"Avec sa quatrième modification de la Loi
fondamentale muselant les contre-pouvoirs, le Premier ministre s’attire
les critiques de Bruxelles et Washington.
C’est tout un chapitre de l’histoire
hongroise qui finit à la poubelle. Le Premier ministre, Viktor Orbán, a
fait voter par son parti ultraconservateur (le Fidesz, Alliance des
jeunes démocrates), le 11 mars, un quatrième amendement de la
Constitution. Une modification «conforme aux normes européennes», selon
le politicien hongrois mais qui, pour d’autres, enterre l’Etat de droit.
Hier, quelques milliers de personnes ont défilé à Budapest." La suite sur liberation.fr
lundi 18 mars 2013
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