"Avec 46 % d’intentions de vote, contre 37 % pour le parti au pouvoir, le Tisza de Péter Magyar constitue une véritable menace pour le premier ministre hongrois.
C’est
dans toute sa vérité qu’il s’est présenté, samedi, face aux milliers de
partisans du Fidesz rassemblés à Budapest. Juges, médias, ONG et rivaux
ne sont que des « punaises » abreuvées au sang corrompu de l’Occident, a vomi le chef du gouvernement hongrois, sur une scène installée devant le musée national.
Viktor Orbán est un tyran, mais un tyran affaibli. Un homme dont le pouvoir est aujourd’hui menacé. Pour le conserver, le premier ministre a donc recours aux extrêmes du langage comme à ces mesures liberticides qu’il affectionne tant, et qui asphyxient la Hongrie depuis maintenant quinze ans." La suite sur lanouvellerepublique.fr
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