"Sur fond d'occupation russe puis de fin du communisme, Alice Zeniter décrit, dans Sombre dimanche, les servitudes et les rêves d'une famille hongroise haute en couleur.
Sombre dimanche, le titre du beau roman d'Alice Zeniter,
est aussi celui d'une chanson. Celle que beugle immanquablement chaque 2
mai le grand-père Mandy après avoir forcé sur la palinka. Une
eau-de-vie d'abricot à l'odeur pharmaceutique dont il abuse pour tenter
d'oublier la mort de sa femme. D'emblée nous voici plongés dans le
quotidien d'une famille pas comme les autres de Budapest. Les Mandy
habitent tous ensemble dans une maison de bois au bord de la voie
ferrée." La suite sur lexpress.fr
mardi 12 mars 2013
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