soutien du Premier ministre israélien, le chef du gouvernement hongrois, Viktor Orban, avait fustigé en novembre la "décision honteuse" de la CPI.

Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé son bureau dimanche 30 mars, malgré un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l'humanité dans la bande de Gaza. Au cours de sa visite, il devrait s'entretenir avec son homologue hongrois, Viktor Orban, et d'autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.

Comme l'ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, Benyamin Nétanyahou est visé depuis fin novembre par un mandat d'arrêt. Israël a fait appel contre cette procédure, dénonçant une décision "antisémite" et des "accusations absurdes". Inconditionnel soutien du dirigeant israélien, Viktor Orban avait fustigé la "décision honteuse de la Cour pénale internationale" et avait adressé une invitation à Benyamin Nétanyahou." La suite sur francetvinfo.fr

Sur Netflix, une série documentaire accablante pour Bertrand Cantat rend justice à Marie Trintignant et Kristina Rady

"22 ans après la mort de Marie Trintignant, qu’il a battue à mort, douze ans après le décès de Kristina Rady, son épouse qu’il a poussée au suicide, la série documentaire remarquable en trois épisodes reprend le récit, pas à pas, de l’emprise exercée par le chanteur de Noir Désir sur ces femmes et de sa violence, romantisée par la presse.

Le 27 juillet 2003, tombe sur l’AFP une dépêche effarante : La comédienne Marie Trintignant est dans le coma à Vilnius, en Lituanie, où elle terminait avec sa mère Nadine et son fils Roman Kolinka le tournage d’une mini-série de France 2 consacrée à Colette. La dépêche ajoute que son état est consécutif à des coups portés par son compagnon d’alors, le chanteur emblématique du groupe de rock Noir Désir, Bertrand Cantat. L’actrice, transportée à Paris, décède quelques jours plus tard, le 1er août, sans avoir repris connaissance.

Au cœur de cet été caniculaire, l’histoire tragique de ces deux stars emballe la presse, qui se déploie à Vilnius. Comme on est en 2003, bien avant #MeToo, le terme de féminicide n’est pas employé. Les journaux parlent de « crime passionnel »." La suite sur humanite.fr

"Qu'est-ce qu'on va faire, ça fait très peur", l'entreprise Epta France veut supprimer 15 emplois à Hendaye

"L’entreprise spécialisée dans la réfrigération commerciale, Epta France, projette de supprimer 15 postes dans les bureaux de la société à Hendaye. Face à cette menace, plus de 150 employés ont participé, ce vendredi 28 mars, à une journée usine vide.

Coup de froid pour les employés d’Epta France d’Hendaye. L'entreprise d'éléments frigorifiques veut supprimer 15 postes administratifs à Hendaye au Pays basque et quatre postes en Isère. Contre ce possible plan de suppression de postes, plus de 150 des 500 employés de l'entreprise spécialisée dans la réfrigération commerciale ont décidé de faire tourner au ralenti les chaînes de production, ce vendredi 28 mars.

Ce mouvement social dénonce la volonté de la direction, de faire "des économies et de sous-traiter les tâches administratives à Budapest en Hongrie", explique Fernando Fernandez, délégué syndical CFDT. Cette délocalisation de l'activité en Europe de l'Est permettrait à Epta France de réaliser "un million d'euros d'économie", selon l'intersyndicale, CFE-CGC, CFDT Métallurgie et CGT Hendaye. Un discours difficile à avaler pour les employés. L'année dernière l'entreprise a réalisé un bénéfice net de 13 millions d'euros, toujours selon les syndicats." La suite sur francebleu.fr

"Les Etats-Unis risquent de devenir la Hongrie" : comment l’Amérique de Trump vire à l’autocratie

"Etats-Unis. Donald Trump s’attaque à la justice, aux médias, aux universités, aux contre-pouvoirs. Mais le plus surprenant est l’absence d’esprit de résistance du camp démocrate.

Depuis son arrivée au pouvoir, Donald Trump exerce une vengeance méthodique contre ses ennemis. Ces dernières semaines, il a signé des décrets en représailles contre cinq grands cabinets d’avocats qui ont représenté des rivaux politiques ou intenté des actions en justice contre lui et son gouvernement. Paul Weiss, l’un des plus prestigieux, très lié au parti démocrate, s’est opposé à sa politique d’immigration lors de son premier mandat. Covington & Burling, une autre firme sur la sellette, a représenté Jack Smith, le procureur chargé..." La suite sur lexpress.fr (article payant)

Prochaine rencontre des Mardis hongrois de Paris le 1er avril 2025 à partir de 20 h au Café Le Zimmer

 
Prochaine rencontre

le mardi 1er avril 2025
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
 
A legközelebbi összejövetel
2025 április 1.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Facebook esemény
 




samedi 29 mars 2025

La Russie négocie des matches amicaux avec la Hongrie

"Le ministre russe des Sports et président du Comité olympique russe, Mikhaïl Degtyarev, a déclaré que la Russie et la Hongrie avaient l'intention de renforcer les contacts bilatéraux dans le domaine sportif dans tous les domaines.

Depuis que la Russie a envahi l'Ukraine, la Hongrie a régulièrement menacé de bloquer l’aide de l’Union européenne à Kiev ou de s’opposer à des sanctions contre la Russie. On n'est donc pas étonné d'apprendre que la Russie négocie actuellement des matchs amicaux avec différents pays, dont la Hongrie. Vladimir Dyachok, secrétaire général et directeur exécutif de la Fédération russe de basket-ball, en a parlé à l'agence russe TASS." La suite sur basketeurope.com

Monaco-Hongrie : Une alliance économique prometteuse se dessine à Budapest

"La délégation du Monaco Economic Board (MEB) revient de la capitale hongroise avec des perspectives d’affaires florissantes et des accords concrets, marquant un tournant dans les relations économiques entre les deux États.

Durant trois jours intenses, du 24 au 26 mars, une dizaine d’entrepreneurs monégasques ont participé à une mission économique soigneusement orchestrée à Budapest. Le point culminant de cette visite a été un forum organisé en collaboration avec l’Agence Hongroise de Développement des Exportations (HEPA) et la Chambre de Commerce et d’Industrie de Hongrie. Chaque participant monégasque a rencontré au minimum six contacts d’affaires, sélectionnés pour répondre précisément à leurs objectifs commerciaux.

Signature d’un accord stratégique

Un protocole d’accord a été signé entre Guillaume Rose, Directeur Général Exécutif du MEB, et Elek Nagy, Président de la CCI de Hongrie et Consul Honoraire de Monaco en Hongrie. Cette signature s’est déroulée en présence de Katalin Bihari, Secrétaire d’État adjointe du ministère des Affaires étrangères hongrois, et de José-Luis Delso, Consul Honoraire de Hongrie à Monaco." La suite sur monaco-tribune.com

Le PM hongrois met en garde contre l'implication croissante de l'UE dans le conflit ukrainien

"BUDAPEST, 28 mars (Xinhua) -- Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a mis en garde vendredi l'Union européenne (UE) contre une escalade politique du conflit armé en Ukraine.

S'exprimant sur une radio publique locale, il a fait référence aux récentes recommandations des responsables de l'UE, qui conseillent aux ménages de constituer des stocks de nourriture pour 72 heures. "A première vue, cela peut sembler amusant, mais si l'on y regarde de plus près, c'est plutôt alarmant", a jugé M. Orban.

A ses yeux, l'UE s'est déjà impliquée dans le conflit en soutenant l'Ukraine. "La Hongrie est restée à l'écart. Nous sommes du côté de la paix ; nous n'envoyons pas d'armes ni de soldats", a-t-il noté. "Mais il y a des pays au sein de l'Union, et Bruxelles semble être leur porte-parole, qui veulent s'enfoncer davantage dans la guerre"." La suite sur news.cn

Les Hongrois ne voient pas la Russie comme une menace

"Les Européens, la guerre et la paix (5/7). En Hongrie, l’opinion publique partage majoritairement la volonté de Viktor Orban de se tenir à l’écart de la guerre en Ukraine. 

La contradiction est frappante pour qui a l’habitude d’assister aux grands discours « pour la paix » que Viktor Orban prononce depuis le début de la guerre en Ukraine lors des fêtes nationales hongroises. Si, sur scène, le premier ministre nationaliste répète sans cesse aux Hongrois qu’il fait tout pour les « préserver de la guerre » qui frappe leur grand voisin oriental, devant lui, l’armée du pays est souvent omniprésente et largement mise en avant.

Déployés dans des stands, des soldats cherchent des recrues en proposant des salaires de 700 000 forints bruts (environ 1 700 euros) et ils font leur publicité auprès des jeunes enfants, leur offrant la chance de monter sur des véhicules militaires voire de jouer avec des armes factices… Certains militaires arborent la tenue d’apparat héritée de l’empire austro-hongrois, signe de nostalgie pour cette époque où la Hongrie dominait une grande partie de l’Europe centrale.

La suite sur lemonde.fr (article payant)

vendredi 28 mars 2025

Le chantier du Hungaroring avance « plus vite que prévu » : La mise au point de la direction

© Hungaroring

"Les directeurs du Hungaroring ont profité d’une journée ouverte à la presse pour faire un point sur l’avancée du chantier, donc cette phase est censée se terminer avant le Grand Prix de Hongrie au mois d’août. 

Tout va bien du côté du Hungaroring. Très bien même puisque la direction du tracé hongrois a affiché un grand optimisme à un peu plus de trois mois de la tenue de la 40e édition du Grand Prix de Hongrie (1er-3 août).

Pour rappel, le circuit situé aux abords de la capitale Budapest s’est lancé dans un vaste chantier, une semaine après seulement la dernière venue de la F1 en 2024. Celui-ci est avant tout axé sur la rénovation et modernisation de la grande tribune principale de la ligne droite de départ-arrivée, mais également sur la construction d’un tout nouveau paddock avec de nouveaux garages notamment." La suite sur autohebdo.fr

Droits de douane américains: la Hongrie fustige "la grave erreur de l'UE"

"Le gouvernement hongrois a rejeté jeudi la responsabilité sur l'Union européenne après l'annonce des États-Unis de 25% de droits de douane supplémentaires sur les automobiles, estimant que Bruxelles aurait dû abolir les siens dès l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche.

"L'Europe a commis une grave erreur", a déclaré à la presse Gergely Gulyas, directeur de cabinet du Premier ministre nationaliste Viktor Orban.

"Elle aurait dû abaisser les droits de douane à 2,5%", comme ceux des États-Unis, "au plus tard le jour où Trump a officiellement pris ses fonctions, c'était la moindre des choses à faire", a-t-il estimé, jugeant la politique tarifaire européenne "totalement incompréhensible"." La suite sur yenisafak.com

Culture - Le cymbalum, trait d’union entre traditions et modernité

"Dans la bibliothèque feutrée du Musée d’ethnographie de Genève, un public attentif a eu le privilège d’assister à une rencontre rare autour du cymbalum, instrument traditionnel hongrois à la sonorité envoûtante. Guidée par Fabrice Contri, ethnomusicologue et directeur des ADEM, la présentation mettait en lumière toute la richesse culturelle de cet instrument.

Le cymbalum, souvent associé à la musique tzigane et aux fêtes populaires de l'Est, s’invite aujourd’hui jusque dans les salles de concert. C’est un instrument complexe, doté de 136 cordes, inventé en 1807 par un musicien hongrois qui le voulait plus riche, plus ample, presque comme une alternative au piano. À travers l’intervention du violoniste et ambassadeur Levente Székely, la musique s’est faite récit, reliant campagnes et villes, hier et aujourd’hui." La suite sur lemanbleu.ch

Europe - Contre l'interdiction de la Pride, des milliers de Hongrois manifestent à Budapest

Crédit photo : Balint Szentgallay / NurPhoto / NurPhoto via AFP

"Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Budapest, la capitale de la Hongrie, pour dénoncer l'interdiction de la Pride LGBT+ par le parti de Viktor Orbán.

"Démocratie", "la manifestation est un droit fondamental"… Une semaine après l'adoption par le Parlement hongrois d'une loi interdisant la Pride LGBT, plusieurs milliers de personnes ont manifesté ce mardi 25 mars en bloquant la circulation de plusieurs ponts emblématiques de la capitale du pays, Budapest, rapporte Euronews.

Sur proposition de députés du Fidesz, le parti du Premier ministre homophobe Viktor Orbán, le Parlement a voté le 18 mars une loi prohibant tout rassemblement contraire à la législation LGBTphobe adoptée en 2021 pour interdire la "promotion" de l'homosexualité et de la transidentité auprès des jeunes. Le texte prévoit l'utilisation d'outils de reconnaissance faciale pour identifier les manifestants, qui pourraient se voir infliger une amende de 200.000 forints hongrois (environ 500 euros)." La suite sur tetu.com

Fièvre aphteuse : un 4ème foyer en Slovaquie et un 2ème foyer en Hongrie ont été déclarés


Localisation des foyers de fièvre aphteuse détectés à la frontière hongro-slovaque (source : Commission européenne ADIS le 25/03/2025, autorités sanitaires hongroises le 26/03/2025)
© Plateforme ESA

"Un 4ème foyer de fièvre aphteuse a été déclaré en Slovaquie le 24 mars, suivi le 25 mars par la confirmation d'un deuxième foyer en Hongrie, à 25 km de celui-ci.

En Slovaquie, un quatrième foyer de fièvre aphteuse en élevage bovin a été confirmé le 24 mars, à 7 km d’un élevage déjà touché, au sein de la zone de surveillance liée à ce foyer, selon la plateforme d'épidémiosurveillance en santé animale (ESA).

Autour des foyers sont appliquées des zones réglementées (zone de protection de 3 km et zone de surveillance de 10 km). L'état d'urgence a été déclaré en Slovaquie et des mesures de gestion ont été prescrites sur tout le territoire par les autorités sanitaires locales (mouvements d'animaux d'espèces sensibles à destination et depuis la Slovaquie interdits, nettoyage et désinfection des moyens de transport,...)

En Hongrie, le 25 mars, un deuxième foyer de fièvre aphteuse a été déclaré dans un élevage bovin à quelques kilomètres de la frontière autrichienne. Il se situe à 40 km du premier foyer hongrois, et à 25 km du quatrième foyer slovaque. Les élevages slovaques touchés et ce deuxième foyer hongrois sont alignés le long du Danube, sur un axe Nord-Ouest." La suite sur reussir.fr

Trump et Orban, même combat ? La dangereuse “orbanisation des Etats-Unis”

"Le pouce levé, le sourire aux lèvres, sous les ors de Mar-a-lago, le président hongrois se sent pousser des ailes, à côté de Donald Trump, toutes dents dehors. C’était le 11 juillet 2024, à l’issue d’un sommet de l’OTAN à Washington. Le businessman américain allait redevenir président quelques mois plus tard.

Il ne s’agit que d’une rencontre parmi d’autres entre les deux dirigeants, qui aiment afficher leur sympathie réciproque. Un contact au sommet, alors que la base, les équipes de chacun, se fréquentent aussi. Il y a des parallèles à dresser, entre ce second mandat de Trump, et le "règne" de Viktor Orban, au pouvoir depuis 2010, qui amènent une série d’experts à parler d’une "orbanisation" des États-Unis.

Contacts à tous les étages

Zsuzsanna Végh en fait partie, elle est chercheuse associée au Conseil européen pour les relations internationales (ECFR). "Ces cinq dernières années, raconte-t-elle, le Fidesz (le parti d’Orban) a mis un soin particulier à développer encore plus ses relations internationales avec des acteurs partageant les mêmes idées. Cela se fait aussi au travers de think tanks ou d'organisations proches du pouvoir. Ces derniers se sont rapprochés d’organisations liées à Trump ou au cercle Maga."

Des contacts ont notamment été établis avec la Heritage Foundation, à l’origine du Project 2025, qui a inspiré le programme du président américain. "Des universitaires et des journalistes américains ont également reçu des subventions et des bourses pour séjourner en Hongrie dans des organisations telles que le Danube Institute ou le Matthias Corvinus College." La suite sur rtbf.be

jeudi 27 mars 2025

Klara Csordas et Connie Glessner en concert le 4 avril 2025 à 20 h 30 - Église anglicane Saint Michael's

L’église anglicane Saint Michael’s, située au 5, rue d’Aguesseau, 75008 Paris, accueillera un concert exceptionnel.

Klara Csordas, mezzo-soprano, et Connie Glessner, organiste, se produiront, accompagnées de Camille Glas, soprano. Au programme : des œuvres de Handel, Vivaldi, Bach et Pergolesi. Une soirée musicale à ne pas manquer dans ce lieu emblématique !

Déclaration commune sur la législation hongroise restreignant le droit de réunion pacifique et la liberté d'expression

 

En Hongrie, les trains délaissés face aux autoroutes

"Imaginez-vous dans un train si lent qu’un cycliste pourrait vous dépasser sans effort. C’est la réalité quotidienne pour beaucoup en Hongrie, où le réseau ferroviaire, jadis fleuron de l’époque des Habsbourg, semble figé dans le temps. Pendant ce temps, les autoroutes flambant neuves s’étendent à perte de vue, symboles d’un progrès qui ne profite pas à tous. Alors, que se passe-t-il dans ce pays d’Europe centrale où les priorités semblent inversées ?

Un héritage ferroviaire en perdition

Le réseau ferroviaire hongrois est un vestige impressionnant d’une époque révolue. Dense et tentaculaire, il relie encore aujourd’hui les villes et les campagnes. Mais ce qui pourrait être une fierté nationale est devenu un fardeau pour ses usagers, qui pestent contre des trains diesel vétustes et des trajets interminables.

Des trajets qui défient le temps

Prenez l’exemple d’un retraité vivant à 22 kilomètres de Budapest. En théorie, rejoindre la capitale lui prendrait moins de 40 minutes. En pratique, c’est une tout autre histoire : retards imprévisibles, pannes fréquentes et parfois même des annulations pures et simples. « On ne peut pas compter dessus », confie une employée de bureau croisée dans une gare animée de la capitale. Et elle n’est pas la seule à le penser." La suite sur viralmag.fr

Réclamé par la Hongrie, un militant antifasciste albanais remis en liberté en France

"Rexhino Abazaj alias « Gino », un militant antifasciste albanais, a obtenu mercredi de la cour d’appel de Paris sa remise en liberté dans l’attente de la décision de la justice française sur sa remise à la Hongrie qui le réclame." La suite sur mediapart.fr (article payant)

Sèvremoine. Les élèves hongrois de Paszto à Champ-Blanc

"Après une première expérience en 2023, 24 élèves et trois professeurs hongrois de Paszto, situé à 100 kilomètres de Budapest, ont été accueillis lundi matin, au lycée Champ-Blanc, au Longeron.

Une première semaine à Paszto a constitué les prémices d’un échange fructueux pour les Longeronnais, d’autant que tous les cours sont enseignés en français et pratiqués couramment.  Cinq jours exception avec, entre autres, la visite de la vallée du Danube et des thermes » précise Pascal Cousseau, professeur d’histoire géographie." La suite sur ouest-france.fr

Manifestation contre les lois interdisant la Marche des fiertés et qui restreignent le droit de réunion

Des manifestants hongrois occupent le pont de la Liberté pour protester contre une loi interdisant les manifestations de la fierté LGBTQ+ et restreignant le droit de réunion, dans le centre de Budapest, Tous droits réservés Hshhs
"Cette manifestation était la deuxième en deux semaines, depuis que le parti hongrois au pouvoir a adopté cette loi qui, selon ses détracteurs, constitue l'attaque la plus récente du gouvernement contre les droits de la communauté LGBTQ+ dans le pays et plus largement contre le droit à manifester.

Des milliers de manifestants ont bloqué une grande artère du centre de la capitale hongroise ce mardi pour s'opposer à une loi récente qui interdit de fait les manifestations de fierté LGBTQ+ et restreint le droit de réunion des Hongrois.

Fidesz, le parti de Viktor Orbán, a utilisé sa majorité parlementaire des deux tiers, mardi dernier, pour accélérer l'adoption de cette loi.

Les manifestants ont rapidement envahi l'une des plus grandes rues de Budapest, Kossuth Lajos, bloquant la circulation tout en scandant "démocratie" et "l'assemblée est un droit fondamental" et en allumant des bombes fumigènes colorées.

Benedek Lakos, membre de la communauté LGBTQ+ de Budapest âgé de 27 ans, qui a participé à la manifestation, a déclaré que "la démocratie est en déclin"." La suite sur euronews.com

Le chef de la diplomatie hongroise à Moscou pour parler « sécurité énergétique »

"Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjarto, a annoncé être à Moscou mercredi pour parler de la "paix et de la sécurité énergétique", au lendemain de l'annonce par Washington d'une trêve partielle en Ukraine.

« Poursuite de la coopération énergétique avec la Russie »

Le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban, un des rares dirigeants européens proches de Donald Trump et de Vladimir Poutine, ne cesse de plaider pour un cessez-le-feu en Ukraine et a refusé depuis trois ans de fournir la moindre aide militaire à Kiev.

"Les discussions d'aujourd'hui à Moscou se concentrent sur la paix, la sécurité énergétique et une coopération économique renforcée", a indiqué sur Facebook Péter Szijjarto, qui se rend régulièrement en Russie.

Dans la matinée, il s'est entretenu avec le vice-Premier ministre russe, chargé de l'Énergie, Alexandre Novak, en prônant "la poursuite de la coopération énergétique avec la Russie", fournisseur important de gaz et de pétrole à la Hongrie, selon un communiqué du gouvernement russe." La suite sur connaissancedesenergies.org

«Si la Hongrie continue de bloquer, certains risquent de hausser le ton»: l’irritation croissante des Européens face à Viktor Orban

"DÉCRYPTAGE - Les dirigeants de l’UE cherchent des tactiques pour contourner l’obstruction du premier ministre hongrois au soutien à l’Ukraine. Son alignement sur les positions de Moscou devient un problème insurmontable.

Alors que la pression combinée de Moscou et de Washington s’intensifie sur l’Ukraine, les Européens commencent à s’impatienter de la politique d’obstruction de Viktor Orban. Lors des deux derniers Conseils européens du 6 et du 20 mars, les conclusions appelant à renforcer le soutien à Kiev ont été adoptées à vingt-six au lieu de vingt-sept. Une nouvelle approche des dirigeants européens pour avancer sans perdre de temps à essayer de rallier la voix de la Hongrie, et sans rien lui céder en échange, en l’isolant. L’un des objectifs officieux des réunions informelles organisées à Paris et à Londres ces dernières semaines sur l’avenir de l’Ukraine était aussi de contourner Viktor Orban. « La sécurité de l’Europe est un sujet trop sérieux pour être négociée avec quelqu’un qui a une vision diamétralement opposée à celle de tous les autres », explique un diplomate. Mais cette créativité institutionnelle a ses limites." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

mercredi 26 mars 2025

Fiertés et un gouvernement qui fait honte

"Il ne semble pas se passer une semaine ou deux sans que le gouvernement hongrois n'attaque les droits de ses citoyens.

Depuis 14 ans, le Premier ministre Viktor Orbán et son parti au pouvoir, le Fidesz, ont adopté une approche de destruction de la démocratie, de l'État de droit et des droits humains en Hongrie.

Ils ont « systématiquement centralisé le pouvoir, vidé les garanties démocratiques et affaibli l'État de droit».

Orbán modifie la constitution du pays à sa guise, déclarant plusieurs états d'urgence qui lui permettent de gouverner par décret, contournant même le parlement, désormais réduit à un rôle purement formel.

Le parti au pouvoir fait tout ce qu'il peut pour faire taire les critiques, en s'en prenant aux journalistes indépendants, aux médias et aux organisations de la société civile." La suite sur hrw.org

La Hongrie accueille un exercice militaire européen de grande envergure

"BUDAPEST, 25 mars (Xinhua) -- La Hongrie accueille actuellement un exercice militaire de grande envergure, rassemblant plus de 900 soldats de 11 Etats-membres de l'Union européenne (UE), a rapporté mardi le ministère hongrois de la Défense.

Baptisées MILEX 2025, ces grandes manœuvres dureront du 25 mars au 10 avril et ont pour but de tester les capacités opérationnelles en conditions réelles des forces terrestres des armées européennes.

L'entraînement se déroule à la base aérienne de Papa et au champ de tir et d'entraînement central de Hongrie, où les soldats effectuent des exercices de tir réel et des opérations tactiques en conditions réelles en utilisant les technologies et procédures les plus avancées." La suite sur xinhuanet.com

BUDAPEST : L’Île de la Liberté dévoile un carnaval de genres musicaux

"La dernière annonce de groupes et d’artistes reflète la diversité musicale et artistique du Sziget, avec plus de 40 noms, dont FKA Twigs qui défie les genres, le duo australien d’électro-glam-pop Empire of the Sun, les rockeuses indé The Last Dinner Party, l’exceptionnel chanteur de soul Michael Kiwanuka, et les rockeurs alternatifs de Portugal. The Man.

Les nouvelles concernant le Sziget se succèdent à un rythme effréné, et cette fois-ci, les organisateurs ont annoncé une quarantaine de nouveaux noms. « La semaine dernière, nous avons annoncé la programmation électronique la plus forte de l’histoire du Sziget pour les trois scènes du Delta District. Aujourd’hui, nous présentons une programmation qui reflète vraiment la diversité musicale du festival, où chacun peut trouver son préféré, tous genres confondus », a déclaré Tamás Kádár, l’organisateur principal du festival Sziget, lors de cette annonce.

En 2020, il avait déjà été suggéré que FKA Twigs vienne au Sziget, mais pour des raisons bien connues, cela ne s’était pas produit. Cette année, cependant, elle présentera au festival son dernier album, Eusexua, sorti en janvier. L’excentrique auteure-compositrice-interprète, productrice de disques, danseuse, femme d’affaires, mannequin et actrice britannique est largement acclamée pour son travail. Sa musique couvre un large éventail de genres, dont le trip hop, l’electronica, l’indietronica, la techno, l’art pop, la trance, l’hyperpop et l’avant-garde." La suite sur presseagence.fr

Hongrie: Viktor Orban menace de lourdes amendes les participants à la future Marche des fiertés

"En Hongrie, la mobilisation continue, huit jours après le vote d’une loi anti LGBT+ par le parti du Premier ministre nationaliste Viktor Orban. Des milliers de Hongrois ont de nouveau manifesté à Budapest mardi 25 mars, à l’appel du parti d’opposition Momentum et du député indépendant Akos Hadhazy. Selon ce dernier, la loi qui rend la Marche des fiertés illégale est un pas de plus vers l’installation d’un État « technofasciste » à la chinoise. Le gouvernement Orban a en effet annoncé que la police utiliserait un logiciel de reconnaissance faciale pendant la Marche des fiertés, pour identifier et pénaliser les participants avec de lourdes amendes. 

Le gouvernement de Viktor Orban n’interdit pas la Marche des fiertés prévue le 28 juin. Ceux qui défileront seront toutefois passibles d’une lourde amende. Le gouvernement veut dissuader les Hongrois en les frappant au porte-monnaie. Mais le parti d’opposition Momentum a trouvé la parade, explique le chef de son groupe parlementaire, David Bedö.

« Nous mettons en place un fonds de soutien à la Marche des fiertés, car la police pourra faire payer jusqu’à 500 euros par personne ! Nous aiderons tous ceux qui ne peuvent pas payer », explique David Bedö." La suite sur rfi.fr

Hongrie : l'eurodéputé Péter Magyar assure être la cible d'un projet de loi

"Un nouveau projet de loi présenté vendredi à Budapest permettrait à l'Office national électoral hongrois de révoquer les mandats des membres du Parlement européen s'ils ne respectent pas les règles de transparence financière.

Un projet de loi présenté vendredi soir par les députés de la coalition hongroise Fidesz-KDNP renforcerait les règles de transparence pour les députés européens et menacerait de cibler le chef de l'opposition Péter Magyar, selon lui.

Si elle est approuvée, la nouvelle loi obligera tous les députés hongrois à divulguer leurs actifs financiers de la même manière que leurs homologues du Parlement hongrois.

Mais la nouvelle loi, telle qu'elle est rédigée, stipule également que les députés qui ne se conforment pas aux nouvelles obligations de transparence pourraient voir leur mandat révoqué par le Bureau national des élections (NEO). Dans ce cas, le président de l'ONEM écrira à la présidente du Parlement européen pour lui notifier la fin du mandat du député.

Péter Magyar affirme que les mesures le visent

Selon Péter Magyar, qui a fondé le parti d'opposition Tisza il y a un an, ce processus semble avoir été conçu à son intention. Dans un message publié sur Facebook au cours du week-end et adressé à Viktor Orbán, il a écrit : "J'entends que vous devenez de plus en plus nerveux et vous avez demandé à vos bouffons de trouver une arme miracle qui pourrait vraiment me mettre hors d'état de nuire"." La suite sur euronews.com

Football - Entre Dominik Szoboszlai et Arda Güler, ça s'envenime

"Arda Güler s'en prend à Dominik Szoboszlai lors du match de Ligue des Nationsi! Le Hongrois rétorque sur Instagram. Le cirque passe maintenant à la vitesse supérieure - après une nouvelle story du Turc.

Ces deux-là ne peuvent pas se voir! Arda Güler et Dominik Szoboszlai en sont venus aux mains lors du match retour de la Ligue des Nations entre la Turquie et la Hongrie (3-0). Arda Güler a provoqué le Hongrois par un geste où il porte le doigt à ses lèvres. «Ferme ta gueule!», tel est le message sans équivoque. Le pire pour Dominik Szoboszlai: c'est Arda Güler lui-même qui marque le 2-0 pour la Turquie." La suite sur blick.ch

Craon. Le point sur le jumelage Craon/Iszkaszentgyörgy

"Communes. À l'occasion de l'assemblée générale du comité de jumelage, vendredi 14 mars, il a été question de l'accueil d'une délégation hongroise, en juin prochain.

Un bilan des échanges a été dressé entre Craon et Iszkaszentgyörgy, la ville jumelle de Hongrie. En 2024, deux délégations se sont rendues en Hongrie : la première en février, composée de cinq personnes, dont le maire ; la seconde, en juin, comptait sept participants.

Une année riche

Initialement, aucun déplacement des Hongrois en France n'était prévu. Cependant, la Maison de l'Europe, la communauté de communes du Pays de Craon et la ville de Craon ont accueilli la Fête de l'Europe l'an dernier. À cette occasion, une délégation hongroise s'est mobilisée, avec notamment huit jeunes danseurs dans le folklore traditionnel, une pratique profondément ancrée en Hongrie et particulièrement à Iszkaszentgyörgy. Les festivités se sont déroulées du 23 au 25 juillet, réunissant les différents jumelages de Craon avec Buchenberg et Okehampton." La suite sur hautanjou.fr

En Hongrie, cette forte inflation qui fragilise Viktor Orban à un an des élections

"DÉCRYPTAGE - Le premier ministre, qui brigue un cinquième mandat, tente d’enrayer l’envolée des prix de l’alimentation à laquelle sont très sensibles les retraités. Il veut imposer une diminution des marges aux distributeurs.

C’est le talon d’Achille de Viktor Orban. Elle vient remettre en cause une décennie d’embellie économique pour les ménages et risque de compliquer sa cinquième réélection d’affilée aux législatives dans un an : les 10 millions de Hongrois sont frappés par une inflation record en Europe depuis deux ans. Se nourrir correctement est devenu de plus en plus difficile pour des pans entiers de la population, particulièrement pour les retraités.

Après un pic de 25 % enregistré au printemps 2023, dont 40 % sur les produits d’alimentation, l’inflation peine à retomber. Pire, elle est même repartie à la hausse ces derniers mois. Les données dévoilées début mars par le bureau des statistiques dépassent les estimations les plus pessimistes, avec une hausse de 5,6 % sur un an au mois de février, dont +9,2 % sur les prix des services et +7,1 % sur ceux l’alimentation." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

mardi 25 mars 2025

Les Européens cherchent à empêcher un véto hongrois sur les sanctions contre la Russie

"L’Union européenne réfléchit à la manière de contrer le premier ministre hongrois qui s’oppose aux mesures restrictives contre Moscou, en particulier le gel des 200 milliards d’euros d’actifs gelés.

Depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la Hongrie a régulièrement menacé de bloquer l’aide de l’Union européenne (UE) à Kiev ou de s’opposer à des sanctions contre la Russie. Le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, avec qui le premier ministre hongrois, Viktor Orban, partage, entre autres, le désir de mettre fin rapidement à la guerre en Ukraine, a encore durci ses positions et, aujourd’hui, les Européens s’en inquiètent.

Jusqu’ici, la crise a été évitée, à chaque fois in extremis. Mi-mars, la Hongrie a fini par valider le renouvellement d’une partie des sanctions contre la Russie – celles qui touchent le président Vladimir Poutine, Sergueï Lavrov, le ministre des affaires étrangères et quelque 2 400 proches du Kremlin. Fin janvier, déjà, elle s’était ralliée au dernier moment à la reconduction des mesures restrictives sectorielles, qui ont permis à l’UE de geler 200 milliards d’euros d’actifs de la Banque centrale russe, d’imposer des interdictions d’importation et d’exportation et de couper la Russie des circuits financiers occidentaux.

A Bruxelles, certains imaginent que Donald Trump a demandé à son ami Viktor Orban de ne pas exercer son droit de veto. Alors que le président américain cherche à convaincre Moscou de s’engager dans un accord de cessez-le-feu avec Kiev et qu’il menace lui-même d’alourdir les sanctions américaines contre la Russie, il n’avait, en..." La suite sur lemonde.fr (article payant)

La Hongrie de Viktor Orban : 15 ans de centralisation du pouvoir

"Au pouvoir depuis mai 2010, Viktor Orban a transformé le visage de la Hongrie. Plus ancien premier ministre au pouvoir dans l’Union européenne (UE), ce dernier tentera de se faire réélire au printemps 2026. Toutefois, Orban est plus que jamais fragilisé par ses positions controversées entourant la guerre en Ukraine et la montée en popularité d’opposants politiques.

L’instauration d’une démocratie « illibérale »

L’implication politique d’Orban prend racine à la chute de l’Union soviétique, en 1991. À ses débuts, il milite pour une démocratie libérale, rompant avec l’héritage communiste. Cependant, au milieu des années 1990, alors que le pays est dirigé par une coalition libérale-socialiste, Orban prend conscience qu’il doit opérer un virage nationaliste afin de prendre le pouvoir. Ce virage idéologique lui permet d’accéder au poste de premier ministre sous la bannière du Fidesz (1998-2002), avant d’y revenir en 2010.

Son retour au pouvoir est marqué par le contexte de la crise économique de 2008 et une forte polarisation politique. Orban alimente cette division, qualifiant ses opposants « d’ennemis de la nation ». Il crée aussitôt le Système de coopération nationale ; une doctrine valorisant le travail, la famille, la maison et l’ordre comme valeurs centrales." La suite sur perspective.usherbrooke.ca

Quand la Hongrie chante entre modernité et tradition

"Un album de musique hongroise à découvrir, « Öröm » du trio Notà nous embarque en Europe centrale. Une curiosité à découvrir.

Un petit détour entre la vaste Puszta hongroise et les contreforts transylvaniens, c’est ce que propose Öröm (la joie en hongrois) le nouvel album du trio Notà qui sortira le 4 avril sous le label l’empreinte Digitale.

Créé en 2021, ce trio réunit trois férues des musiques du monde ; Gabrielle Varbetian, entendue récemment dans l’Orfeo à l’Opéra de Marseille, Mélissa Zantman, issue d’une famille de musiciens, et accordéoniste de formation, et Cati Delolme, la Marseillaise et initiatrice de cet ensemble de voix féminines. Leur but : donner à entendre tout un monde musical mal connu.

Öröm est un voyage vocal où le folklore déborde son cadre purement national et populaire pour tisser de savantes polyphonies. Les trois voix a cappella se nourrirent des trois piliers de la musique hongroise, Bela Bartok, Zoltan Kodaly et György Ligeti. Des chants traditionnels de Transylvanie et de Hongrie, parfois accompagnés de percussions et de flûte kaval, instrument typique des Balkans, alternent avec des mélodies que Bartok et Kodaly ont collationné en arpentant la Hongrie afin d’enregistrer et conserver le patrimoine musical magyar." La suite sur lamarseillaise.fr

Les ministres arménien et hongrois des Affaires étrangères ont mis l'accent sur un dialogue politique actif

"Le ministre arménien des Affaires étrangères, Ararat Mirzoyan, et le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, ont eu une conversation téléphonique au cours de laquelle ils ont discuté des questions bilatérales entre l'Arménie et la Hongrie.Selon le ministère arménien des Affaires étrangères, les ministres des Affaires étrangères ont souligné la dynamique active du dialogue politique entre les deux pays, dont l'une des principales manifestations a été la décision d'ouvrir des ambassades résidentes à Erevan et à Budapest.

Les ministres ont également échangé des points de vue sur les programmes à venir. Parallèlement au dialogue politique, les parties ont souligné l'importance de développer davantage la coopération, en particulier dans la sphère économique." La suite sur armenpress.am

Pedro Sánchez et le Hongrois Viktor Orbán, les voix discordantes pour réarmer l'Europe

"Les chefs de gouvernement espagnol et hongrois sont en désaccord avec le Livre blanc de la défense et le plan de réarmement de l'Europe

Le proverbe espagnol « à la force on pend » est utilisé pour exprimer catégoriquement qu'une décision est acceptée à contrecœur ou qu'une action est menée contre sa propre volonté... mais qu'il n'y a cependant pas d'autre choix que de se plier à des exigences incontournables.

Ce qui précède est étroitement lié au plan ReArmar Europa et au Livre blanc sur la défense européenne - Préparation pour 2030, documents présentés le 19 mars à Bruxelles par la haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, l'ancienne Première ministre estonienne Kaja Kallas, en compagnie du commissaire à la défense et à l'espace, l'ancien Premier ministre lituanien Andrius Kubilius." La suite sur atalayar.com

lundi 24 mars 2025

Interdiction de la Pride de Budapest : « Ce qui se passe en Hongrie est un signal d’alarme pour toute l’Europe »

"Aron Rossman-Kiss, chargé des relations extérieures du bureau international du mouvement de gauche Szikra, revient pour l’Humanité sur l’interdiction de la marche des Fiertés, adoptée le 18 mars par le gouvernement de Viktor Orbán.

Depuis plusieurs années, la Hongrie de Viktor Orbán durcit son discours et durcit ses lois à l’encontre des personnes LGBT +. Dernier exemple en date : l’interdiction de la Marche des fiertés annoncée ce mardi, une décision qui a suscité de vives réactions, tant du côté des associations que de l’Union européenne.

Les députés européens ont fermement condamné cette interdiction, dénonçant « une violation indéniable des droits fondamentaux inscrits dans la Charte des droits fondamentaux de l’UE ». Au-delà de cette mesure, c’est une tendance plus large qui se dessine : la montée des discours conservateurs et autoritaires en Europe.

Sur quelle base juridique Viktor Orbán et son gouvernement s’appuient-ils pour interdire la Pride ?

Le gouvernement justifie cette interdiction en s’appuyant sur la législation de 2021 sur la « protection de l’enfance », qui restreint la représentation des minorités sexuelles dans l’espace public. Cette loi interdit par exemple la diffusion de livres ou de films traitant de l’homosexualité aux mineurs. Il est important de rappeler que depuis 2010, le gouvernement dispose d’une majorité de deux tiers au parlement, ce qui permet de changer la constitution et les lois selon leurs besoins." La suite sur humanite.fr

Du goulag aux collines roulantes de la Toscane: 100 ans de Karl Stengel


"Le centenaire de la naissance de l’artiste hongrois d’après-guerre Karl Stengel propose un moment pour redécouvrir l’histoire extraordinaire de l’artiste, avec des expositions à Florence, à Londres et au Mexique mettant en évidence son héritage.

Marquant cent ans depuis sa naissance, les expositions à travers 2025 mettent en lumière la vie et le travail de Karl Stengel, un artiste hongrois dont les œuvres – allant des toiles expressionnistes abstraites aux dessins surréalistes – n’ont gagné que récemment la reconnaissance qu’ils méritent.

L’héritage et l’histoire remarquables de l’artiste sont maintenant commémorés par la collection Stengel à Florence, dont l’exposition du centenaire (jusqu’au 11 avril) présente plus de 45 peintures, œuvres sur papier et compositions mixtes – le tout dans le contexte du Palazzo de la Renaissance Palazzo Rosselli del Turco." La suite sur observatoiredeleurope.com

Vu de Hongrie. Je l’admets, j’aurais voulu naître français

"Originaire de l’actuelle Transylvanie roumaine, cet auteur hongrois déclare, dans les pages du quotidien “Nepszava”, son amour au pays de Balzac et de Platini, auquel son père vouait pourtant une profonde haine. Une admiration sans bornes pour la France qui s’explique par la richesse culturelle du pays.

S’il m’était permis de renaître comme humain (pardon aux coccinelles et aux libellules, l’existence d’insecte ne m’intéresse pas), alors je resterais sur le continent. L’Europe est ma seule patrie. Ce que j’ai vu des autres continents reste au mieux exotique, comme des objets précieux mais plus inanimés brillant derrière les vitres d’un musée. L’Europe de l’Est ? Je n’en reveux pas. Le Nord ? Hors de question, trop froid. Le Sud ? Trop chaud. Bref, je voudrais ressusciter français.

Rien que la langue me captive. J’aime tous ses sifflements, ses r absorbés, ses s presque érotiques, et la légèreté qu’elle suggère. Comme si elle ne voulait pas saisir le monde mais le caresser. À l’école, on nous bassinait avec le russe, qui sonnait comme de la chapelure sèche. Certes, l’anglais s’est invité après un certain temps. Mais dans une dictature, une langue mondiale a le même effet que les vagues de la mer sur les murs d’une cellule de prison.

En revanche, j’ai été surpris que mon père déclare discrètement, avant le Mondial de football 1982, qu’il n’encouragerait pas la France. Je n’ai pas compris, car jusqu’alors, ma mère était la chargée de la haine à la maison." La suite sur courrierinternational.com

Communiqué de presse – Interdiction des marches des fiertés en Hongrie

"Interdiction des Marches de Fiertés LGBTI+ en Hongrie : une attaque claire contre les LGBTI+ 

Mardi 18 Mars 2025, le Parlement hongrois a adopté une loi interdisant les Marches en Hongrie en vertu de la loi de 2021 sur la « propagande LGBTI ». Cette mise à exécution des menaces de Viktor Orban constitue une attaque claire de l’extrême droite contre les LGBTI+ hongrois, une menace forte des réactionnaires envers nos communautés et nos Marches à échelle européenne

Cette mesure, d’une rare gravité, n’est pas isolée.  
Elle fait partie d’un continuum de discours et de violences stigmatisantes envers les LGBTI depuis 10 ans de la part du gouvernement et des médias liés à l’État hongrois. Campagnes contre les droits des personnes LGBTI+, discours stigmatisants, harcèlement de militant·es de la société civile tenant des discours engagé·es pour les droits humains, limitation de l’accès à l’information pour les mineur·es et adolescent·es relatifs à l’orientation sexuelle, l’identité et expression de genre, attitudes discriminatoires, auto-censure de médias ou de librairies présentant des contenus et des personnages LGBTI : la loi relative à la propagande a créé les conditions de la peur. L’Inter-LGBT s’alarme que la rhétorique russe anti-LGBTI face des émules dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale. Aujourd’hui en Hongrie, demain en Bulgarie, qui vient elle aussi d’interdire en août la « propagande et la promotion”, affectant le système scolaire bulgare et la Marche des Fiertés de Sofia." La suite sur inter-lgbt.org

dimanche 23 mars 2025

Tibor Zalán : Étrangers et connaissances Spectacle du Théâtre Jókai de Békéscsaba 8 avril 2025 à 19h00 Consulat de Hongrie


Consulat de Hongrie 7 Square Vergennes, 75015 Paris

Jókai 200

À l'occasion de l'année commémorative Jókai 200, le Théâtre Jókai de Békéscsaba et l'Institut Liszt de Paris présenteront une pièce spéciale, sur la rencontre imaginaire entre Mór Jókai et le peintre hongrois Mihály Munkácsy.

Bien que les deux héros d'Étrangers et connaissances soient originaires du XIXe siècle, le discours de Munkácsy et Jókai porte sur les problèmes de l'homme du XXIe siècle. Selon l'intention de l'auteur leur conversation se concentre sur la question toujours présente et persistante de savoir quelle est la plus grande et la plus importante contribution à la nation : l'artiste qui vit et travaille en tant que citoyen du monde, qui rehausse la gloire de son pays au niveau international, améliorant ainsi sa reconnaissance, ou l'artiste qui, par sa présence, assume et sert sa nation, qui vit avec le peuple de son pays, prenant en charge sa représentation quotidienne et son développement spirituel.

Spectacle de 80 minutes en langue hongroise.

Après le spectacle, le public aura l'occasion d’échanger avec l’écrivain Tibor Zalán.

Mise en scène : Tamás Herczeg T. 
Musique : Bálint Varga

Avec : Attila Czitor (Jókai), Csaba Gerner (Munkácsy), Kornélia Kövesdi (Lány)

Entrée libre

Réalisation du programme « Première d'un nouveau drame hongrois contemporain à Békéscsaba - aide à la mise en scène » avec le soutien de l'Académie Hongroise des Arts en 2024.

Gare de l'Est, allers et retours

 © Getty

"Par Christine Lecerf. LSD se poste à la Gare de l'Est. Ils sont des milliers à être passés par cette grande porte de l’Est. Artistes, soldats, rescapés, réfugiés, transportant avec eux leurs peurs, leurs souvenirs et leurs espoirs. Sur une idée d'Adam Biro. Réalisation : Lilin Franck.

À propos de la série

LSD se poste à la Gare de l'Est. Ils sont des milliers à être passés par cette grande porte de l’Est. Artistes, soldats, rescapés, réfugiés, transportant avec eux leurs peurs, leurs souvenirs et leurs espoirs. Sur une idée d'Adam Biro. Réalisation : Lilin Franck.

Gare du rêve et de l'effroi, de l’Orient Express et des mobilisations, la Gare de l’Est a été au cours du XXe siècle l’un des grands points de passage entre la France et l’Europe outre-Rhin. Plus de 150 ans après sa création, elle demeure la porte de l’exil et de la liberté. En mars 2022, les réfugiés ukrainiens ont transité à leur tour par la Gare de l’Est.

Enregistrée devant les grilles, dans le hall ou sur les quais, en compagnie d’historiens et de témoins, cette série documentaire fait résonner la voix de ces milliers de passagers de la Gare de l'Est :

Catherine dont les grands-parents ont fui la révolution russe en 1920

Odile dont le grand-père a été mobilisé en 14/18

Georges-Arthur, échappé de Hambourg en 1939

Rachel de Lodz en 1946

Adam de Budapest en 1956

Petr de Prague en 1968

Dan de Bucarest en 1990

Marina et Ivan d’Ukraine, Dimitri et Tatiana de Russie en 2022...

Peu à peu, la Gare de l’Est se dévoile comme le lieu d'une mémoire européenne toujours en mouvement.

Un documentaire de Christine Lecerf, réalisée par Franck Lillin.

Sur une idée d’Adam Biro.

Remerciements

SNCF, Cécile Bohez, Margot Michelin, Marie-Noëlle Polino, Jean-Philippe Chantecaille

4 épisodes à écouter sur radiofrance.fr

Défense européenne : "Aujourd'hui, il y a unanimité, Hongrie comprise", déclare l'eurodéputé Bernard Guetta

"Le député européen Renew a réagi sur franceinfo vendredi alors qu'une "coalition des volontaires" sera organisée le 27 mars à Paris avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. 

"Il y a encore un an, il n'y avait absolument pas de majorité dans l'Union européenne en faveur d'une défense européenne commune, aujourd'hui, il y a unanimité, Hongrie comprise", a assuré vendredi 21 mars sur franceinfo Bernard Guetta, député européen Renew alors qu'une "coalition des volontaires" sera organisée le 27 mars à Paris avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

"La Hongrie de Viktor Orban est absolument opposée à toute forme d'appui à l'Ukraine, en revanche, elle soutient totalement, sans aucune réticence, la constitution d'une défense commune", a précisé le député européen de Renew, parti notamment de l'ex-majorité présidentielle." A écouter (13min) sur francetvinfo.fr

Contre Orbán, soutien à la communauté LGBTI+ opprimée !

"Le Parti Communiste Français (PCF) condamne fermement la décision du gouvernement de Viktor Orbán de supprimer la marche des fiertés en Hongrie. Cette attaque contre la communauté LGBTI+ s’inscrit dans un contexte plus large de répression systématique des droits fondamentaux des personnes LGBTI+ dans ce pays.

Depuis plusieurs années, le gouvernement hongrois met en place des lois et des mesures ouvertement homophobes, limitant les libertés individuelles et bafouant les principes de dignité humaine.

Nous nous rappelons que, sous le régime d’Orbán, la Hongrie a déjà vu l’adoption de lois discriminatoires, telles que la loi interdisant la “promotion de l’homosexualité” auprès des mineurs et la révision de la Constitution pour exclure l’égalité des droits entre personnes homosexuelles et hétérosexuelles." La suite sur pcf.fr

La ville hongroise de Zalaegerszeg voue un attachement particulier au Vietnam

"L’ambassadeur du Vietnam en Hongrie, Bui Le Thai, a exprimé son souhait de renforcer la coopération entre l’ambassade et la ville de Zalaegerszeg dans divers secteurs, notamment les échanges économiques et culturels entre la communauté vietnamienne et les habitants locaux.

Lors d’une récente séance de travail avec le maire de la ville, Zoltán Balaicz, dans le cadre de son voyage dans cette ville de l’ouest de la Hongrie, le diplomate vietnamien a exprimé sa gratitude pour l’attention que la ville a portée à la statue du président Hô Chi Minh pendant près d’un demi-siècle.

Il a déclaré que ce monument symbolise non seulement l’amitié traditionnelle entre le Vietnam et la Hongrie, mais témoigne également de l’attachement du peuple hongrois aux valeurs idéologiques incarnées par le président Hô Chi Minh.

Le maire Zoltán Balaicz a, pour sa part, affirmé que l’amitié traditionnelle entre les deux pays a été cultivée par des générations de dirigeants et de citoyens des deux pays au fil des décennies. Il a souligné que Zalaegerszeg était honorée d’accueillir la statue du président Hô Chi Minh, devenue partie intégrante du patrimoine culturel de la ville, et s’est engagée à continuer de préserver ce monument important." La suite sur lecourrier.vn

samedi 22 mars 2025

TRIBUNE La France ne doit pas livrer le militant antifasciste Rexhino Abazaj à Viktor Orbán

"Menacé d’extradition vers la Hongrie, l’albanais de 32 ans encourt jusqu’à vingt-quatre ans de prison pour des actes de violences contre des néonazis, qu’il conteste. La France doit statuer sur son sort le 26 mars et le 9 avril. Laurent Binet, Annie Ernaux, Eva Joly, Barbara Stiegler et Eric Vuillard demandent sa libération.

Rexhino Abazaj est aujourd’hui menacé par un mandat d’arrêt européen. La justice hongroise le réclame. Son inculpation en Hongrie repose sur sa participation, le 11 février 2023, à une manifestation contre un rassemblement néonazi entendant célébrer la mémoire de la SS. Après le mandat d’arrêt européen émis contre lui, il a été arrêté en novembre en région parisienne. Rexhino Abazaj, surnommé «Gino» par ses camarades, est d’origine albanaise et a longtemps vécu en Italie. Les actes dont on l’accuse, et qu’il conteste, relèvent d’un délit de coups et blessures ayant entraîné moins de huit jours d’arrêt de travail. Mais s’il est renvoyé en Hongrie, Rexhino Abazaj, âgé aujourd’hui de 32 ans, risque vingt-quatre ans de prison.

Les juges français ont réclamé à la Hongrie des documents attestant d’une justice impartiale et des prisons sûres dans le pays. Ce n’est que quelques heures avant la dernière audience, et au-delà des délais légaux, que la Hongrie a enfin remis les documents demandés. Mais ce ne sont que de simples déclarations de principes, des documents qui ne prouvent rien. Ils ne remettent pas en cause les nombreuses enquêtes accablantes concernant la justice et les prisons hongroises.

Se faire complice d’un régime autoritaire

En 2023, le Comité des ministres du Conseil de l’Europe dénonçait le manque de liberté d’expression des juges hongrois. La même année, l’European Implementation Network rangeait la Hongrie à la dernière place du classement des pays européens au regard de leur application des arrêts de principes..." La suite sur liberation.fr (article payant)

Szijjarto: "Parler de sécurité européenne sans la Turquie et la Russie n'est pas réaliste"

"Le ministre hongrois des Affaires étrangères a déclaré que son pays attend que "les politiques belliqueuses de Bruxelles" n'entravent pas les négociations de paix (entre la Russie et les États-Unis) pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

"Il n'est pas réaliste de parler de l'architecture de sécurité de l'Europe sans y inclure la Turquie et la Russie", a déclaré le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto, vendredi à Ankara, la capitale turque." La suite sur aa.com.tr

Libertés des personnes LGBT+ en Hongrie: l’ONU «très inquiète»

"Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme s'est dit "très inquiet" vendredi d'une loi adoptée en Hongrie pour bannir la Marche des fiertés et qui impose des "restrictions arbitraires et discriminatoires" aux personnes LGBT+. Il réclame son abrogation.

Aux yeux de l’ONU, la législation adoptée cette semaine en Hongrie « entraîne des restrictions arbitraires et discriminatoires sur les droits des personnes LGBTIQ+ à la liberté d’expression, de réunion pacifique et à la vie privée, y compris lorsqu’elles défendent leurs droits humains lors d’événements tels que les Marches des fiertés, a déclaré une porte-parole du Haut-Commissariat, Liz Throssell.

Le haut-Commissaire Volker Türk « appelle les autorités hongroises à abroger cette loi et d’autres législations qui discriminent les individus LGBTIQ+ », a-t-elle indiqué." La suite sur swissinfo.ch

« Il n’est plus possible d’être bloqué » : c’est officiel, l’Union européenne n’en peut plus de Viktor Orbán

"Récit  Pour la deuxième fois ce mois-ci, les dirigeants européens ont signé à vingt-six leur déclaration sur l’aide à l’Ukraine. Et assument d’avancer sans la Hongrie, plus isolée que jamais.

« On ne peut pas être bloqués parce que la Hongrie pense différemment des vingt-six autres Etats membres. » Le nouveau président du Conseil européen, Antonio Costa, dit tout haut ce que les autres dirigeants européens pensent de moins en moins bas, lassés de l’obstruction permanente du chef de gouvernement hongrois Viktor Orbán. Le 6 mars, lors d’un Conseil européen extraordinaire, l’ex-Premier ministre portugais a innové en proposant aux dirige…" La suite sur nouvelobs.com (article payant)

UE : l'eurodéputée Valérie Hayer appelle à "retirer le droit de vote" du Premier ministre hongrois Viktor Orban, opposé au soutien à l'Ukraine

"La députée européenne Renew assure qu'il "est possible" de retirer le droit de vote d'un membre de l'UE en obtenant l'unanimité des autres membres.

L'eurodéputée Valérie Hayer appelle avec son groupe Renew au parlement à "retirer le droit de vote de Viktor Orban" au sein de l'Union européenne. Le Premier ministre nationaliste hongrois s'oppose systématiquement aux résolutions de soutiens à l'Ukraine et "piétine l'État de droit" dans son pays dénonce-t-elle sur franceinfo vendredi 21 mars." La suite sur francetvinfo.fr

Viktor Orban, de plus en plus radical, en Hongrie comme en Europe

"Pour la deuxième fois en moins d'un mois, le Premier ministre hongrois a fait cavalier seul en Europe en ne signant pas une déclaration de soutien à l'Ukraine approuvée par tous les autres dirigeants du continent. Une attitude qui interroge en Europe alors que l'homme fort de Budapest radicalise ses discours, galvanisé par la victoire de Donald Trump.

Il n'est pas forcément nécessaire de traverser l'Atlantique pour se confronter aux discours politiques violents et virulents. Ils existent aussi plus près de chez nous, en Hongrie, où Viktor Orban durcit le ton, et fait de plus en plus figure de maillon faible de l'unité des 27 face à la tenaille de Moscou et Washington. Autant en phase avec Donald Trump qu'avec Vladimir Poutine, le dirigeant hongrois confirme faire cavalier seul, en particulier quand il est question de l'Ukraine. Hier encore, jeudi 20 mars, pour la deuxième fois en un mois, seule la signature de la Hongrie manquait en bas d'une déclaration commune de soutien à Kiev.

Une position à contre-courant qui fait grincer des dents en Europe. Les plus critiques voient Viktor Orban comme un cheval de Troie de la Russie, et s'interrogent désormais à haute voix sur la place de la Hongrie dans l'Union. D'autres soulignent que cette opposition n'est jusqu'ici pas un obstacle, et que  Viktor Orban n'est pas encore allé jusqu'au blocage concret d'un projet (il a par exemple signé récemment l'accord sur le réarmement). C'est notamment lié au fait que les fonds européens sont indispensables à l'économie hongroise. La Hongrie fait partie de ce qu'on appelle les "bénéficiaires nets", ces pays qui touchent plus qu'ils ne versent d'argent dans l'UE. Mais ces aides financières sont menacées, avec aujourd'hui des versements de plusieurs milliards d'euros à Budapest "gelés" en raison de manquements dans la lutte contre la corruption ou le respect de l'État de droit." La suite sur francetvinfo.fr