"La Hongrie stagne dans une phase de développement postcoloniale, non pas
seulement à cause de la montée en puissance de la droite, mais
également en raison d’éternels conflits internes et d’une vision élégiaque de son passé.
Budapest vit 24h/24. Les endroits où aller sont multiples : de la taverne hongroise basique Söröző,
aux boites plus très populaires mais très chères. Quelque soit votre
choix, vous pourrez à loisir atténuer votre gueule de bois à l’aide d’un
bon kebab dès les premières heures du matin. Ces échoppes sont
omniprésentes, et la plupart de leurs propriétaires sont des immigrés.
Lorsque je demande aux Hongrois comment ils se sentent dans leur pays, la plupart répondent qu’ils s’y sentaient mieux « avant ». " La suite sur cafebabel.fr
mardi 26 mars 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.