"A Budapest, il dirige depuis quinze ans un régime autoritaire aux accents poutiniens. A Bruxelles, il dénonce les sanctions (bien qu’il les vote) et rivalise de blocages sur le soutien de l’Ukraine. L’ancien antirusse s’est mué en imitateur et défenseur ardent de Moscou, dont les intérêts fructifient en Hongrie.
Viktor Orbán fait à nouveau
parler de lui à Bruxelles. Ce jeudi, il s’est, comme le 6 mars, isolé
des vingt-six autres chefs d’Etat et de gouvernement, lorsqu’il s’est
agi de réaffirmer le soutien de l’Union européenne à Kiev. Dans les
couloirs européens, on s’indigne aussi de l’interdiction hongroise de la
Marche des fiertés au nom de la « protection de l’enfance ». Même
argument qu’en Russie, où la Pride est illégale et le mouvement LGBT+
banni. Le coup de boutoir magyar complète la loi de 2021 prohibant
l’évocation du changement de sexe ou de l’homosexualité auprès des
mineurs, inspirée d’un texte russe de 2013." La suite sur lesoir.be (article payant)
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