"En Hongrie, la mobilisation continue, huit jours après le vote d’une loi anti LGBT+ par le parti du Premier ministre nationaliste Viktor Orban. Des milliers de Hongrois ont de nouveau manifesté à Budapest mardi 25 mars, à l’appel du parti d’opposition Momentum et du député indépendant Akos Hadhazy. Selon ce dernier, la loi qui rend la Marche des fiertés illégale est un pas de plus vers l’installation d’un État « technofasciste » à la chinoise. Le gouvernement Orban a en effet annoncé que la police utiliserait un logiciel de reconnaissance faciale pendant la Marche des fiertés, pour identifier et pénaliser les participants avec de lourdes amendes.
Le gouvernement de Viktor Orban n’interdit pas la Marche des fiertés prévue le 28 juin. Ceux qui défileront seront toutefois passibles d’une lourde amende. Le gouvernement veut dissuader les Hongrois en les frappant au porte-monnaie. Mais le parti d’opposition Momentum a trouvé la parade, explique le chef de son groupe parlementaire, David Bedö.
« Nous mettons en place un fonds de soutien à la Marche des fiertés, car la police pourra faire payer jusqu’à 500 euros par personne ! Nous aiderons tous ceux qui ne peuvent pas payer », explique David Bedö." La suite sur rfi.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.