"Judith Hervé est venue témoigner, vendredi, des atrocités de la Déportation, devant 150 élèves de troisième du collège Choiseul.
Invitée de Jean-Luc Desjardins, professeur de français, Mme Hervé a voulu transmettre « sa volonté de vivre, quelles que soient les circonstances. Volonté qui permet de survivre et de s'en sortir ». Et aussi affirmer que « la vie est le bien le plus précieux du monde. Il faut aimer la vie et, plus que tout, ne jamais humilier un être humain ».
Cette dame de 88 ans, née en Transylvanie, a connu sa première mise à l'écart en 1940, à l'âge de 14 ans. Époque durant laquelle la Hongrie, qui vient de s'allier avec l'Allemagne, vote des lois anti-juifs qui se concrétisent, par exemple, par l'interdiction d'accéder aux écoles publiques. Toutefois, le comportement de son père, considéré comme un héros lors de la guerre de 14-18, lui permet de suivre ses études au lycée, où elle est la seule élève juive." La suite sur lanouvellerepublique.fr
mercredi 11 juin 2014
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